En une année riche en observation de soucoupes volantes dans le monde entier, Américo Rodolfo Aguirrezabala, commerçant, 32 ans séjournait à la ferme d'un de ses frères juste au bord de Coronel Pringles, Province de Buenos Aires, Argentine, quand le 4 décembre 1954 entre 6 et 7 heures du matin, il est sorti de son magasin "Los Corrales", attenant avec la zone urbaine, proche au cimetière, située dans l'actuelle route 51 au Kilomètre 29, pour aller faire des achats.
Marchant seul sur le chemin de terre qui est maintenant la route 51, il a vu à quelque 200 mètres de lui et devant un bouquet d'arbres, un disque lumineux dans le ciel qui s'est approché en semblant changer de forme, puis s'est arrêté à quelque 80 mètres de lui.
L'engin avait une coloration rougeâtre-pâle, une taille qu'il a estimée de 20 à 30 mètres de diamètre, il était suspendu à une hauteur estimée comme de 15 mètres du sol, complètement silencieux et semblant transparent.
Aguirrezabala a continué de s'approcher en marchant, en devant protéger ses yeux des mains de l'éclat diffusé par des parties du disque, qui éblouissait, et s'est trouvé alors à 70 mètres de cet engin.
Il a alors parfaitement pu voir que c'était un étrange appareil en sustentation à un demi-mètre du sol et, qu'en son milieu, révélées par la transparence de l'objet, il y avait trois silhouettes, comme des silhouettes humaines, qu'il dessinera avec bras, têtes et jambes, l'une immobile et les deux autres se déplaçant constamment d'un côté à l'autre de l'engin. Il n'a pas pu distinguer des détails aussi fins que nez ou oreilles.
Un brillant éclat de lumière s'est produit quelques secondes après et le disque, s'élevant au-dessus de la végétation, a rapidement disparu au moment ou le soleil se levait en direction du nord selon le journal ou vers le sud-sud-ouest vers sa droite selon le récit du témoin renouvelé des décennies plus tard auprès d'un groupe d'enquêteurs. Il a alors disparu pratiquement instantanément, "comme par magie", dira-t-il.
Sur la base des quelques 130 mètres de sa marche pendant l'observation, il a été estimé que l'observation entière se chiffrait en minutes.
Passé la surprise il avait été plutôt content de voir une de ces soucoupes volantes dont on parlait tant, tout en ne spéculant pas plus que de raison que ce que cela pouvait être.
Il a vérifié s'il y avait des traces dans le sol, ou des brûlures de plantes ou odeurs dans l'air, mais n'a rien trouvé de tel. Il n'a eu aucun effet physique ou physiologique, sa vie n'a pas changé, et il n'a plus rien vu de la sorte par la suite.
Il a parlé de ce qu'il a vu à ses deux frères, et en son magasin, et il s'est avéré qu'il avait été le seul témoin. Le récit est parvenu par un tiers au journal La Razon qui l'a rapporté le lendemain 5 décembre 1954. Certains voisins se sont évidemment moqué de lui.
Le témoin a pu être retrouvé facilement dans les années 80 ou 90 par des enquêteurs qui voulaient vérifier si le récit du journal était correct ou non, et il leur a rapporté les faits à nouveau, les enquêteurs concluant ensuite qu'il devait avoir vu une parhélie.
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[Ref. rb1:] ROBERTO BRANCHS:
CORONEL PRINGLES: UN DISQUE AVEC DES PERSONNAGES ETRANGESLe rapport se situe à la fin d'une année riche en rapports sur d'étranges apparitions de "soucoupes volantes" et, en particulier, de leurs atterrissages avec des occupants en territoire européen. Qui ont précédé par ailleurs l'annonce une escalade d'observations au niveau mondial. Effectivement, le 5 décembre 1954, le journal La Razon, de Buenos Aires, informe avec des notes de précaution que: "Monsieur Enrique Aguirre Zabala, employé de commerce ici, et qui se trouvait à passer ses vacances dans la ferme d'un de ses frères dans les environs de Coronel Pringles (Province de Buenos Aires), en sortant hier, à 6 heures du matin, pour effectuer des achats, a observé dans l'espace un disque lumineux qui, au fur et à mesure qu'il s'approchait, paraissait changer de forme, jusqu'à acquérir celle d'un "cigare." Quand l'objet inconnu s'est arrêté à quelque 80 mètres d'Aguirre, celui-ci a essayé de s'approcher, mais il en a été empêché par la force des rayonnement qu'il diffusait et qui éblouissait. Cependant, rapporte-t-il, "en utilisant mes mains comme écran, j'ai continué à avancer jusqu'à ce que j'ai parfaitement pu voir que l'étrange appareil était maintenu à un demi-mètre du sol et, qu'au milieu du disque, se déplaçait une figure étrange. Elle paraissait, a ajouté Aguirre, un nain avec une tête énorme. Un brillant éclat de lumière s'est produit peu après et le disque, s'élevant, a rapidement disparu en direction du nord". L'ENQUETECoronel Pringles [colonel Pringles] est une localité située au sud-est de la province de Buenos Aires (voir photo 1), de sol plat essentiellement, avec de petites montagnes du groupe des Ventania. Son climat tempéré, sa Pampa et sa bonne humidité en font une région agricole. Une consultation rapide à la Poste et la Municipalité nous a porté jusqu'à la dépendance ou magasin "Los Corrales" ("les Basse-cours"), au nord-est et attenant avec la zone urbaine, proche au cimetière. Là, nous localisons Américo Rodolfo Aguirrezabala, celui qui a été reconnu comme seul témoin du cas en question. Etant évident que les nouvelles journalistiques souffrent d'inexactitudes, nous avions un motif pour lequel nous souhaitions qu'il nous fasse une description détaillée de cet événement, en tenant cependant compte du fait que beaucoup d'aspects peuvent être perdus de la mémoire et que cet événement n'a jamais été l'objet d'une enquête durant toutes ces années. Américo R. Aguirrezabala avait alors 32 ans. Le matin du 4 décembre 1954, entre 6 et 7 heures, il s'est dirigé depuis le magasin les Basse-cours (située dans l'actuelle route 51, Km 29) (voir photo 2) où il vivait avec son frère Pedro non loin de la ferme d'un autre frère, Asencio, éloigné de 1.000 mètres au nord-est sur la même route, qui à cette époque était - comme il le décrit - un chemin de terre. S'attendant simplement à une journée agréable, il voit à quelque 200 mètres et devant un bouquet d'arbres (voir photo 3), un engin volant de forme "ronde", de coloration rougeâtre-pâle, de quelque 20 à 30 mètres de diamètre, suspendue à une hauteur estimée comme de 15 mètres du sol. Il était complètement silencieux et transparent (voir croquis, 4, 5). "Enfin j'en vois une!" s'est exclamé Américo Aguirrezabala, passé la première stupéfaction et satisfait de voir une de ces soucoupe volantes dont on parlait tant. Il brillait de façon ténue, bien que "comme le Soleil de ce côté-ci placé à l'avant et sur le dessus, de façon un peu blessante [pour les yeux]", dit le témoin, qui continue sa marcher vers la ferme et se rapproche du phénomène, maintenu en suspension dans l'air, mais dont la transparence lui permettait d'apercevoir un mouvement dans son intérieur, comme des silhouettes humaines qui marchaient d'un côté à l'autre. Il s'agissait de trois personnages, dont deux étaient en mouvement constant, mais aucun autre détail n'a pu être observé. "Quand j'ai été près d'eux j'ai vu, je me suis approché de ces gens et les ai vu; je me suis alors dit: "Caramba, qu'est-ce que c'est que ça? Parce que, je le dis toujours, j'ai de l'enthousiasme pour ceci, mais non, non... à ce moment où ça m'est apparu...", nous rapporte Américo Aguirrezabala. Toutefois, la perception des "occupants" a été d'à peine quelques secondes et à 70 mètres de distance, avec une attitude indifférente de ces derniers face à l'observateur étonné. Et à ce moment, le phénomène a soudainement disparu, en donnant l'impression de s'élever "au-dessus de la végétation, vers la droite, il a volé vers le sud-sud-ouest...; le Soleil se levait déjà." La disparition du phénomène a été instantanée, presqu'imperceptible. "Il a disparu, il a disparu, comme par magie!", exprime le témoin devant devant notre magnétophone. La durée totale de l'observation se chiffre en minutes, estimées sur la base des 130 mètres approximatifs qu'a parcourus le témoin. Américo Aguirrezabala nous raconte ce qui s'est produit ensuite: "Je me suis arrêté là, j'ai surveillé... pensif, en pensant a ce que ce serait, ou ne serait pas. J'ai toujours pensé qu'il y avait des soucoupes volantes, et ce ceci était l'une d'elle. Et je me suis demandé: pourquoi viennent-ils, s'ils ne veulent pas parler avec nous? Je me suis toujours dit cela et je me le demande encore. Ma vie n'a pas changé après ceci; non, en rien, toujours la même. Cela ne m'a pas non plus affecté physiquement, ni n'ai-je eu d'expériences semblables par la suite, mais ma femme oui, quand elle a vu des nains verts avec chapeau la même couleur, un matin à l'aube, près de notre maison", ajoute Aguirrezabala avec enthousiasme. Continuant son récit, il explique qu'il s'est arrêté pour voir s'il était resté des traces d'une présence aussi inhabituelle: "Il ne restait rien de calciné, ni rien d'autre; j'ai surveillé les plantes et était tout normal". Aucune modification dans l'atmosphère ne s'est produite non plus. Uniquement l'apparition phénomène décrit. "Je vais alors vers la ferme", rapporte-t-il, "et je le raconte à mon frère; et il était étonné, par là-bas plus loin et plus proche de la montagne, lui n'a vu rien. Ni non plus mon autre frère, Pedro, qui était dans le magasin. Ça a été ensuite les commentaires des gens, ici, dans le magasin. Quelques-un disaient: "Vous êtes un charlatan, quoi, vous voyez des soucoupes. Bon, moi, je ne sais pas si c'était une soucoupe, mais la chose était là, suspendue, et rien de plus... et quant à ceux qui étaient dedans, j'ai seulement vu les silhouettes qui marchaient, rien de plus, ni les yeux, ni les oreilles, rien de cela. Je ne puis pas dire plus, non. Et ensuite le temps a passé, et je l'ai rejeté de ma mémoire". Son explication se conclut par une tentative d'éclaircir la version journalistique: "C'était dans la chaleur du moment. Il s'est produit que cela a été raconté à ce journal; j'ai lu la nouvelle à cette époque, parce que j'achetais toujours La Razon. Mais ce que je ne sais pas qui est celui qui leur en a parlé, bien que, bon... c'est venu des conversations qui avaient eu lieu dans mon magasin..." CONSIDERATIONS SUR LE CASDans cet épisode qui s'est produit samedi 4 décembre 1954, nous nous trouvons face à un témoin qui fait un effort évident pour se remémorer cette observation singulière qui s'est passé il y a si longtemps, sans qu'il y ait eu de circonstances qui remette à jour sa mémoire. Toutefois, la durabilité de son souvenir a été renforcée par l'intérêt et les sentiments mis en jeu devant la vision d'un fait inouï tel que celui décrit par Américo Aguirrezabala. En tenant compte de ces facteurs, nous avons rassemblé à nouveau le témoignage dans ses aspects les plus essentiels - et stables dans le passage du temps - et essayé une possibilité d'explication dans la mesure où les données le permettent. A ce sujet, il doit être signalé que l'heure précoce du jour où est observé le phénomène est entre les 6 et 7 heures selon Aguirrezabala, et "6 heures" du matin selon les nouvelles journalistiques. Pour cette date le Soleil est levé près des 05:40; précisément dans la même direction dans laquelle a été aperçue l'hypothétique ovni. Il n'échappe pas non plus à notre considération que ce prodige présente une image semblable à celle de l'astre solaire, c'est-à-dire, circulaire, une taille angulaire presqu'équivalente, et une coloration fréquente dans le crépuscule. Par contre, les différences signalées sont: son aspect transparent (inconsistant?), une brillance ténue, des mouvements dans sa surface, et la disparition soudaine. Si nous essayons de concilier ces caractéristiques, nous devons nous référer à certains phénomènes optiques connus comme les parhélies, au moyen desquels nous pourrons comprendre les causes de leur apparition. En étudiant ces phénomènes, les scientifiques ont remarqué il y a longtemps qu'ils apparaissent quand le Soleil (ou la Lune) sont couverts avec un voile blanc brillant, une couche de hauts cirrus stratiformes. Ces nuages flottent à une hauteur de six ou huit kilomètres et sont composées de petits cristaux de glace; en s'élevant et en s'abaissant par les courants de l'air, ils reflètent comme un miroir ou réfractent comme un prisme de verre les rayons solaires qui tombent sur eux. Parfois il arrive que le ciel paraît être complètement dégagé, mais tout en haut de l'atmosphère flottent beaucoup de cristaux de glace, séparément, sans former un nuage. Cela se produit fréquemment quand la météo est calme et glacée à cette altitude. Généralement, la reproduction ou "faux-soleil" apparaît quand le Soleil n'est pas très haut sur l'horizon, en avant qu'il ne soit visible. Les faux soleils disparaissent généralement de façon inattendue, ou de manière très soudaine en accord avec le mouvement de l'astre sur l'horizon, des courants d'air et des mêmes cristaux de glace en hexaèdre (qu'ils reproduisent, selon l'orientation des pointes) en flottant en position verticale. Les [faux-]soleils ne constituent pas un phénomène rare dans certaines régions du globe, et fréquemment ils sont aussi brillants que le soleil lui-même (1). Dans la Province de Buenos Aires (où s'est produit ce fait) le journalisme a consigné plusieurs présumés phénomènes de parhélie. A cette époque, le 25 avril 1949 à Bernal (2) et le 28 février 1950 à Mar des Plata (3), pour citer deux cas. Plus récemment, en février 1987, en moins de vingt jours, on enregistre quelque huit à San Nicolás, et également à Monte Hermoso et Pigüe (4). Quant aux silhouettes se déplaçant dans leur surface, vu de manière diffuse, pendant de brèves secondes, nous avons jugé probable que le témoin - influencé par la vague d'observations mondiales - et devant la conviction qu'il était face à une soucoupe volante "authentique", n'a pas hésité à attribuer un certain mouvement dans l'image optique à la présence d'êtres inconnus. REFERENCES
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[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Coronel Pringles, Argentine, le 4 décembre 1954, à 06:00 heure du matin, E Aguirre Zavala, un employé commercial, a observé un disque très lumineux descendre environ à 20 pieds au-dessus de la terre, où il est resté en suspension.
Au milieu de ce disque il y avait un personnage étrange qui se déplaçait, qui a paru être un nain avec une énorme tête. L'OVNI s'est élevé peu après, après avoir émis d'une lumière très brillante.
Albert Rosales indique que la source est Humcat citant des sources journalistiques.
[Ref. pc1:] PROYECTO CATENT:
Dans ce catalogue, est indiqué qu'à Coronel Pringles, Buenos Aires, Argentine, le 4 décembre 1954, le témoin a vu un ovni qui est descendu à près d'un mètre et demi du sol et dans ce dernier se déplaçait un nain ayant une tête énorme. Il s'est élevé au milieu d'une grande brillance et il a été perdu de vue.
Il est assez malaisé de concevoir qu'en regardant le soleil, ou une parhélie, une personne estime que cela contienne trois personnages, l'un immobile, les deux autres se déplaçant. Mais évidemment, dans la thèse socio-psychologique concernant les OVNIS, celle des enquêteurs ici [rb1], toute explication aussi improbable soit-elle est définie comme a priori moins improbable et donc meilleure que celle d'extraterrestres dans leur engin.
A gauche: Image d'une parhélie, ou "faux-soleils". |
En fait, l'explication par une parhélie, outre qu'elle demande de considérer comme fondamentalement distordue la description par le témoin, n'est pas très convaincantes pour plusieurs raisons, qui ne sont nullement apparentes dans l'enquête de Branchs.
D'une part, si la taille angulaire du phénomène est celle du soleil, comme Branchs l'indique, alors, cela ne peut pas être une parhélie, qui est, évidemment, d'une taille angulaire de plusieurs ordres de grandeur plus importante que le soleil!
A gauche: la taille angulaire d'une parhélie n'est évidemment pas celle du soleil. |
D'autre part, dans une parhélie, rien ne bouge qui puisse évoquer trois personnages sont deux marchent. Le "soleil central", le vrai soleil, est immobile (du moins rien de son mouvement ne peut être perçu en quelques secondes), d'autre part, les deux faux soleils, l'un à gauche et l'autre à droite, sont strictement sur les "bords" de la sorte de cercle constitué par le phénomène, et ne quittent jamais ces "bords."
Ensuite, le témoin indique que le phénomène se situait devant un groupe d'arbres. Certes, le soleil peut percer à travers des arbres, mais étonnamment, aucune vérification sur cet aspect du cas n'a été faite. Il aurait été indispensable de vérifier exactement ce qui se situait derrière le phénomène: arbres, ou peut-être également les collines? La négligence à vérifier cela est plutôt étrange, dans un cas où le témoin indique que le phénomène était d'abord à 200 mètres de lui, qu'il s'en est rapproché à 80 mètres, puis encore à 70 mètres, indications qui étaient vérifiables et qu'il convenait de vérifier en établissant précisément s'il y avait derrière l'objet des fonds donnant effectivement une distance maximale, ou cachant le soleil, et en déterminant la variation éventuelle des directions angulaires dans lesquelles était le phénomène au cours de la marche du témoin. Ces vérifications simples auraient permis d'assurer ou de réfuter une explication liée au soleil, mais cela n'a apparemment pas été fait et l'on ne sait pas pourquoi.
Ensuite, il est assez connu en ufologie que lorsqu'un corps astronomique est candidat comme explication, il est utile de demander au témoin s'il a vu ce corps astronomique en supplément du phénomène qu'il rapporte. S'il n'a vu que le phénomène et non le corps astronomique, cela donne une bonne vraisemblance à la notion que le phénomène était en fait ce corps astronomique lui-même. S'il a vu les deux, c'est donc que le corps astronomique n'est pas l'explication du phénomène. Ceci n'a pas été clairement exploré; toutefois, le témoin parle justement bel et bien du soleil qui "se levait déjà" lorsque le phénomène a disparu. Ceci constitue bien une certaine indication que le phénomène n'est pas le soleil lui-même.
Finalement, comme tout le monde devrait le savoir, le soleil se lève à l'Est. Branchs indique sans autre explication que l'OVNI était dans la direction du soleil, mais dans la totalité des informations données, tout indique que ce n'est pas le cas: le disque a "volé vers la droite, il a volé vers le sud-sud-ouest". Il est étonnant que Branchs n'ait pas procédé à une reconstitution bien documentée sur les lieux montrant réellement l'arrivée et le départ du phénomène.
Tout ceci me donne l'impression d'une groupe d'enquêteur défendant la thèse socio-psychologique sur les OVNIS, allant voir un témoin dans l'idée de ramener un cas d'exagération ou d'invention journalistique, se trouvant face a un témoin raisonnable qui rapporte bel et bien les mêmes événements que ceux rapportés par le journal à l'époque, et il s'agissait dès lors de trouver quelque explication "naturelle" sans trop se soucier de vérifier qu'elle puisse réellement s'appliquer.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Ufologie | Grave | 11 octobre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pas de plan de situation et direction(s) du phénomène dans le rapport d'enquête. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres ou confusion parhélie.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 11 octobre 2007 | Création, [rb1], [ar1], [pc1]. |
1.0 | Patrick Gross | 11 octobre 2007 | Première publication. |