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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

29 NOVEMBRE 1954, PETARE, MIRANDA, VENEZUELA, GUSTAVO GONZALES ET JOSE PONCE:

Bref résumé de l'événement et des suites:

Le 29 novembre 1954, entre 02:00 et 02:30 du matin, à Petaré, une banlieue à 15 miles de Caracas, capitale du Venezuela, Gustavo Gonzales, un commerçant originaire de La Havane à Cuba et âgé de 25 ans, résidant au 72 rue de Bolivie, à Catia, Caracas, conduisait sa camionnette D.F.4-11382, année 1954 en compagnie de son aide José Ponce du quartier Totumos à Caracas. Les deux hommes allaient chercher des denrées de charcuterie chez le grossiste Scheper, pour les vendre sur le marché ouvert au lever du jour.

Alors qu'ils roulaient dans la rue Bella Vista, menant au secteur des entrepôts, aux alentours de la fabrique de marqueteries "Industrie Nationale de Marqueteries, C.A.", des parages totalement déserts en cette heure matinale, les deux hommes ont constaté que toute la rue était illuminée comme en plein jour par un objet brillant qui leur barrait la route. Ils ont décrit cet objet comme une sphère métallique ou lumineuse de 2 à 4 mètres de diamètre qui planait stationnaire au-dessus de la rue.

L'objet avait deux sortes de fenêtres dans les côtés, d'un peu moins d'un demi-mètre d'ouverture, et une coupole dans la partie supérieure. Ce qui a le plus étonné les deux hommes est que l'engin flottait à un demi-mètre de hauteur, sans aucun support tel que roues, pieds ou train d'atterrissage d'aucune sorte.

Gustavo Gonzales a arrêté la camionnette et les deux hommes ont regardé l'objet avec stupéfaction pendant un moment. Ils sont alors sortis du camion l'un après l'autre, allant jusqu'à environ 8 mètres de l'objet, et Gustavo Gonzales est alors tombé sur un personnage d'un mètre de haut.

Cet être qui se tenait devant la sphère était velu, avec un poil raide et sombre, il avait des "mains" terminées par quatre longues griffes, coupantes comme des armes. Sa tête était ronde ou peut-être sous un casque rond, sans oreilles, ni bouche ni de nez, et les deux yeux étaient grands, ovales, luisant ou reflétant la lumière des phares de la camionnette comme des yeux de chats. Il semblait ne porter aucun vêtement, si ce n'est ce qui a été décrit comme une sorte de pagne étrange, et semblait pieds nus.

Gonzales a eu l'impression initiale que quelque chose l'empêchait de bouger, mais il s'est bientôt avancé vers l'être, et l'a saisi entre ses bras en lui faisant une prise, pour essayer de l'arrêter et de le traîner vers la camionnette.

Il l'a soulevé du sol et noté qu'il était très léger, les diverses sources se contredisant à ce sujet en parlant de 50 livres, 50 kilos, 35 livres, 20 kilos.

Le petit être s'est révélé beaucoup plus fort que sa stature et son poids ne le laissaient présager à Gonzales, et est parvenu à se défaire de sa prise et a donner un coup brutal qui a envoyer Gonzales rouler en arrière au sol.

Gonzales se relevait avec l'intention de continuer la lutte, alors qu'il ressentait une sorte de vibration dans son corps, évoquant également une impression de transe. Apparemment le petit être faisait un bond de félin vers lui et Gonzales a sorti par instinct son couteau scout et a voulu le poignarder à l'épaule, mais à sa grande surprise, la lame n'a pas pénétré, glissant comme si l'être avait une "peau de rhinocéros." C'est à ce moment que Gonzales a remarqué que l'être avait des mains palmées, avec quatre griffes aiguisées qui ont essayé de le saisir.

A un moment de la bagarre, Gonzales a vu deux êtres de plus venant vers lui, venant apparemment en aide au premier. L'un de ces deux nouveaux arrivants tenait une lanterne qui a ébloui Gonzales en l'empêchant de voir pendant un moment ce qui se passait et peu de temps après, voyant de nouveau normalement, il a constaté que tout avait disparu.

Pendant le temps de la bagarre, José Ponce qui était également sorti de la camionnette mais après lui, est d'abord arrivé en courant, a constaté ce qui se passait, et a de plus vu un autre être arriver depuis le terrain à droite de la route, grimpant le talus, avec ses mains jointes portant quelque chose comme des cailloux ou des mottes de terre. Ce nouvel être, dès qu'il a vu Ponce, a bondi par un saut de deux mètres à l'intérieur de la sphère par une ouverture à son flanc, et est réapparu des secondes plus tard avec un troisième être qui tenait quelque chose comme un long tube métallique brillant, pointé vers Gonzales, et qui a émis une lumière qui a aveuglé ce dernier. Le premier être est retourné dans la sphère qui a décollée verticalement à grande vitesse et sans bruit.

Ponce qui en avait assez vu a alors tourné les talons pour courir vers une station de police qui se trouvait dans la même rue à deux ou trois pâtés de maison de là. Gonzales l'y a rejoint quelques minutes plus tard, épuisé de fatigue et de terreur.

Gustavo González, après avoir bu un peu d'eau et récupéré, a raconté ce qui était arrivé aux trésoriers de garde Manuel Moreno et E. Dominguez, lesquels ont déposé que les deux hommes sont entrés là à deux heures et demi du matin avec cette histoire mais qu'ils n'étaient pas ivres, ni mentalement aliénés, tenaient un discours correct et que leur récit, bien qu'étonnant, était plein de détails qui paraissaient réels par le luxe de données qu'ils indiquaient.

Les témoins sont restés un long moment à ce poste qui relevait de l'Inspectoria General de Transito, l'Inspection Générale des Transports, où suite à la suggestion d'une des personnes là-bas qu'ils étaient peut-être ivres, on a vérifié qu'ils n'avaient pas été sous influence alcoolique. On a noté qu'ils étaient nerveux, et que Gonzales, qui avait tenté d'attraper le visiteur avait des contusions sur son flanc gauche.

On s'est adressé à la charcuterie "Industria Nacional de Embutidos C.A." alias "Scheper" où ils devaient chercher des produits à vendre, et le directeur Antonio Cherchi a déclaré qu'il connaissait les deux hommes de vue pour avoir traité avec eux, qu'ils arrivaient toujours à l'heure, ne causaient aucun problème et que s'ils déclarent avoir eu un contact avec quelque de perturbant, lui les croit.

Dans la mi-journée, le Bureau de Presse du Commandement Général de la Police de la Ville de Caracas a informé qu'ils avaient enregistré le rapport des deux hommes, le Major Jesus Antonio Yanes exprimant que l'événement était quelque chose d'extrêmement singulier. Au moins le journal de Caracas El Universal a alors publié le récit de l'affaire le jour même, les journaliste ayant estimé que les deux hommes n'étaient pas des ivrognes puisque la police ne se serait pas privée de le leur signaler.

Gonzales été transféré à trois heures de l'après midi au Poste d'Urgence Central de Esquina de Salas, où le personnel médical de garde qui s'en est occupé a constaté des contusions simples dans le flanc gauche de son corps. Des radios ont été faites pour vérifier qu'il n'avait pas de côte fracturée.

Beaucoup d'autres personnes se sont ensuite présentées pour rapporter qu'il s'était passé quelque chose dans le secteur à cette heure.

Mlle Maria Antonieta Avellaneda a dit avoir été éveillée entre une et deux heures du matin par quelque chose comme une détonation et un son sifflant, mais elle n'y a pas prêté grande attention étant en train de préparer un remède pour un enfant malade de la maison où elle vit.

Concepcion Garrachan, habitant à Petaré, a indiqué que des heures avant que ne se produise la rencontre des deux hommes, il avait vu survoler le sud de Petaré par un appareil lumineux étrange qui ne faisait aucun bruit et que d'autres personnes avec lui avaient vu, commentant l'étrangeté de cet événement. A deux heures du matin, il a entendu une détonation dans la rue Bella Vista.

M. Manuel Maria Soria, du 31 de l'Avenue Sucre à seulement trois halles du lieu de la rencontre des deux hommes, a dit qu'il allait chez lui vers 02:30 du matin, dans son automobile de location, quand il a soudainement observé une lumière puissante qui illuminait son véhicule, le forçant à s'arrêter momentanément. Immédiatement, il a entendu quelque chose comme un sifflement. Il a remis en marche la voiture à toute vitesse et il s'est rendu à son domicile, où il a raconté à sa mère, Juanita Soria, ce qui était arrivé. Elle l'a informé qu'elle avait entendu quelque chose, mais qu'elle avait cru que c'était un des avions acquis par le gouvernement.

Le Dr. Julio Garces, laborantin de l'Hôpital Pérez de Leon, à Petaré, a déclaré que peu après 02:00 du matin, quand il est passé dans son automobile dans les environs de la rue Bella Vista, il a entendu comme un cri de terreur, lancée par une voix effrayée, il s'est arrêté pour voir ce qui se passait et n'a rien vu mais a entendu des cris en ne sachant pas d'où ils provenaient.

Mme Elsa Duderstad, depuis le 9 de la rue de Los Palos Grande où elle vit, a déclaré qu'elle se trouvait dans le jardin de sa maison quand elle a vu vers Petaré une lumière très intense en forme de disque qui montait sur Petaré, changeant de teinte, et qui a été en vue pendant plusieurs minutes.

Son fils Rodolfo Duderstadt réitère catégoriquement ce qu'a déclaré sa mère et indique que ce qu'ils ont vu leur a donné à réfléchit quand par la suite ils ont appris la rencontre des deux hommes dans les journaux. Ursula Wiede, nièce d'Elsa Duderstad, a également assisté au phénomène étrange.

Les Caobos, qui habitent le long de l'ancienne voie ferrée qui conduisait à la partie peuplée de Petaré, indiquent qu'à à l'heure de la rencontre, ils ont observé passant au-dessus de leur maison une lumière très brillante qui a illuminé leurs chambres, "comme une étoile très intense".

Mme Avelina del Paso, habitant rue Andres Bello, a indiqué que plusieurs patrouilles de la Police et de la Sécurité Nationale se sont présentées dans la zone en imposant l'ordre et en faisant des recherches dans les rues et les maisons pour l'origine de l'explosion qui a été perçue au passage de la lumière brillante.

Francisco Leal, du 7 de la rue, a ressenti l'explosion comme tous les voisins du secteur, plusieurs familles complètes alarmées se trouvaient dans les alentours de leur résidence, toutes commentaient l'événement entre elles, s'étant réunies aux "Armes" et à "l'Escobar", parlant à la police d'une lumière bleutée et intense, et d'un bruit étrange entendu par tous les habitants.

Le cas est parvenu à l'ufologie Etats-Unienne par les Lorenzen, dirigeant le groupe d'ufologie APRO, qui ont été informé du cas par un rapport que leur a expédié Joseph Rolas, de Caracas. Celui-ci ajoutait que selon des journalistes, "le docteur" a été plus tard été invité à Washington pour consultation auprès des autorités des USA au sujet des "petits hommes" de ce cas. De nombreux brefs résumés non dépourvus de confusion sont parus dans la littérature ufologique internationale dans les décennies suivantes.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000061
Date d'observation: 29 novembre 1954
Premier rapport: Immédiat.
Délai de rapport: Aucun délai.
Témoignage apporté via: Service des Transports.
Premier enregistrement allégué par: Service des Transports.
Premier enregistrement certain par: Journal national.
Type premier enregistrement allégué: Bureau de service officiel.
Type premier enregistrement certain: Journal national.
Ce dossier créé le: 4 novembre 2006
Sa plus récente mise à jour: 17 octobre 2011
Pays de l'événement: Venezuela
Etat/Département: Miranda
Type de lieu: Rue.
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Oui
Arrivée OVNI observée: Non
Départ OVNI observé: Oui
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 2
Ages des témoins: 25 ans et adulte.
Types de témoins: Commerçant de marché et collègue.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Oui, manquant.
Dessins approuvé par témoins: Incertain.
Nombre d'entités: 1
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 1 mètre
Tenues d'entités: Pagne et/ou tenue fourrée ou pagnes et nus poilus.
Couleur des tenues d'entités: Non rapporté.
Couleur de peau d'entités: Sombre.
Corps des entités: Dur, léger.
Têtes des entités: Grande.
Yeux des entités: Deux, jaunes luminescents ou réfléchissants.
Bouches des entités: Sans.
Nez des entités: Sans.
Pieds des entités: Sans chaussures.
Bras des entités: Normal.
Doigts des entités: Griffus.
Nb de doigts des entités: Quatre.
Pilosité des entités: Pilosité raide sauf tête et pagne.
Voix des entités: Non entendue.
Actions des entités: Sortie de l'OVNI, prennent échantillons, vu témoin, bagarre avec témoins, fuite, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins: Sortie de l'OVNI, prennent échantillons, vu témoin, bagarre avec témoins, fuite, entrée dans l'OVNI.
Réactions des témoins: Observation, tentative de capture, bagarre, fuite.
Sentiments des témoins: Audacieux puis effrayés et choqués.
Interprétations des témoins: Non rapportée.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres.
Certitude de l'explication: Moyenne.

Récits:

[Ref. ht1:] WACO HERLARD-TRIBUNE:

Une ancienne de Waco au Venezuela raconte la saga des soucoupes là-bas

Par MARY LOUISE EDGAR
De la rédaction du Waco Tribune-Herald

Une curiosité insatiable se montre chaque fois que le mot soucoupe volante est mentionné. Qu'est-ce que c'est? Est-ce un missile guidé ou un vaisseau espion de Mars?

Une lettre récemment reçue par le Dr. et Mme V.A. Keiley, 1225 North Street a fait que les amateurs s'interrogent à nouveau au sujet de ce phénomène scientifique. La lettre a été écrite par Mme Elizabeth Antula, fille de ces gens de Waco, qui avec son mari Earl, travaille à l'école Escuala Rural Interamericana à Rubio, Estado de Tachira, Venezuela.

Sa lettre concernait un "disque lumineux" qui a atterri dans une ville près de Caracas et son effet sur deux négociants venezuéliens. Bien que rédigé sur un mode ordinaire, l'incident a attiré un intérêt moins qu'ordinaire parmi des lecteurs.

Deux hommes conduisaient le long de la route autour de 2 heures du matin en préparation de la récupération de marchandises pour le marché. Un "disque lumineux" d'environ deux mètres de long, large d'un mètre et planant à environ 16 centimètres sur une rue du centre de la ville les a forcés à s'arrêter. Ils ont remarqué trois petits hommes, d'un mètre de haut, autour de l'objet luminescent. Saisissant une lampe-torche le conducteur a couru en avant. Son compagnon était avec lui jusqu'à ce qu'il ait remarqué qu'un des petits hommes tenant un "appareil." Effrayé, il a couru dans l'autre sens vers un point de contrôle du trafic voisin.

En attendant le conducteur a jeté sa lampe-torche sur un des hommes et l'a manqué. Il a alors foncé, a saisi le petit gars, l'a soulevé du sol jusqu'à sa poitrine et a tenté de l'amener à la voiture. Le petit homme lui a donné un coup rude dans les côtes et s'est débattu. Sortant un couteau le conducteur a essayé de poignarder la créature mais son couteau a heurté "une surface comme la pierre." Immédiatement les trois petits hommes sont entrés dans le disque qui est monté à une vitesse terrible et a disparu.

Plus tard au point de contrôle du trafic le conducteur a exposé son côté gauche qui commençait à montrer une mauvaise contusion. Il a dit qu'il a pensé que la petite créature récoltait des poignées de terre qu'elle a emmené dans le disque. Les autorités ont rapporté que les hommes n'avaient pas bu, mais ils subissaient toujours des soins pour le choc et l'effondrement nerveux lorsque Elizabeth a écrit au sujet de l'incident.

[Légende du dessin:]

DE TRES GRANDS YEUX est la manière dont un négociant venezuélien a décrit la créature ci-dessus qu'il a vu se tenant près d'un "disque lumineux" planant au-dessus d'une rue dans une ville près de Caracas. Le dessin est une reproduction d'un dessin fait par le négociant pour les autorités intéressées au point de contrôle du trafic de la ville.

[Ref. fe1:] FRANK EDWARDS:

L'auteur énumère quelques rencontres rapprochées du troisième type au Venezuela pour 1954, et note qu'exactement deux semaines avant l'incident de Lorenzo Flores, deux conducteurs de camions à Caracas ont trébuché vers un commissariat de police, blessés et saignant, terrifié, et haletant une histoire qui pourrait avoir été ignorée par la police "s'il n'y avait témoin exceptionnel."

Il indique que José Ponce, un aide, et Gustavo Gonzales, qui a conduit un camion à plateau dans les heures matinales du 28 novembre 1954, allaient à Petaré à environ 15 miles prendre une charge de nourriture à livrer à Caracas pour les marchés qui ouvraient au lever du jour.

Comme le camion était dans une rue des périphéries de Caracas, à environ 02:00 heures du matin, les hommes ont trouvé leur chemin bloqué par un objet en forme de disque luminescent d'environ dix pieds de diamètre et qui planait à environ six pieds au-dessus de la rue.

Gonzales a arrêté le camion et les deux hommes se sont assis là pendant un moment à regarder l'objet avec stupéfaction. Ils sont alors sortis du camion et ont marché plus près de l'objet jusqu'à environ 25 pieds de lui. Ils ont alors vu un homme main très velu les approcher.

Gonzales a saisi cette entité et l'a soulevé du sol, il a dit plus tard à la police que la créature pesait environ 35 livres. Mais l'entité s'est débattue de la prise du conducteur de camion et lui a donné une poussée qui l'a envoyé rouler en arrière.

Ponce en avait eu assez et avait rebroussé chemin ne courant pour chercher de l'aide à un commissariat de police qui était seulement à quelques pâtés de maisons de là.

Avant que Gonzales n'ai pu se relever, la créature a sauté plusieurs pieds dans l'air et est tombée sur lui, qui a noté que les yeux de son attaquant brillaient dans les phares du camion "comme des yeux jaunes de chats."

Gonzales est parvenu à se lever sur un genou et a sorti son couteau. Quand l'entité est venue à lui à nouveau, il a noté qu'elle avait des extrémités palmées avec des griffes environ un pouce de long au lieu de mains. Il a essayé de poignarder l'entité dans l'épaule mais la lame a glissé comme si elle avait frappé de l'acier.

Un autre être avait sauté de l'engin luminescent et dirigeait un petit tube brillant sur Gonzales, qui a produit un faisceau de lumière brillante qui l'a aveuglé pendant un moment "et il a pensé qu'il était parti... mais quand il a pu voir à nouveau l'objet montait au-dessus des arbres et a été rapidement perdu dans la nuit."

Gonzales a couru vers le commissariat de police et est arrivé quelques minutes après Ponce. La première pensée de la police était que Gonzales et Ponce avaient bu ou étaient fous, mais un docteur a été appelé, et a déterminé que les deux hommes étaient dans un état de choc et que ni l'un ni l'autre d'eux n'avaient bu.

Gonzales a été soigné pour une longue éraflure profonde en bas de son côté gauche et a été placé sous sédatif.

Un médecin bien connu de Caracas avait été témoin de tout l'incident tandis qu'il s'était rendu à un appel de nuit et avait conduit derrière Gonzales quand Gonzales est arrivé sur l'objet bloquant la rue. Ce docteur a dit aux autorités qu'il avait été témoin du combat, mais avait été peu disposé à confirmer leur rapport par crainte du ridicule. Après avoir été assuré plus tard qu'il ne serait pas nommé dans les rapports, le docteur a fait son rapport pour les forces de maintien de l'ordre.

Le représentant de l'APRO à Caracas a été informé par des représentants de la presse que le docteur a été plus tard invité aux Etats-Unis pour consultation auprès des autorités de là-bas concernant les "petits hommes" impliqués dans le cas.

[Ref. lo1:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Les Lorenzen indiquent que le premier incident OVNI au Venezuela faisant participer des occupants de l'OVNIS occupés à récolter des échantillons est venu à leur attention dans un rapport que leur a expédié Joseph Rolas de Caracas, Venezuela.

Il a indiqué qu'à environ 02:00 du matin du 28 novembre 1954, Gustavo Gonzales et son aide José Ponce ont voyagé de Caracas à Petaré, une banlieue de Caracas, pour chercher des produits à vendre sur les marchés de Caracas le matin suivant.

Quand ils sont entrés dans une rue menant au secteur des entrepôts, ils ont vu un objet sphérique lumineux planer environ six pieds au-dessus du sol en bloquant leur chemin. Ils ont arrêté leur camion et Gonzales est sorti pour se rendre compte.

Un être de l'aspect d'un homme chétif, de quelques trois pieds de taille, avec des yeux luisants, est venu vers Gonzales, et Gonzales a essayé de le saisir. Le petit être a frappé Gonzales et l'a envoyé rouler à environ 15 pieds. L'être a alors sauté sur Gonzales, avec des mains prolongées de griffes. Gonzales a pris son couteau et a poignardé l'être dans l'épaule, mais le couteau a glissé comme s'il avait heurté de l'acier.

Un autre être est sorti d'une trappe dans le côté de la sphère et a dirigé la lumière d'une sorte de tube métallique sur Gonzales, l'aveuglant.

Puis le premier être a sauté dans la sphère qui a décollé rapidement et a été perdue de vue en peu de secondes.

Pendant la bagarre, Ponce a observé deux autres êtres semblables émerger du côté de la rue en portant ce qui a semblé être des roches ou de la terre dans leurs bras. Ils avaient également facilement sauté vers le haut dans la sphère par l'ouverture dans son côté.

Ponce s'est sauvé et a couru au commissariat de police qui était à un pâté de maison et demi plus loin approximativement, et il racontait ce qui s'était passé quand Gonzales est arrivé. Les deux hommes ont été interrogés étroitement et il a été déterminé qu'ils n'avaient pas bu et que tous les deux avaient de toute évidence été très effrayés par quelque chose. Il leur a été donné des sédatifs et Gonzales a été mis sous observation pour une éraflure profonde et rouge dans son flanc.

[Ref. lo2:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Dans ce livre postérieur, les auteurs rappellent seulement l'incident, renvoyant le lecteur à des références précédentes pour des détails. Ils indiquent que deux ouvriers menant leurs affaires courantes ont trouvé par hasard un globe qui avait atterri dans Petaré, une banlieue de Caracas, le 28 novembre 1954. Ils ont vu dans les minutes suivantes des êtres ramassant des roches et de la terre qu'ils ont chargée dans leur engin, pendant qu'un des hommes qui s'en est mêlé y a gagné une bonne trempe et une cicatrice.

[Ref. gc1:] GORDON CREIGHTON:

Gordon Creighton indique qu'à Caracas, Venezuela, à 2 heures du matin du 28 novembre 1954, Gustavo Gonzales et José Ponce conduisaient un fourgon dans les faubourgs de la capitale venezuélienne, quand ils ont vu la route bloquée devant eux par une sphère lumineuse de 3 à 4 mètres de large qui planait à environ deux mètres du sol.

Gonzales s'est avancé pour mieux voir, et a du se battre contre une créature naine, velue et hirsute aux yeux brillants qui semblait d'un poids léger mais tellement forte qu'elle a rejeté Gonzales cinq mètres plus loin d'une simple poussée.

La créature a alors sauta sur Gonzales, qui a sorti son couteau et l'a poignardée, mais le couteau a dévié comme s'il avait frappé de l'acier. Une autre créature est alors sortie de la sphère et a aveuglé Gonzales avec un rayon de lumière éblouissante provenant d'un petit tube.

Pendant ce temps, José Ponce avait vu deux autres créatures sortir de buissons avec les bras pleins de ce qui semblait être de la terre ou des cailloux. Elles ont bondi avec une grande aisance dans la sphère planante.

Toutes les créatures portaient un pagne.

Ponce a couru vers le poste de police le plus proche, où il a été rejoint par Gonzales peu après, épuisé de fatigue et de terreur.

La police a d'abord pensé qu'ils étaient tous deux ivres, mais a vite réalisé que ce n'était pas le cas. Gonzales avait une longue écorchure profonde qui saignait sur le flanc. On leur a donné des sédatifs avant de les placer sous observation médicale pendant plusieurs jours. L'un des médecins qui les a traité a dit devant eux plus tard qu'il savait que leur histoire était vraie, car il revenait en voiture d'un appel de nuit au même moment et avait vu la bagarre.

Le représentant de l'APRO à Caracas a indiqué que ce médecin s'est rendu par la suite à Washington pour discuter le cas avec des autorités américaines.

Gordon Creighton indique que la source pour ce cas est le livre de Coral Lorenzen "The great flying saucer hoax."

[Ref. lo3:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Les auteurs indiquent que le matin du 28 novembre 1954, deux ouvriers de production sur leur chemin de Caracas, Venezuela, à Petare, pour prendre un chargement de produits pour le marché du matin suivant, ont tourné dans une rue.

Le conducteur, Gustavo Gonzales, a immédiatement actionné les freins de son petit camion parce que la route était bloquée par un objet en forme de globe et d'apparence métallique qui a plané à environ six pieds au-dessus de la route.

Deux petits hommes chétifs portant des roches et de gros morceaux de saleté se déplaçaient de ci de là du côté de la route à l'objet.

Gonzales est sorti du camion, s'est dirigé vers le globe, et à ce moment une des créatures s'est dirigée vers lui. Gonzales n'avait pas peur, en raison de son avantage de taille et de poids, et il avait l'intention de capturer une des créatures et de l'amener à la police.

Il a décrit les êtres comme d'environ 3 pieds de haut, larges d'épaules, avec de grandes têtes sombres et des yeux incandescents ou brillants.

Gonzales piqué vers l'un d'eux et a alors découvert qu'il avait un corps extrêmement dur couvert de poils raides, et une force prodigieuses, puisqu'il l'a frappé d'un bras et l'a envoyé rouler environ 5 mètres plus loin.

Dans ce même temps, Jose Ponce observait fasciné et apeuré depuis le camion, mais quand Gonzales a été frappé, il s'est précipité vers le commissariat de police qui était seulement à un pâté de maison de là.

La créature qui a frappé Gonzales a semblé bondir en l'air et est venue sur lui avec ses yeux brillants, et Gonzales a sorti un couteau de travail. Pendant que l'être venait vers lui avec ses mains griffues en avant, Gonzales l'a poignardé à l'épaule, mais il a été stupéfait de constater que le couteau a semblé glisser comme si l'être était en métal.

A ce moment un autre des êtres a émergé d'une ouverture dans le côté du globe et a pointé un petit tube qui a envoyé un rayon de lumière sur Gonzales, qui a été temporairement aveuglé. Les deux êtres sont alors entrés dans l'OVNI qui a décollé à grande vitesse et a été hors de vue en quelques secondes.

Gonzales a été terrifié et est allé au commissariat de police, arrivant juste quelques minutes après Ponce. Les officiers de police avaient pensé que Ponce était fou ou ivre quand il a rapporté son histoire, mais n'étaient pas aussi sûr de cela quand Gonzales est arrivé. Les hommes ont reçu des sédatifs et Gonzales a été traité pour une longue éraflure rouge à son flanc.

[Ref. jr1:] JEAN-PAUL RONECKER:

L'auteur indique que dans la nuit du 28 novembre 1954, dans les faubourgs de Caracas, vers 02:00, José Ponce et Gustavo Gonzalès s'engageaient en camionnette dans l'avenue Primera de Buenavista qui était totalement déserte en cette heure matinale, quand soudainement les deux hommes ont vu devant eux une sphère lumineuse d'environ trois mètres de diamètre qui stationnait à moins de deux mètres au-dessus de la route. Le chauffeur étonné a tout de suite arrêté la camionnette.

Il y avait un petit être velu avec des "mains" terminées par trois longues griffes qui se tenait devant la sphère. Sa tête était parfaitement ronde ou peut-être sous un casque rond, il n'avait pas d'oreilles, ni de bouche ni de nez, et avait deux grands yeux ovales étrangement luisants. Il semblait ne porter aucun vêtement, son corps fin étant était entièrement recouvert d'une fourrure sombre à l'exception de la "tête".

Gonzalès a alors voulu l'attraper, mais l'entité qui semblait très légère était dotée d'une force beaucoup plus puissante que ce que sa petite stature laissait présager. Il s'est facilement dégagé de la prise de Gonzales et l'a repoussé brutalement. Selon les versions, c'est soit Gonzales soit le petit être qui a entrepris la poursuite de la lutte. Gonzales a été griffé à plusieurs reprises, a sorti un couteau et a tenté de poignarder l'entité, mais la lame ne pénétrait pas, glissant sur la peau velue de "l'hombrecito" sans lui occasionner la moindre blessure et sans gêner sa bagarre.

Pendant ce temps, José Ponce qui était inquiet de ce qui se passait a décidé de chercher de l'aide au commissariat. Au moment où il allait redémarrer la camionnette, il a vu deux autres êtres surgir d'un terrain bordant la route en portant des pierres ou des mottes de terre. Ils se sont mis à courir vers la sphère et ont sauté à bord d'un bond léger. L'un des êtres est réapparu en tenant une sorte de tube cylindrique qu'il a braqué vers Gonzalès, et un faisceau lumineux intense l'a alors aveuglé et paralysé, alors que l'entité avec laquelle il s'était battu fuyait vers la sphère qui s'est élevée "pour disparaître dans la nuit."

[Ref. gi1:] GILLMAN, ALBUM "ESCALOFRIO":

Ce groupe de hard-rock du Venezuela a consacré deux plages de leur album "Escalofrio" de 1994 à cette affaire. La plage 14 est une narration du cas et la plage 15 en est une version chantée.

Cela raconte que le 29 novembre 1954, à environ 2 heures du matin, Gustavo Gonzales et son aide José Ponce ont voyagé à bord d'un camion léger près de la rue de Bella Vista dans Petaré, allant à la charcuterie Scheper, à la recherche de produits qu'ils vendraient au marché.

Ils ont dit que la rue s'est illuminée comme si c'était midi, ils sont sortis de leur véhicule et ont pu voir un être étrange les approcher, venant d'un engin incandescent qui flottait à quelques mètres au-dessus du sol. Après qu'une lutte avec le petit être, deux occupants de l'engin sont venus à leur aide et se sont rapidement retirés dans la soucoupe volante.

Les êtres ont été décrits comme petits, velus, avec des yeux brillants, sans nez, pieds nus, avec une tenue très étrange semblable à un pagne.

Les témoins sont demeurés longtemps à l'Inspectoria General de Transito (Inspection Générale des Transports), où on l'a vérifié qu'ils n'avaient pas été sous influence alcoolique. On a noté qu'ils étaient nerveux, et que celui des deux qui avait tenté d'attraper le visiteur avait des contusions sur son flanc gauche.

Le lendemain, de nombreux et respectables voisins de la zone de l'événement et de Caracas en général, ont témoigné qu'ils avaient vu un objet volant non identifié le matin dans ce secteur.

Mention est faite du journal "El Universal" comme source.

[Ref. mb1:] MARIE-THERESE DE BROSSES:

L'auteur indique que le 28 novembre 1954, les deux ouvriers agricoles Gustavo Gonzalez et Jose Ponce conduisaient de nuit vers 02:00 du matin une camionnette dans la région de Petare au Venezuela.

Il ont alors remarqué une lumière violente, ont arrêté leur véhicule, en sont descendus et ont distingué une soucoupe lumineuse d'où sont sortis trois êtres qu'ils ont décrit comme velus, de très petite taille, dépourvus de nez, pieds nus et aux yeux très brillants.

Un des êtres a approché la camionnette, Gonzalez a essayé de l'attraper en le prenant entre ses bras mais en dépit de sa petite taille, l'humanoïde "extrêmement fort" s'est dégagé. Gonzalez qui voulait le poursuivre a sorti son couteau mais deux autres créatures l'ont aveuglé en brandissant vers lui une sorte de lanterne. Gustavo est cité disant:

"Quand je suis sorti de cette sorte de transe (Cuando de aquella especie de trance) causée par la lumière, je tenais à la main mon couteau de poche. Je me suis alors souvenu que, lorsque j'en ai flanqué un coup à cet être étrange, l'arme a glissé sur son corps comme si j'avais frappé un matériau plus résistant que la lame."

L'auteur indique que les deux camarades sont revenus à eux en même temps sans se souvenir de la suite du combat, avec leurs corps couverts de griffures et leurs vêtements déchirés. Un routier les emmène au poste de premier secours, ils sont tous deux dans un état d'extrême nervosité et le flanc gauche de Gonzalez porte des traces de contusions. Ils ne savent pas ce qui leur est arrivé mais il est certain que les deux hommes étaient amis et n'avaient aucune raison de se quereller.

L'auteur indique que l'affaire est parue dans le journal El Universal, de Caracas, le 29 novembre 1954.

[Ref. ph1:] PATRICK HUYGHES:

Dans son livre sur les types d'extraterrestres, l'auteur note dans la catégorie "nain velu" que le 28 novembre 1954 à Caracas, Venezuela, Gustavo Gonzales et José Ponce ont rencontré un nain animalesque grand de 1 mètre qui ne portait pas de vêtements, étant complètement couvert de poils raides et ayant des mains et des pieds à trois griffes. Leur technologie comprenait un engin sphérique de 3 mètres de large avec une ouverture dans le côté et un petit tube qui émettait une lumière comme un laser. Trois de ces individus étaient observés portant des roches ou des morceaux de saleté à leur véhicule.

Gustavo Gonzales a soulevé un des nains velus et l'a trouvé être très léger mais avec un corps fort et très dur et il a été projeté en l'air par le nain.

[Ref. en1:] EL NACIONAL:

Dans un article rappelant les OVNIS du Venezuela 50 ans auparavant, ce journal national rapporte:

10 ans après [un cas de 1944], le 29 novembre 1954, un rapport est apparu, enregistré par le service de presse du Commandement Général de la Police de Caracas au sujet d'un combat de rue entre Gustavo González, un Cubain de 25 ans, et un "être d'un autre monde" dans la rue Bella Vista à Petaré: "Je me suis senti au début comme si quelque chose m'a empêché de bouger, mais j'ai bientôt avancé où l'être étrange se trouvait, je l'ai saisi entre mes bras et j'ai essayé de l'arrêter, mais ce petit hombrecillo [petit bonhomme] avait beaucoup de force et est parvenu à défaire la prise de bras que je lui avais appliquée, en dépit de ce que je l'avais soulevé; il pesait quelque chose comme 50 kilogrammes, il était velu, il n'avait pas de nez, il était pieds nus et il a porté une tenue comme une certaine sorte de pagne." L'histoire de González est interminable et pleine de détails, mais finalement le jeune Cubain et son compagnon (José Ponce) ont laissé indemnes cet être agressif "qui avait des bras avec des mains coupantes comme des armes."

[Ref. ab1:] ALAN BAKER:

L'auteur indique qu'à Caracas, Venezuela, le 28 novembre 1954, à 02:00 heure du matin, Gustavo Gonzales et Jose Ponce étaient sur leur chemin vers un marché ouvert de nuit à Petare tout près, et ont alors vu une sphère lumineuse de dix pieds de diamètre descendre sur la route devant eux et bloquant leur passage.

Gonzales conduisait et a arrêté le camion. Les deux hommes en sont sortis pour examiner la sphère; laquelle planait maintenant à environ six pieds au-dessus de la route. Ils ont alors vu un étrange petite créature comme un singe velu sortir des buissons sur le côté de la route et approcher d'eux.

Sur une impulsion, Gonzales a saisi l'entité. Elle pesait seulement environ 35 livres et son corps était extrêmement dur. Elle était également immensément forte, puisqu'elle a envoyé Gonzales voler en l'air avec une seule frappe.

Ponce regardait aux alentours en état de panique et a vu deux êtres de plus sortir des buissons, et il a couru à un commissariat de police voisin tandis que la première créature sautait sur Gonzales avec ses griffes pointues. Gonzales a sorti un couteau et a poignardé l'être mais la lame n'a pas pénétré sa peau. Un des autres êtres avait ramassé des roche du bord de la route, et a alors dirigé un petit tube sur Gonzales et lui a envoyé un faisceau de lumière, et Gonzales a pris son visage dans les mains, temporairement aveugle, alors que les trois êtres s'élevaient à bord de la sphère, qui a alors décollé et a volé au loin.

Après avoir recouvré la vue, Gonzales est allé au commissariat de police et avec Ponce, il a été interrogé par la police qui a supposé qu'ils devaient être ivres. Mais ils n'en ont plus été sûrs après Gonzales ait montré une longue éraflure profonde.

[Ref. gg1:] GABRIEL GUTTIEREZ:

L'auteur indique que le dimanche 29 novembre 1954, le Bureau de Presse du Commandement Général de la Police de la Ville de Caracas a enregistré le rapport suivant:

"Gustavo González, 25 ans, originaire de La Havane, Cuba et résident au 72 rue de Bolivie, à Catia, Caracas, avec son collaborateur José Ponce, de Caracas, domicilié dans les Totumos, se dirigeaient dans une camionnette immatriculée D.F.4-11382, année 1954, vers la fabrique de marqueteries "Industrie Nationale de Marqueteries, C.A.", située dans la rue Bella Vista à Petaré, où se trouve le distributeur des produits pour Marchés Libres du Secteur Fédéral et de l'Etat Mirador, où il a été victime d'une crise nerveuse en soutenant une lutte avec un être vivant inconnu qui est descendu à terre d'un appareil incandescent, lequel selon sa version flottait à un demi-mètre de hauteur sur la rue en empêchant le libre passage du véhicule, qui avait deux mètres de diamètre et avait deux fenêtres élargies dans les côtés, d'un peu moins d'un demi-mètre d'ouverture, et une coupole dans la partie supérieure; mais ce qui est étonnant - ont-ils dit - est que ce globe de métal brillant était en train de flotter à un demi-mètre de hauteur, sans jambe, ni supports, ni roues, ni train d'atterrissage d'aucune sorte."

"Le cas en question s'est produit le jour de dimanche 29 novembre de 1954, à deux heures du matin dans la rue Bella Vista, à Petaré."

Le Cubain, des heures après sa rencontre avec cet étonnant personnage, a dû être transféré au Poste d'Urgence Central de Esquina de Salas, où le personnel médical de garde qui s'en est occupé a constaté des contusions simples dans le flanc gauche de son corps.

"Au juge de la partie officiel émanant du Bureau de Presse du Commandement Général de la Police, Monsieur Gustavo González, je déclare aux autorités ce qui suit:"

"Quand je suis passé par la rue Belle Vue, à Petaré, en conduisant une camionnette qui m'appartient et accompagné d'un collaborateur, j'ai soudainement été surpris et arrêté le véhicule qu'il conduisait, quand j'ai observé que la rue où nous passions était illuminé comme s'il était midi en pleine journée."

"Mon collaborateur, José Ponce, également étonné, a ouvert la porte de la camionnette et est descendu à terre. Il est sorti en courant en voyant ce que je j'au vu des secondes plus tard, ayant pu observer un être vivant inconnu qui s'approchait de nous. Au début je me suis senti comme si quelque chose m'empêchait de me déplacer, mais ensuite j'ai avancé vers où l'inconnu se tenait, je l'ai pris entre mes bras et ai essayé de l'arrêter, mais ce petit "hombrecillo", comme nous pourrions le qualifier, avait beaucoup de force et a réussi à se défaire de la prise de bras qui lui était appliquée, bien que pour l'avoir soulevé, il pesait quelque chose comme 50 kilogrammes et d'avoir essayé de le porter vers la camionnette, je suis tombé sur le trottoir à cette réaction, il m'a rapidement arrêté."

"J'ai essayé de poursuivre l'hombrecillo et quand je l'ai regardé à nouveau j'ai observé plus surprenant encore: deux hombrecillos de plus venaient vers moi, dont l'un m'a illumine avec une lanterne, venant apparemment en aide à son compagnon. Cette lumière m'a empêchée de voir pendant un moment ce qui se passait et peu de temps après en étant en mon état normal, tout avait disparu."

"Quand je suis sorti de cet état de "transe", tenant mon couteau de "Boy Scout" dans la main droite et réalisant alors que "l'hombrecillo" qu'il s'agissait d'arrêter s'approchait de moi, par instinct, à cause j'ai brandit service à briller l'arme qu'il portait et j'ai frappé de mon arme l'épaule de l'être inconnu, mais ma surprise a été sans bornes quand le couteau a glissé sur sa peau dure, en n'entamant pas ce dernier, il paraissait avoir la peau d'un rhinocéros. L'arme dérapait sur le corps rugueux de l'être inconnu et glissait comme si elle tombait dans un certain matériau très solide, j'ai pu remarquer que ses mains étaient comme quatre griffes aiguisées qui ont essayé de me saisir."

"Entre-temps le collaborateur José Ponce est descendu par la petite porte du côté droit de la camionnette et s'est dirigé vers la boule sphérique, quand est arrivé du versant droit de l'Avenue Première de Bella Vista, un hombrecillo poilu qui montait rapidement la pente de la colline avec les mains jointes et chargées d'un tas de terre."

"A peine le petit être avait-il aperçu José Ponce, que d'un saut de deux mètres, il est entré par une ouverture et a disparu dans l'intérieur, pour se montrer des seconds plus tard avec un autre être armé d'un long tube brillant qu'il tenait entre ses mains en pointant les deux hommes."

"Mon compagnon José Ponce et moi", ajoute González, "pouvons les décrire ainsi; celui que j'ai saisi était poilu, n'avait pas de nez, était de petite stature, sans chaussures, avec une combinaison très étrange - elle ressemblait à un pagne - ses deux yeux étaient brillants. Très agile et fort pour sa taille il a fait un saut de félin vers moi."

"J'ai senti assez tôt une vibration, qui se signalait dans le corps plus que d'être entendue, ceci a paralysé González et Ponce, et ils ont vu comme majestueusement et en silence la sphère brillante s'est soulevée du sol en volant verticalement jusqu'à se transformer un point pour disparaître sans laisser de trace."

L'auteur poursuit en citant visiblement la presse:

José Ponce est sorti en courant et est arrivé à l'Inspection du Transport de Petaré située dans la même rue où a été enregistré l'événement étrange. Quelques minutes après, arrivait à ce même bureau officiel, Gustavo González, et après avoir pris un peu d'eau et récupéré son énergie, il a raconté l'histoire de ce qui était arrivé aux trésoriers de garde Manuel Moreno et E. Dominguez, lesquels affirment que tous les deux sont entrés là à deux heures et demi du matin avec cette histoire mais qu'ils n'étaient pas ivres, ni mentalement aliénés; leur discours était correct et leur narration, bien qu'étonnante, était pleine de détails qui paraissaient réels par le luxe de données qu'ils indiquaient.

Plus tard dans la mi-journée, le fonctionnaire officiel le Major Jesus Antonio Yanes, a exprimé que ce qui était arrivé à González et à Ponce, était quelque chose d'extrêmement singulier, qui a par la suite causé une forte douleur dans le flanc gauche à González qui a été emmené à un Centre d'Aide pour essayer une assistance médicale, à trois heures de l'après-midi, où ils l'ont pris en radiographie pour écarter une rupture des côtes en vérifiant la distance musculaire dans ce flanc du corps, et sa forte nervosité.

Tous ceux qui à ce moment-là se trouvaient dans l'I.G.T. [Inspection des Transports], surveillaient Ponce et González, surpris. Quelqu'un a dit "ils ont eu une vision suite à ses libations et ils ont démontré ne pas avoir pris aucune liqueur en faisant sentir qui n'écartaient pas de la vapeur alcoolique, puis on s'est adressé à la charcuterie "Industria Nacional de Embutidos C.A." alias "Scheper" où ils cherchaient des produits à vendre sur le Marché Libre, où son directeur Antonio Cherchi a dit "j'indique connaître de vue et avoir traité avec à González et Ponce et je déclare qu'ils étaient des personnes sérieuses et travailleurs qui arrivaient tous les jours ponctuels tous les deux à l'aube pour chercher leurs produits," qu'il n'avait eu aucune plainte ni n'avait observé quelque chose anormal chez ces derniers ce pourquoi il pense que s'ils ont vu ou ont eu des contacts avec quelque chose qui les perturbe, il affirme que "s'ils disent qu'ils ont vu quelque chose, je les crois..."

D'autre part, nos journalistes, ont obtenu d'apprendre qu'en réalité Ponce et González ne se trouvaient pas sous influence alcoolique quand il y a eu l'événement, parce que d'avoir été contrôlés, ils en auraient été avertis par les autorités du transport et, quand González a été transféré au Poste d'Urgence, il était montré en outre assez nerveux et son flanc gauche montrait des contusions légères.

D'autres personnes témoignent qu'ils ont vu ou ont entendu quelque chose, dans la rue Bella Vista entre autres Mlle Maria Antonieta Avellaneda qui a dit avoir été éveillée entre une et deux heures du matin, vers l'heure indiquée de l'événement et qu'elle a pu percevoir "quelque chose comme une détonation... et un son sifflant" mais elle n'y a pas prêté grande attention étant en train de préparer un remède pour un enfant malade de la maison où elle vit.

De la même manière, M. Concepcion Garrachan, qui vit à Petaré, a indiqué que des heures avant que ne se produise l'événement, il avait vu survoler le sud de Petaré par "... un appareil lumineux étrange qui ne faisait aucun bruit et que d'autres personnes avec lui avaient vu et avaient commenté l'étrangeté de cet événement...", et dans l'aube, à deux heures, il a ensuite entendu une détonation dans la rue Bella Vista qui a été entendue d'autres zones de la Vallée de Caracas.

M. Manuel Maria Soria, qui habite dans l'Avenue Sucre, au Nº 31, à seulement trois halles du lieu indiqué par les témoins de l'atterrissage, a dit qu'il allait à sa maison vers les deux heures et demies du matin, (l'heure indiquée par Gustavo González pour la rencontre) dans son automobile de location, quand il a soudainement observé qu'une lumière puissante illuminait le véhicule, en l'obligeant à s'arrêter momentanément. Immédiatement, il a entendu quelque chose comme un sifflement, précis et tourmenté. Il a mis en marche la voiture à toute vitesse et il s'est rendu à son domicile, où il a raconté à sa mère Madame Juanita Soria ce qui était arrivé. Cette dame lui a répondu qu'elle avait entendu "quelque chose", mais elle a cru que "c'était un de ces avions acquis par le gouvernement qui font beaucoup de déplacements."

Un autre témoin de référence a été le Dr. Julio Garces, laborantin de l'Hôpital Pérez de Leon, à Petaré, qui a déclaré que peu après les deux du matin de dimanche, quand il est passé dans son automobile par les alentours de la rue Bella Vista, il a entendu comme un cri de terreur, lancée "par une voix effrayée...", il s'est arrêté pour voir ce qui se passait et n'a rien vu mais a entendu des cris en ne sachant pas d'où ils provenaient. En outre Mme Elsa Duderstad, depuis le 9 de la rue de Los Palos Grande où elle vit, a déclaré qu'elle se trouvait dans le jardin de sa maison quand elle a vu vers Petaré une lumière très intense en forme de disque qui montait sur Petaré, qui changeait de tonalité et a été en vue pendant plusieurs minutes. Son fils Rodolfo Duderstadt réitère catégoriquement ce qui est exposé par sa mère et indique que "... la vision que nous avons eue nous à donné beaucoup à réfléchir, puisqu'elle s'est produite à la même heure qu'à Petaré, alors que nous ne savions rien des détails du cas avant d'en avoir lu l'histoire dans les journaux..." Mademoiselle Ursula Wiede, parente (nièce) de Madame Elsa Duderstad, a aussi eu l'occasion d'assister au phénomène étrange.

L'histoire se termine en faisant référence à des voisins de la ville. Les Caobos, qui habitent le long de l'ancienne voie ferrée qui conduisait à la partie peuplée de Petaré, soulignent que cette aube et à l'heure indiquée, ils ont observé tandis qu'elle passait au-dessus de leurs maisons une lumière très brillante qui a illuminé ses chambres en arrivant comme une étoile très intenses, beaucoup se sont abstenus de donner des déclarations à la presse, pour éviter d'être traités de fous ou être cités par la Sécurité Nationale qui a effectué une enquête à ce sujet. Mme Avelina del Paso, habitant rue Andres Bello, a indiqué que plusieurs patrouilles radio de la Police et de la Sécurité Nationale se sont présentées dans la zone en imposant l'ordre et en faisant des recherches dans les rues et les maisons en cherchant l'origine de l'explosion qui a été perçue au passage de la lumière brillante.

Francisco Leal, qui vit au 7 de la rue, a ressenti l'explosion comme tous les voisins du secteur, plusieurs familles complètes alarmées se trouvaient dans les alentours de leur résidence, toutes commentaient l'événement entre elles s'étaient trouvées aux "Armes" et à "l'Escobar", qui ont indiqué selon les déclarations données à la police que c'était une lumière bleutée et intense, cette lumière étant diffusée vers le haut, et tous les habitants ont entendu le bruit étrange.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique qu'à Petaré, Venezuela, le 28 novembre 28, 1954 à 02:00 heures du matin, Gustavo Gonzalez et son aide José Ponce conduisaient un camion quand ils ont trouvé la rue bloquée par une sphère lumineuse de 8 à 10 pieds de diamètre, planant à 6 pieds au-dessus de la terre.

Ils sont sortis pour se rendre compte, et ont vu un être chétif de 3 pieds de haut avec des griffes et des yeux luminescents, venant vers eux. Gonzalez a saisi l'être, qui portait seulement un pagne, et l'a soulevé vers le haut, le trouvant étonnamment léger, dur, et velu. L'être lui a donné un coup qui l'a repoussé 15 pieds plus loin. Gonzalez a alors essayé de le poignarder, mais le couteau a glissé sur lui.

Ponce a vu deux autres de ces êtres émerger des buissons avec du sol dans leurs mains. Ils ont sauté vers le haut dans la sphère, et ont envoyé une lumière aveuglante sur Gonzalez, dont l'antagoniste a également sauté dans l'objet, qui a volé au loin. Gonzalez a été laissé avec une éraflure profonde dans son flanc.

Rosales indique que sa source est l'APRO Bulletin, 11/54.

[Ref. jb1:] JEROME BEAU:

L'auteur indique que le 28 novembre 1954 à deux heures du matin, deux jeunes gens voyageant à bord d'une camionnette près de Caracas au Venezuela sont tombés sur une sphère lumineuse de près de 3 mètres de diamètre en vol stationnaire à 2 mètres au-dessus de la route.

L'un d'eux, Gustavo Gonzalez, est sorti pour voir de plus près, et alors qu'il s'approchait, une petite créature ressemblant à un nain et couverte de poils raides l'a envoyé rouler d'une petite tape désinvolte, puis a sauté sur lui, avec les yeux rouges comme injectés de sang.

Gonzalez a sorti un couteau pour le frapper mais la lame glisse sur son corps poilu. Une autre créature a soudain surgi et ébloui Gonzalez avec une lumière très puissante. L'autre homme, José Ponce, a sauté de la camionnette pour venir en aide à son ami et a vu deux autres créatures émerger des buissons bordant la route en portant des pierres. Les êtres ont sauté dans leur véhicule en suspension et ont disparu.

Les deux hommes ont signalé l'incident à la police et le médecin qui les examiné était justement en route pour une urgence et avait été témoin de la scène. Les deux hommes étaient très effrayés et Gonzalez avait une sérieuse éraflure sur le côté.

[Ref. lg1:] LUIS GONZALES:

L'ufologue Espagnol note dans un catalogue qu'à Petaré, Venezuela, le 28 novembre 1954 à 02:00, G. Gonzalez et José Ponce, conducteurs de camion, ont trouvé leur route bloquée par une sphère lumineuse de plus de 3 mètres et planant à 2 mètres au-dessus du sol.

Une petite créature avec des griffes et des yeux jaunes luminescents est venue vers eux. Gonzales l'a saisi et l'a trouvée étrangement légère, moins de 20 kilogrammes, et a observé que son corps était très dur et couvert de fourrure et d'une tenue étrange.

La créature l'a repoussé, alors que deux autres créatures sortaient des buissons et sautaient dans la sphère, portant des pierres et d'autres échantillons.

Une lumière de l'engin a aveuglé Gonzales et les êtres étranges ont volé au loin. Les témoins sont immédiatement allés à un commissariat de police voisin. Les jours suivants, il y a eu une vague des cas semblables au Venezuela.

L'auteur indique comme sources Horacio González Ganteaume, "Platillos voladores sobre Venezuela " 1961, pp 174-181, le journal El Universal, de Caracas, du 29 novembre 1954, et le cas 344 du catalogue Magonia.

DESSINS:

Un certain nombre de dessins ont circulé dans la littérature ufologique ou sur l'Internet, censément représentant un des êtres vus dans cette affaire, dessins généralement non sourcés.

Points à considérer:

En considérant les brefs résumés de quelques lignes offerts en plusieurs décennies de livres sur les OVNIS, je pensais que ce cas est simplement un conte vague d'une certaine histoire de rencontre rapprochée invérifiable venue d'un pays où les gens et journalistes inventerait par habitude de telles courtes fables. Il s'avère que l'histoire semble beaucoup plus riche que cela, et bien que fragmentaire, elle semble indiquer une rencontre rapprochée dans un secteur peuplé, elle a été enregistrée par les autorités de police, avec un certain nombre d'affirmation modérément corroborantes dans le secteur entier par des témoins nommés, et aucun signe des fables inventées généralement idiotes que l'on s'attendrait à trouver si tout ceci avait été inventé.

Ceci fait de l'histoire une affaire plutôt intéressante qui ne devrait pas avoir été réduite au cours des années en des résumés confus et parfois contradictoires accompagnés de petits dessins inventés dans la littérature ufologique internationale.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Grave 4 novembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Manque du probable rapport de police comportant les déclarations des témoins. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Données Moyenne 4 novembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Manque de l'article du journal de Caracas El Universal du 29 novembre 1954. Aide nécessaire. Ouvert.
3 Données Moyenne 4 novembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Manque de l'article dans le bulletin de l'APRO de novembre 1954. Aide nécessaire. Ouvert.
4 Données Moyenne 4 novembre 2006 Patrick Gross Patrick Gross Manque du rapport dans le livre de Horacio Gonzalez Ganteaume "Platillos Voladores Sobre Venezuela". Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Visiteurs extraterrestres.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

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0.1 Patrick Gross 4 novembre 2006 Création, [ht1], [fe1], [lo1], [lo2], [gc1], [gi1], [ph1], [en1], [jr1], [gg1], [jb1], [lg1].
0.2 Patrick Gross 4 novembre 2006 Première publication.
0.2b Patrick Gross 9 novembre 2006 Addition, [mb1].
0.2c Patrick Gross 19 décembre 2006 Addition, [ab1].
0.2c Patrick Gross 20 décembre 2006 Addition, [lo3].
2.0 Patrick Gross 17 octobre 2011 Conversion de HTML4 en XHTML Strict.

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Cette page a été mise à jour le 17 octobre 2011