20 ans après que les événements dont il affirme être le témoin se sont produit, Raymond R. a écrit cette lettre au directeur d'un journal régional français:
"Beaucoup de monde parle en ce moment des soucoupes volantes. Je vais vous faire le récit dans tous ses détails de ce que j'ai vu de mes propres yeux, le vendredi 5 novembre 1954."
"Ma profession m'oblige à travailler dans la nature. Le vendredi 5, je me trouvais sur le territoire de la commune de La Roche-en-Brénil (Côte-d'Or) à 3 km au S de cette ville, dans les prés qui bordent la route nationale Paris-Nice. Le petit jeune homme (13 ans) qui travaillait avec moi me fit remarquer à environ 500 m de nous, une masse énorme, grise, en bordure du bois, qui se détachait nettement sur les feuilles jaunes. II était alors 10:09. Je me précipitais avec le gamin en direction de l'objet; après avoir fait 100 mètres, nous aperçûmes des lueurs orange tout autour de l'engin. J'ai pensé tout de suite à une soucoupe. Je suis donc retourné à notre point de départ pour chercher ma serviette qui contenait un appareil photo 6x6."
"Nous avons couru très vite vers l'engin mais en passant par le bois pour éviter d'être vus. C'est alors qu'apparut à nos yeux une scène dont je me souviendrai longtemps. Nous étions dans le bois, à 40 m de la soucoupe qui, elle, était dans le pré. Un homme était dehors, à 5 m de l'engin; il portait une combinaison incolore, d'apparence en matière plastique. Les épaules étaient très développées, il y avait sous sa combinaison, dans son dos, quelque chose qui lui faisait une sorte de bosse; il avait un casque gris foncé, d'un diamètre d'environ 40 cm, qui partait des épaules."
"L'homme, qui mesurait 1,50 m a peu près mais pas plus, tenait sur sa poitrine une caissette d'un noir brillant. Il se déplaçait lourdement en tous sens, dans un rayon de 3 m; il avançait, s'arrêtait, se déplaçait, revenait. Le manège a bien dure 10 min. La soucoupe avait environ 9 m de diamètre. Je vous fais un croquis, d'après les photos, ce qui sera plus facile qu'une description."
"Du disque n.2 s'échappait une lueur faible, tantôt orange, tantôt verdâtre, un bourdonnement semblable a celui d'un transfo caractérisait le bruit de l'engin, la coupole, haute de 3 m, surmontait l'engin, lui-même d'une hauteur totale d'environ 5 m. La coupole était entourée de hublots assez rapproches."
"Je pris alors, tant bien que mal, coup sur coup, les 7 photos qui me restaient. L'homme repartit dans la soucoupe en passant par une porte située à la base de l'engin, et qui glissa de l'intérieur. Alors deux autres hommes en sortirent dans le même déguisement. Je signale en passant qu'une lueur vive régnait à l'intérieur de l'engin. J'eus très peur et le gamin aussi. L'un des deux hommes tenait dans ses mains quelque chose qui ressemblait étrangement à un pistolet-mitrailleur, dont le canon partait en s'évasant. Le second tenait une boule blanche, grosse comme les deux poings. Ils vinrent à l'endroit exact où s'était arrêté leur collègue, ils tournèrent le dos, je n'ai pas pu voir ce qui se passait mais une fumée bleue lumineuse s'échappa. Le gamin, au comble de l'émotion, partit en courant à travers bois, en direction de la R. N. II fit beaucoup de bruit en passant sur les branches mortes. Immédiatement, un des hublots de la coupole s'éclaira vivement d'un vert cru. Un faisceau balaya les parages ou courait le jeune homme. Je m'aplatis contre le talus."
"Alors le gosse poussa un cri aigu. J'ai cru m'évanouir à ce moment. Quelques 20 secondes plus tard, un sifflement puissant et la soucoupe décollait à la verticale. Michel le petit gosse avait un genou à terre, la tête basse, dans l'impossibilité de se relever. Sa figure le piquait. L'ayant remis sur pieds, ses jambes croulaient, mais il marcha et tout se dissipa. Néanmoins nous sommes allés à l'emplacement où était l'engin. L'herbe était brûlée et la terre noire et meuble comme de la cendre, sur un rayon de 3 m. Il était 10:55. Plus loin, je retrouvai une partie de la boule blanche. C'était un genre de coton hydrophile, mais quelle ne fut pas ma surprise en la saisissant! Lourde comme du plomb. (Je l'ai pesée à la maison, 428 g.) A côté restait également une poudre jaune ressemblant à du soufre. Je récupérai ce que je pus; elle était très lourde également, 78 g que je remis dans un papier."
"Mais à peine arrivés à la voiture, le papier était rongé et les doigts me brûlaient. Le lendemain des cloques gonflées d'eau et de sang se formèrent. A présent tout se cicatrise, mais mes doigts restent sensibles, la peau très noire est redevenue normale."
"Nous étions à peine remis de nos émotions qu'à 18:05, neuf objets à reflets orange traversaient le ciel d'E en O dans un sifflement assez prononcé qui attira l'attention. L'un d'eux piqua brusquement à la verticale tandis que les huit autres disparurent comme l'éclair. D'après les nuages, ils se trouvaient à 8000 m d'altitude. A 100 m du sol, l'engin s'immobilisa; nous aperçûmes alors la forme d'un disque. Puis la lueur devint pâle, le sifflement très doux et le disque descend doucement en se balançant. Il touche la terre à l'endroit exact et j'insiste bien, à l'endroit exact où huit heures plus tôt nous avions déjà observé le même phénomène. La lumière orange devint très très pâle, avec par instant des reflets verdâtres."
"Ni le jeune homme ni moi-même avons osé nous approcher. Nous en étions approximativement 3200 m. Environ dix minutes plus tard, la soucoupe décollait assez doucement jusqu'a 10 m du sol, puis dans une immense gerbe orange, elle monta à la verticale, la boule devint vite très petite et disparut à l'infini."
"Sur sept photos prises, quatre seulement sont très nettes, car j'ai changé plusieurs fois de diaphragme. Après agrandissement, on distingue très nettement l'homme, ses habits en-dessous la combinaison sont vraisemblablement noirs. Il est impossible de distinguer la tête de même que les mains qui sont cachées par des gants opaques."
"J'ai fait analyser la poudre et le coton par un ingénieur chimiste qui est resté perplexe devant ces deux corps inconnus. Mais il apparaît que dans la poudre, entre en grande proportion du nitrate d'argent, Ces pièces à conviction, je les conserve précieusement, je ne les révélerai pas car maintenant on tourne toujours au ridicule les témoins de pareilles rencontres; mais je voudrais que le public sache que les soucoupes existent bien, c'est pourquoi je vous autorise à publier mon récit. Qu'elles soient interplanétaires ou puissance étrangère, je ne sais pas, mais il est incontestable que ce rayon qu'il utilise comme une arme qui peut avoir des conséquences inimaginables; lorsque le gosse fut stoppé, il était à plus de 80 m de l'engin dont 40 m d'épaisseur de taillis; concluez."
"Je ne suis pas un fou. J'ai toute ma raison et un jour si le besoin s'en fait sentir, je pourrai alors prouver ce que jusqu'à présent la majeure partie des gens ont cru être une hallucination."
Raymond R. n'a jamais montré ses photos alléguées et il semble qu'il n'y ait rien d'autre que cette lettre pour constituer toute l'affaire.
Numéro de cas: | URECAT-000221 |
---|---|
Date d'observation: | 5 novembre 1954 |
Premier rapport: | 1973 |
Délai de rapport: | 20 ans |
Témoignage apporté via: | Lettre anonyme à un journal régional. |
Premier enregistrement allégué par: | N/A. |
Premier enregistrement certain par: | Lettre anonyme du témoin à un journal. |
Type premier enregistrement allégué: | N/A. |
Type premier enregistrement certain: | Lettre anonyme du témoin à un journal. |
Ce dossier créé le: | 21 juillet 2007 |
Sa plus récente mise à jour: | 8 décembre 2018 |
Pays de l'événement: | France |
Etat/Département: | Côte-d'Or |
Type de lieu: | Pré en bordure de bois et près d'une route. |
Conditions d'éclairage: | Jour |
OVNI observé: | Oui |
Arrivée OVNI observée: | Oui |
Départ OVNI observé: | Non |
Relation OVNI/entité: | Certaine |
Nombre de témoins: | 1 ou 2 |
Ages des témoins: | Adulte et 13. |
Types de témoins: | Non rapporté. |
Photographies: | Non. |
Dessins par témoins: | Non. |
Dessins approuvé par témoins: | Non. |
Nombre d'entité: | 3 |
---|---|
Type d'entités: | Humain |
Taille d'entités: | 1.58 mètres. |
Tenues d'entités: | Aspect de plastique. Bosse au dos. Casque gris. |
Couleur des tenues d'entités: | Incolore. |
Couleur de peau d'entités: | Non rapporté. |
Corps des entités: | Epaules larges. |
Têtes des entités: | Grand casque gris. |
Yeux des entités: | Non rapporté. |
Bouches des entités: | Non rapporté. |
Nez des entités: | Non rapporté. |
Pieds des entités: | Non rapporté. |
Bras des entités: | Non rapporté. |
Doigts des entités: | Non rapporté. |
Nb de doigts des entités: | Non rapporté. |
Pilosité des entités: | Non rapporté. |
Voix des entités: | Aucune entendue. |
Actions des entités: | Sortie de l'OVNI, allées-venues, entrée dans l'OVNI, rayon tiré sur témoin, départ. |
Interactions entités/témoins: | Rayon paralysant tiré sur témoin quand repéré. |
Réactions des témoins: | Observation, approche discrète, prend photos, photos jamais montrées. |
Sentiments des témoins: | Curieux, effrayés. |
Interprétations des témoins: | Soucoupes extraterrestres ou venues de l'étranger. |
Catégorie explicative: | Probable canular. |
Certitude de l'explication: | Moyenne. |
[Ref. te1:] LA LETTRE DU TEMOIN ANONYME:
M. Raymond R. Monsieur le Directeur Beaucoup de monde parle en ce moment des soucoupes volantes. Je vais vous faire le récit dans tous ses détails, de ce que j'ai vu de mes propres yeux le vendredi 5 Septembre 1954. Ma profession m'oblige à travailler dans la nature. Le Vendredi 5, je me trouvais sur le territoire de la commune de "La Roche en Brenil" (Côte d'Or) à 3 kilomètres au Sud de cette ville, dans ces prés qui bordent la route national Paris-Nice. Le petit jeune homme (13 ans) qui travaillait avec moi me fit remarquer à environ 500 mètres de nous, une masse énorme en bordure du bois, qui se détachait nettement sur les feuilles jaunes. Il était alors 10 h 9 '. Je me précipitais avec le gamin en direction de l'objet. Après avoir fait 100 mètres, nous aperçûmes des lueurs orange tout autour de l'engin. J'ai pensé tout de suite à une soucoupe. Je suis donc retourné à notre point de départ, pour chercher une serviette qui contenait un appareil photo format 6x6. Nous avons couru très vite vers l'engin, mais en passant par le bois pour éviter d'être vus. C'est alors qu'apparut à nos yeux une scène dont je me souviendrai longtemps. Nous étions dans le bois à 40 mètres de la soucoupe, qui elle était dans le pré. Un homme était dehors à 5m de l'engin. Il portait une combinaison incolore, d'apparence en matière plastique. Ses épaules étaient très développées. Il y avait sous sa combinaison dans son dos quelque chose qui lui faisait une sorte de bosse. Il avait un casque gris foncé, d'un diamètre d'environ 40 cm, qui partait des épaules. L'homme qui mesurait 1 m 58 à peu près, mais pas plus, tenait sur sa poitrine une caissette d'un noir brillant. Il se déplaçait lourdement en tous sens dans un rayon de 3 m, il avançait, s'arrêtait, se déplaçait, revenait. Ce manège a bien duré 10 minutes. La soucoupe avait environ 9 mètres de diamètre. Je vous fais un croquis d'après les photos, ce qui est plus facile qu'une description. |
Du disque N.2 s'échappait une lueur faible, tantôt orange, tantôt verdâtre. Un bourdonnement semblable à celui d'un transfo caractérisait le bruit de l'engin. La coupole haute de 3 m surmontait l'engin, lui-même d'une hauteur totale d'environ 5 m. La coupole était entourée de hublots assez rapprochés. Je pris alors tant bien que mal, coup sur coup, les 7 photos qui me restaient. L'homme repartit dans la coupole en passant par une porte située à la base de l'engin, et qui glisse de l'intérieur. Alors 2 autres hommes en sortirent, dans le même déguisement. Je signale en passant qu'une lueur vive régnait à l'intérieur de l'engin. J'eus très peur et le pauvre gamin aussi. L'un des deux hommes tenait dans ses mains quelque chose qui ressemblait étrangement à un pistolet mitrailleur dont le canon partait en s'évasant. Le second tenait une boule blanche, grosse comme les deux poings. Ils vinrent à l'endroit exact où s'était leur collègue, me tournant le dos. Je n'ai pas pu voir ce qui se passait mais une fumée bleue lumineuse s'échappa. Le gamin au comble de l'émotion partit en courant à travers bois, en direction de la RN II. Il fit beaucoup de bruit en marchant sur des branches mortes. Immédiatement, un des hublots de la coupole s'éclairait vivement d'un vert cru. Un faisceau balaya les parages où courait le jeune homme Je m'aplatis contre le talus. Alors le gosse poussa un cri auquel j'ai cru m'évanouir à ce moment. Quelques 20 secondes plus tard, un sifflement puissant et la soucoupe décollait à la verticale. Michel (Le petit gosse) avait un genou à terre, la tête basse, dans l'impossibilité de se relever. Sa figure le piquait. L'ayant aidé à se relever, ses jambes croulaient, mais il marcha et tout se dissipa. Néanmoins nous sommes allés à l'emplacement où était l'engin. L'herbe était brûlée, et la terre noircie et meuble comme de la poudre, sur un rayon de 3 m. Il était 10 h 55'. Plus loin je retrouvais une partie de la boule blanche. C'était un genre de coton hydrophile, mais quelle ne fut pas ma surprise en la saisissant. Lourde comme du plomb. (Je l'ai pesée à la maison, 422 grammes). Et il restait également une poudre jaune ressemblant à du souffre. Je récupérais ce que j'ai pu. Elle était très lourde également 78 grammes que je remis dans un papier. Mais à peine arrivés à la voiture, que le papier était rongé et les doigts me brûlaient. Le lendemain des cloques gonflées d'eau et de sang se formèrent. A présent tout a cicatrisé, mais mes doigts restent sensibles, la peau très noire est redevenue normale. Nous étions à peine remis de nos émotions qu'à 18 h 5', 9 objets à reflets orange traversaient le ciel d'Est en Ouest dans un sifflement assez prononcé qui attira l'attention. L'un d'eux piqua vertigineusement à la verticale tandis que les autres repartaient comme l'éclair. D'après les nuages, ils se trouvaient à 8000 mètres d'altitude. A 100 m du sol, l'engin s'immobilisa. Nous aperçûmes alors la forme d'un disque. Puis la lueur devint forte. Un sifflement très doux, et le disque dérivait doucement en se balançant. Il touche terre à l'endroit exact et j'insiste bien, à [suite manquante] |
[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
329 5 Novembre 1954, 10:10, La Roche-en-Brénil (France): Raymond R. a vu un engin qui faisait un bruit de gros transformateur et émettait une lumière orange, posé dans un pâturage. A côté se trouvaient trois hommes en combinaison sombre, l'un tenait une sorte de boîte "qui émettait un rayon de lumière de 3 mètres de long", les deux autres tenaient des objets qui ressemblaient à des armes. Un autre témoin sentit des picotements sur le visage alors qu'il s'enfuyait en courant. Quatre photographies de la scène furent prises. Traces, une substance blanchâtre et un cercle de 3 mètres de diamètre où le sol avait l'apparence de la cendre. (Personnel). |
[Ref. ld1:] MAGAZINE "LUMIERES DANS LA NUIT":
Le magazine Lumière Dans la Nuit a reçu et publié la lettre qui suit. Cette lettre a été envoyée à ce magazine par M. P. Salvy, journaliste pour le quotidien "Les Dépêches" de Dijon. C'est le témoin adulte, Raymond R., qui l'aurait écrite à destination de ce journal.
Voici l'introduction de ce magazine à cette lettre:
Fouillez les archivesLA ROCHE-EN-BRENIL Suite à nos précédents articles parus ces jours derniers dans nos colonnes au sujet des soucoupes volantes qui se sont posé sur le territoire de la commune de La Roche-en-Brénil, le 5 novembre 1954 à 10:00 et 18:00, nous avons le privilège de publier ci-après le récit détaillé du témoin N°1 de ces apparitions, M. Raymond R... qui, à l'époque, était accompagné d'un garçon de 13 ans. Souhaitons que la publication de ce récit aide à retrouver ce témoin ayant vu les soucoupes volantes. Il peut se mettre en rapport avec le correspondant des "Dépêches" à La Roche-en-Brénil, lui-même en relation étroite avec les spécialistes parisiens de cette affaire. |
Voici le contenu de cette lettre:
Beaucoup de monde parle en ce moment des soucoupes volantes. Je vais vous faire le récit dans tous ses détails de ce que j'ai vu de mes propres yeux, le vendredi 5 novembre 1954. Ma profession m'oblige à travailler dans la nature. Le vendredi 5, je me trouvais sur le territoire de la commune de La Roche-en-Brénil (Côte-d'Or) à 3 km au S de cette ville, dans les prés qui bordent la route nationale Paris-Nice. Le petit jeune homme (13 ans) qui travaillait avec moi me fit remarquer à environ 500 m de nous, une masse énorme, grise, en bordure du bois, qui se détachait nettement sur les feuilles jaunes. II était alors 10:09. Je me précipitais avec le gamin en direction de l'objet; après avoir fait 100 mètres, nous aperçûmes des lueurs orange tout autour de l'engin. J'ai pensé tout de suite à une soucoupe. Je suis donc retourné à notre point de départ pour chercher ma serviette qui contenait un appareil photo 6x6. Nous avons couru très vite vers l'engin mais en passant par le bois pour éviter d'être vus. C'est alors qu'apparut à nos yeux une scène dont je me souviendrai longtemps. Nous étions dans le bois, à 40 m de la soucoupe qui, elle, était dans le pré. Un homme était dehors, à 5 m de l'engin; il portait une combinaison incolore, d'apparence en matière plastique. Les épaules étaient très développées, il y avait sous sa combinaison, dans son dos, quelque chose qui lui faisait une sorte de bosse; il avait un casque gris foncé, d'un diamètre d'environ 40 cm, qui partait des épaules. L'homme, qui mesurait 1,50 m a peu près mais pas plus, tenait sur sa poitrine une caissette d'un noir brillant. Il se déplaçait lourdement en tous sens, dans un rayon de 3 m; il avançait, s'arrêtait, se déplaçait, revenait. Le manège a bien dure 10 min. La soucoupe avait environ 9 m de diamètre. Je vous fais un croquis, d'après les photos, ce qui sera plus facile qu'une description. Du disque n.2 s'échappait une lueur faible, tantôt orange, tantôt verdâtre, un bourdonnement semblable a celui d'un transfo caractérisait le bruit de l'engin, la coupole, haute de 3 m, surmontait l'engin, lui-même d'une hauteur totale d'environ 5 m. La coupole était entourée de hublots assez rapproches. Je pris alors, tant bien que mal, coup sur coup, les 7 photos qui me restaient. L'homme repartit dans la soucoupe en passant par une porte située à la base de l'engin, et qui glissa de l'intérieur. Alors deux autres hommes en sortirent dans le même déguisement. Je signale en passant qu'une lueur vive régnait à l'intérieur de l'engin. J'eus très peur et le gamin aussi. L'un des deux hommes tenait dans ses mains quelque chose qui ressemblait étrangement à un pistolet-mitrailleur, dont le canon partait en s'évasant. Le second tenait une boule blanche, grosse comme les deux poings. Ils vinrent à l'endroit exact où s'était arrêté leur collègue, ils tournèrent le dos, je n'ai pas pu voir ce qui se passait mais une fumée bleue lumineuse s'échappa. Le gamin, au comble de l'émotion, partit en courant à travers bois, en direction de la R. N. II fit beaucoup de bruit en passant sur les branches mortes. Immédiatement, un des hublots de la coupole s'éclaira vivement d'un vert cru. Un faisceau balaya les parages ou courait le jeune homme. Je m'aplatis contre le talus. Alors le gosse poussa un cri aigu. J'ai cru m'évanouir à ce moment. Quelques 20 secondes plus tard, un sifflement puissant et la soucoupe décollait à la verticale. Michel le petit gosse avait un genou à terre, la tête basse, dans l'impossibilité de se relever. Sa figure le piquait. L'ayant remis sur pieds, ses jambes croulaient, mais il marcha et tout se dissipa. Néanmoins nous sommes allés à l'emplacement où était l'engin. L'herbe était brûlée et la terre noire et meuble comme de la cendre, sur un rayon de 3 m. Il était 10:55. Plus loin, je retrouvai une partie de la boule blanche. C'était un genre de coton hydrophile, mais quelle ne fut pas ma surprise en la saisissant! Lourde comme du plomb. (Je l'ai pesée à la maison, 428 g.) A côté restait également une poudre jaune ressemblant à du soufre. Je récupérai ce que je pus; elle était très lourde également, 78 g que je remis dans un papier. Mais à peine arrivés à la voiture, le papier était rongé et les doigts me brûlaient. Le lendemain des cloques gonflées d'eau et de sang se formèrent. A présent tout se cicatrise, mais mes doigts restent sensibles, la peau très noire est redevenue normale. Nous étions à peine remis de nos émotions qu'à 18:05, neuf objets à reflets orange traversaient le ciel d'E en O dans un sifflement assez prononcé qui attira l'attention. L'un d'eux piqua brusquement à la verticale tandis que les huit autres disparurent comme l'éclair. D'après les nuages, ils se trouvaient à 8000 m d'altitude. A 100 m du sol, l'engin s'immobilisa; nous aperçûmes alors la forme d'un disque. Puis la lueur devint pâle, le sifflement très doux et le disque descend doucement en se balançant. Il touche la terre à l'endroit exact et j'insiste bien, à l'endroit exact où huit heures plus tôt nous avions déjà observé le même phénomène. La lumière orange devint très très pâle, avec par instant des reflets verdâtres. Ni le jeune homme ni moi-même avons osé nous approcher. Nous en étions approximativement 3200 m. Environ dix minutes plus tard, la soucoupe décollait assez doucement jusqu'a 10 m du sol, puis dans une immense gerbe orange, elle monta à la verticale, la boule devint vite très petite et disparut à l'infini. Sur sept photos prises, quatre seulement sont très nettes, car j'ai changé plusieurs fois de diaphragme. Après agrandissement, on distingue très nettement l'homme, ses habits en-dessous la combinaison sont vraisemblablement noirs. Il est impossible de distinguer la tête de même que les mains qui sont cachées par des gants opaques. J'ai fait analyser la poudre et le coton par un ingénieur chimiste qui est resté perplexe devant ces deux corps inconnus. Mais il apparaît que dans la poudre, entre en grande proportion du nitrate d'argent, Ces pièces à conviction, je les conserve précieusement, je ne les révélerai pas car maintenant on tourne toujours au ridicule les témoins de pareilles rencontres; mais je voudrais que le public sache que les soucoupes existent bien, c'est pourquoi je vous autorise à publier mon récit. Qu'elles soient interplanétaires ou puissance étrangère, je ne sais pas, mais il est incontestable que ce rayon qu'il utilise comme une arme qui peut avoir des conséquences inimaginables; lorsque le gosse fut stoppé, il était à plus de 80 m de l'engin dont 40 m d'épaisseur de taillis; concluez. Je ne suis pas un fou. J'ai toute ma raison et un jour si le besoin s'en fait sentir, je pourrai alors prouver ce que jusqu'à présent la majeure partie des gens ont cru être une hallucination. Raymond R. Envoi de P. Salvy, "Les Dépêches", Dijon |
[Ref. ga1:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":
15) 05/11/1954 La Roche-en-Brénil (Côte-d'Or) 10 h. 30 ) Témoin XXX et un garçon de 13 ans. Si elle est authentique, cette observation avec "traces", "photographies" et récupération de matières "extraterrestres" est particulièrement importante. Hélas, nous n'avons que la relation d'un témoin anonyme rapportée dans le journal "La Dépêche" de Dijon. L.D.L.N. N° 125 reproduisit l'article. Une enquête approfondie s'impose. Nous retiendrons seulement que les témoins observèrent longuement une "Soucoupe Volante" et ses occupants. A un moment, le jeune garçon, affolé, s'enfuit en courant bruyamment. Immédiatement, d'un des hublots de l'engin, un vif faisceau de lumière verte balaya les environs. M. XXX s'aplatit au sol, le garçon cria. 20 secondes plus tard, l'engin décollait. Le témoin se rendit prés du jeune homme immobile, tête basse et un genou en terre, incapable de se relever. Il avait été paralysé à 80 m. (dont 40 m. d'épaisses broussailles qui le séparaient de l'engin). V.c 329 (Vallée rapporte une version sensiblement différente). Bien que nous tenions à nous garder de tout jugement de valeur sur les faits rapportés dans ce catalogue, nous ne pouvons nous empêcher de faire part au lecteur de notre "doute certain" vis-à-vis de cette affaire trop belle pour être vraie et trop polie pour être honnête. |
[Ref. ga2:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":
05/11/1954 La Roche-en-Brénil (Côte-d'Or). Picotements ressentis, paralysie (affaire douteuse). |
[Ref. gl1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:
L'ufologue Charles Garreau n'est autre qu'un des journalistes de "La Bourgogne Républicaine", le journal qui avait reçu la lettre anonyme de Raymond R. au sujet de son expérience alléguée.
Dans leur livre, Garreau et Lavier citent intégralement la lettre, et en profitent pour prier Raymond R... ou Michel de reprendre contact s'ils lisent le livre. Ils font également remarquer que par une extraordinaire coïncidence, 20 ans après, en novembre 1974, des prospecteurs ont découvert au lieu allégué précis de cette expérience les indices d'un important gisement d'uranium.
[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:
510 5 novembre 1954 1010 hrs LA ROCHE EN BRENIL (France) Raymond R a vu un engin faisant un bruit comme un grand transformateur émettant une lumière orange atterrir dans un pâturage. Trois hommes en combinaison sombre se tenaient à proximité. L'un d'eux tenait une boîte qui "émettait un faisceau de lumière de 3 m de long". les deux autres tenaient des objets qui ressemblaient à des armes, un autre témoin s'est enfui et a senti des picotements sur le visage. Quatre photos de la scène ont été prises. Une substance blanche et un cercle de 3m de diamètre où le sol avait une apparence de cendre ont été trouvés (M315). |
[Ref. jj1:] JEAN-LUC JORION:
[...] La deuxième partie de la courbe est composée d' un seul cas situé à 80 mètres. Ce témoignage exceptionnel (cas de La Roche-en-Brénil, Côte d'Or, France, le 5. 11. 1954) (1) semble dénoter un comportement anormal des ufonautes en réponse à un événement imprévu. [...] Jean-Luc Jorion. NDLR. Nous laissons à Jean-Luc Jorion l'entière responsabilité de ses affirmations quant à la preuve d'une structure originale dans la répartition spatiale des phénomènes de paralysie autour d'un OVNI rapproché. Nous tenons à préciser pour notre part que le nombre de cas étudié est trop peu élevé pour se prêter à une analyse statistique significative. Dès lors, les résultats obtenus sont certainement entachés d'une erreur appréciable que ce chercheur semble négliger. Il faudrait pouvoir disposer de quelques dizaines d'autres cas de paralysie et vérifier s'ils confirment ou infirment le modèle proposé. Ce n'est qu'alors qu'une structure originale (si elle existe?) pourra être mise en évidence. |
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les deux auteurs indiquent que le 5 novembre 1954 à La Roche en Brenil, près de la Croix-de-Molphey, Raymond R. et Michel XX, 13 ans ont fait l'observation d'une soucoupe grise de 9 mètres de diamètre et de cinq mètres de haut dont un dôme de trois mètres de haut entouré de hublots assez rapprochés.
La profession de Raymond R... l'oblige à travailler dans la nature et il est en bordure de la N6, dans les prés qui bordent cette route. Un jeune homme de 13 ans, le petit Michel, se trouve en sa compagnie et lui fait remarquer une masse énorme, grise, en bordure du bois, qui se détache nettement sur les feuilles jaunes. Les témoins se précipitent en direction de l'objet; après avoir fait 100 mètres, ils aperçoivent des lumières orange tout autour de l'engin. R. retourne en arrière pour prendre une serviette contenant un appareil photo 6 x 6 et, avec Michel, ils courent à travers bois pour éviter d'être vus.
C'est alors qu'apparaît à leurs yeux une scène dont ils se souviendront longtemps. Se trouvant dans le bois, à 40 mètres de la soucoupe qui se trouve dans le pré, ils peuvent observer un être qui se trouve à 5 mètres de l'engin (voir observation). L'homme se déplace lourdement en tous sens, dans un rayon de 3 mètres; il avance, s'arrête, se déplace, revient. Ce manège dure dix minutes. Du disque s'échappe une lueur faible, tantôt orange, tantôt verdâtre. Un bourdonnement se fait entendre, semblable à celui d'un transformateur.
R. prend alors 7 photos, coup sur coup; l'homme regagne son appareil par une porte située à la base de l'engin. A ce moment, deux autres êtres sortent, l'un portant une sorte d'arme, l'autre une boule blanche. L'être mesurait 1 m 50 environ, portant une combinaison incolore d'apparence en matière plastique. Ses épaules étaient très développées. Il y avait sous sa combinaison, dans son dos, quelque chose qui faisait une sorte de bosse; il portait un casque gris foncé d'un diamètre de 40 cm qui partait des épaules.
Il tenait sur sa poitrine une caissette d'un noir brillant. Le deuxième être portait la même tenue, et tenant dans sa main une sorte d'arme qui ressemblait étrangement à un pistolet-mitrailleur dont le canon partait en s'évasant comme un tromblon. Un troisième être portant une tenue identique et tenant dans sa main une boule blanche grosse comme les deux poings.
Une fumée bleue lumineuse s'échappe. L'enfant, au comble de l'émotion et de l'étonnement, part en courant à travers bois et fait beaucoup de bruit en passant sur les branches mortes; immédiatement un des hublots de la coupole s'éclaire vivement d'un vert cru.
Un faisceau balaya les parages où court le jeune Michel. R. se couche contre un talus. Alors, l'enfant pousse un cri aigu et R. croit s'évanouir. Vingt secondes plus tard, la soucoupe décolle avec un sifflement puissant, à la verticale.
Le petit gosse a un genou à terre, la tête basse, dans l'impossibilité de se relever. Sa figure le pique. Remis sur pieds ses jambes "croulent", mais après avoir marché, tout se dissipe.
Les deux auteurs notent qu'à 18 h 05, neuf objets à reflets orange traversèrent le ciel d'est en ouest, provoquant un sifflement assez prononcé. L'un d'eux piqua brusquement à la verticale tandis que les huit autres disparaissaient comme l'éclair. A 100 mètres du sol, l'engin s'immobilisa. Il avait la forme d'un disque, sa lueur devient pâle, le sifflement très doux, et il descendit doucement en se balançant. Il toucha terre à l'endroit exact où huit heures plus tôt, l'engin s'était posé, La lumière était très pâle, avec par moments, des reflets verdâtres. Ni le jeune homme, ni R... ne s'en sont approchés.
Environ 10 minutes plus tard, la soucoupe s'éleva doucement jusqu'à 10 mètres du sol, puis, dans une immense gerbe orange, elle monta à la verticale et disparut très vite.
Sur sept photos prises, quatre seulement sont très nettes, car le témoin avait changé plusieurs fois de diaphragme. Ce serait bien la première fois qu'une scène d'atterrissage est photographiée... d'où une prudente réserve.
L'ingénieur chimiste qui analysa la poudre et le "coton" resta perplexe devant ces deux corps inconnus, mais il apparaît que dans la poudre, entre une grande proportion de nitrate d'argent.
Les auteurs notent que l'engin a une coupole plus haute que son corps, et un rayon à effets paralysants qui sort du dôme ce qui leur rappelle le cas de Quarouble. Ils notent que les êtres réintégrèrent leur appareil par le dessous comme ceux de la deuxième rencontre de Quarouble.
Ils indiquent qu'il y a des traces, la terre était brûlée, l'herbe noire; de plus, la terre était meuble comme de la cendre, sur un rayon de trois mètres, qu'il y a une substance comparable à une sorte de coton hydrophile dont le témoin dit que c'était une partie de la boule que tenait l'être. En la saisissant, le témoin s'aperçut qu'elle était lourde comme le plomb (428 g). A côté restait une poudre jaune, ressemblant à du soufre; il en récupéra 78 grammes qu'il mit dans un papier. Mais à peine arrivé à la voiture, il s'aperçoit que le papier était rongé et que ses doigts le brûlaient. Le lendemain, des cloques gorgées d'eau et de sang se formèrent; la peau était noire. Puis, tout se cicatrisa.
Ils citent comme sources le catalogue Vallée, cas n° 329, et Lumières dans la Nuit n° 125, p. 22-23-24 ainsi que le livre de Garreau et Lavier, en page 52. A aucun moment ils ne précisent que l'affaire a comme seule substance sûre une lettre anonyme à un journal.
[Ref. bb1:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:
Ces deux auteurs ont dans leur ouvrage publié aux Nouvelles Editions Rationalistes écrit qu'il ne s'est rien passé avec comme argument que eux et Michel Monnerie après une longue enquête ont trouvé un Raymond R. dans ce village mais qu'il était décédé depuis, et que dans ce village ils n'ont pas trouvé d'autres témoins, et qu'ils ont trouvé un jeune homme qui pourrait selon eux être le second témoin mais que celui-ci leur a dit qu'il n'avait pas été témoin d'un OVNI.
[Ref. vi1:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "VIMANA 21":
54 11 05 / LA ROCHE EN BRESNIL / 19H09 / RR3 / P Ec / Deux témoins ont observé, au sol, un engin autour duquel s'affairaient plusieurs humanoïdes. Un des témoins, pris de panique, fut paralysé en s'enfuyant par un rayon provenant de l'engin. Des photographies furent prises. (Source: Bourgogne républicaine 1972, enquête ADRUP) |
[Ref. lg2:] LOREN GROSS:
5 novembre. La Roche en Brenil, France. (10:10 a.m.) Quelques Français ont découvert un objet rougeoyant orange posé dans un pâturage local dégageant un fredonnement. Trois personnages portant des combinaisons de couleurs foncées ont été repérées près de l'engin mystérieux. Un de ces personnages étranges a été vu diriger un faisceau de lumière pour une certaine raison inconnue, le faisceau étant émis d'une sorte d'objet du genre boîte. Les deux autres personnages ont porté dans leurs mains quelque chose qui avait fait peur aux témoins pensant que c'était des armes ainsi les Français se sont sauvés en courant. Pendant qu'un homme français se sauvait, il s'est rappelé éprouver une sensation de picotement sur sa tête. Une recherche sur l'incident a découvert un secteur circulaire d'environ neuf pieds de diamètre couvert d'une substance semblable à de la cendre. 27
|
[Ref. cn1:] GROUPE D'UFOLOGIE "C.N.E.G.U.":
18 F/00121/54 11 05 (01) |
[Ref. se1:] JOHN SCHUESSLER:
1954/11/05 FRANCE, LA ROCHE-EN-BRENIL Source: Official UFO, Feb. 76 Deux témoins ont vu un OVNI circulaire atterrir dans un champ. Trois personnages étaient debout près de l'objet. L'un tenait une boîte qui a émis un faisceau de lumière. Quand les témoins ont couru au loin, l'un a senti des picotements sur son visage. EFFETS: |
[Ref. bo1:] VICENTE-JUAN BALLESTER-OLMOS, "FOTOCAT 1954":
(82) DATE: 5 novembre 1954 EXPLICATION: Non-événement. REFERENCES: Jacques Vallée, Passport to Magonia (Henry Regnery, 1969), page 242, cas #329. REMARQUES: Atterrissage d'OVNI et présence humanoïde. Le groupe français d'ufologie GABRIEL a qualifié le cas comme "une affaire douteuse". Janv. Heering a trouvé une anomalie dans le rapport du résumé de Vallée par rapport au texte plus long de Garreau/Lavier sur la source de faisceau de lumière paralysante. Dans une communication personnelle, Eric Maillot informe que le témoin allégué Raymond R. "semble n'avoir jamais existé" et que "(personne) n'a jamais vu cette photographie". |
[*] est l'ancienne adresse de cette page web. Mon site web a déménagé de ufologie.net à ufologie.patrickgross.org.
[Ref. tp1] TED PHILIPPS:
5 novembre 1954, La Roche-Brenil, France: témoins multiples, objet orange atterrit, humanoïdes, effets humains, anneau de 12 pieds, apparence comme de la cendre. |
[Ref. jd1:] JEAN-PHILIPPE DAIN:
Réf. UFOTO : 0375 |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
223. Lieu. La Roche-en-Brenil Cote-d'Or France Date: 5 novembre 1954 Heure: 1010A M Raymond R, et un garçon de 13 ans ont noté un objet gris sur le bord des bois; ils se sont approchés par les bois à moins de 130 pieds de lui. Il avait environ 30 pieds de diamètre et un total de 16 pieds de haut; il avait une coupole de 10 pieds sur laquelle il y avait une rangée des hublots. Il a fait un bruit de ronflement comme un transformateur. Un homme pas plus grand que 5 pieds se tenait près de lui; il portait un costume transparent, apparemment fait de plastique, avec un habillement noir sous lui, et un casque gris-foncé qui reposait sur ses épaules. Sur son dos, sous le costume, il y avait quelque chose qui lui a donné un aspect bossu; sur son poitrail il y avait petite boîte noire brillante. Se déplaçant lourdement, il marchait aux abords de la soucoupe. Raymond R a pris 7 photographies, dont seulement 4 se sont révélées bonnes. L'homme est revenu à l'OVNI par une porte à sa base; alors deux autres sont sortis, dans le même costume. L'un d'eux portait une sorte de pistolet avec un canon en forme d'entonnoir, l'autre une boule blanche aussi grande que 2 poings. Ils sont allés à l'endroit où le premier homme avait été, ont tourné dos, et ont fait quelque chose qui a produit une fumée lumineuse bleue. A ce moment le garçon effrayé a couru à travers les bois vers une route voisine. Immédiatement un des hublots de la coupole est devenu vert lumineux, et un faisceau a balayé le secteur où il courait. Environ 20 secondes plus tard, avec un fort bruit de sifflement, la soucoupe est partie verticalement... R a retrouvé le garçon paralysé, mais ceci est rapidement passé. A l'emplacement où l'OVNI avait été, l'herbe a été brûlée et la terre noircie et a été répandue avec une sorte de cendre, sur un rayon de 3 mètres. Raymond a trouvé également une partie de la boule blanche, qui était une substance cotonneuse mais aussi lourde que le plomb, et une poudre jaune ressemblant à du soufre, qui était également très lourde. Peu après avoir rassemblé de cette poudre dans un papier, ses doigts ont commencé à brûler, et le jour suivant ils se sont boursouflés et ont été noircis. La poudre a été analysée et plus tard s'est avérée être constituée en grande partie de nitrate d'argent. A 15:05, 9 objets lumineux orange ont traversé le ciel, et un d'eux a débarqué dans exactement la même zone, avec un bruit de sifflement doux. Les témoins étaient à 600 pieds de là et n'ont pas osé aller plus près. Après 10 minutes l'OVNI a de nouveau décollé, avec un éclat de lumière orange. Humcat 1954-35 Source: LDLN # 125 Type: B |
[Ref. lh1] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":
4364: 1954/11/05 10:10 10 4:11:00 E 47:22:00 N 3333 WEU FRN CDO A:8 S/La-ROCHE-en-BRENIL,FR:9M SCO/SOL:3 MEN:BOX EMITS 3M BEAM:7 FOTOS:>W/1805h RefN°194 LUMIERES dans la NUIT.(LDLN France) Numéro No. 125 : PAYS DE FERMES |
[Ref. lg1:] LOREN GROSS:
5 novembre. La Roche-en-Brenil (Cote-d'Or), France. (10:00 a.m. & 18:05.) Une histoire tirée par les cheveux. Selon notre source: "M. Raymond R. et un garçon de 13 ans a remarqué un objet gris sur le bord de la forêt, ils sont approchés à travers les bois à moins de 130 pieds de lui. Il avait environ 30 pieds de diamètre et un total de 16 pieds de haut; il avait une coupole de 10 pieds sur laquelle il y avait une rangée de hublots. Il faisait un bruit de bourdonnement comme un transformateur. Un homme de pas plus de 5 pieds de haut se tenait près de lui; il portait un costume transparent, apparemment fait de plastique, avec des vêtements noirs en dessous, et un casque gris foncé qui reposait sur?ses épaules. Sur son dos, sous le costume, il y avait quelque chose qui lui donnait un aspect bossu; sur sa poitrine il y avait une petite boîte noire brillante. Se déplaçant lourdement, il se promenait près de la soucoupe. Mr. R. a pris sept photographies, dont quatre seulement sont bien ressorties. L'homme est retourné à l'OVNI par une porte à sa base; puis deux autres sont sortis, dans le même costume. L'un des hommes portait une sorte de pistolet avec un canon en forme d'entonnoir l'autre une boule blanche, grosse comme les deux poings. Ils sont allés à l'endroit où le premier homme s'étaittrouvé, et ont fait quelque chose qui a produit une fumée bleue lumineuse. A ce stade, le garçon, effrayé, s'enfuit à travers les bois vers une route voisine. Immédiatement un des hublots de la coupole est devenu vert lumineux, et un faisceau a balayé le secteur où il courait. Quelquea 20 secondes plus tard, avec un sifflement fort, la soucoupe a décollé verticalement. Mr R. a trouvé le paralysé, mais c'est passé rapidement. Sur le site où l'OVNI avait été, l'herbe avait été brûlée et la terre noircie et parsemée d'une sorte de cendre, sur un rayon de trois mètres. Mr R. a également trouvé une partie de la boule blanche qui était une substance cotonneuse mais lourde comme du plomb, et une poudre jaune ressemblant à du soufre, qui était également très lourde. Peu de temps après la collecte de cette poudre dans un papier, ses doigts ont commencé à brûler, et le lendemain, ils étaient couverts d'ampoules et noircis. La poudre a été analysée plus tard et jugée largement constitué de nitrate d'argent. "A 1805, neuf objets lumineux, orange, ont traversé le ciel, et l'un d'eux a atterri exactement au même endroit, avec un son de doux sifflement. Les témoins étaient à 600 pieds de distance et n'osaient pas aller plus près. Après 10 minutes, l'OVNI a décollé à nouveau, avec un éclat de lumière orange." (xx.) (xx.) HumCat cas N°339. Récit de témoin dans LDLN N°125 (Mai 1973), pp.22f. |
[Ref. bt1:] "BETA TAURI":
[... autres cas ...] Le second dépôt a été retrouvé le vendredi 5 novembre 1954, près de la Roche-en-Brenil, après l'observation d'un ovni et de ses occupants. Les témoins se sont rendus sur place après le départ de l'engin pour y remarquer que, outre le fait que l'herbe était brûlée à l'emplacement où était l'objet, et que la terre était devenue noire et meuble comme de la cendre sur un rayon de trois mètres, il y avait à quelques pas de cette trace, une partie d'une boule blanche, qui avait été tenue par un des occupants de l'engin. Cette boule ressemblait à une sorte de « coton hydrophile », mais d'un poids très nettement supérieur. Le témoin l'a pesée chez lui en remarquant avec stupeur que cette boule pesait 428g. Une poudre jaune, semblable à du soufre a également été récupérée sur ce site. Son poids était également assez élevé (78g environ). La poudre et le « coton » ont été analysés par un ingénieur chimiste qui en est resté perplexe. Il est cependant apparu que dans la poudre entrait en grande proportion du nitrate d'argent. Après avoir exposé ces quelques cas d'apports en matériaux, et survolé brièvement leur composition chimique, il conviendrait maintenant de trouver une signification à ces apports, bien que celle-ci ne puisse être que toute relative. De prime abord, il est intéressant de constater que les éléments chimiques entrant dans la composition des apports laissés par de supposés ovni, se trouve dans notre environnement en quantité non négligeable. Ceci n'apportant donc aucune preuve matérielle de la venue sur terre d'une civilisation extérieure à la nôtre. Bien que je sois très peu jardinier et pas du tout agriculteur, j'habite néanmoins une région assez rurale et remarque que certaines compositions chimiques mentionnées ci-dessus, entrent en grande partie dans la composition des engrais utilisés notamment en agriculture. [... autres cas et discussions ...] |
[Ref. jb1:] JEROME BEAU:
Jérôme Beau indique que le vendredi 5 novembre 1954, à 10:10 A La-Roche-en-Breuil [sic], en France, Raymond R. a vu un engin faisant un bruit de gros transformateur et émettant une lumière orange, posé dans un pâturage. A côté se trouvaient trois hommes en combinaison sombre, l'un tenait une sorte de boîte qui émettait un rayon de lumière de 3 m de long, les deux autres tenaient des objets qui ressemblaient à des armes. Un autre témoin a senti des picotements sur le visage alors qu'il s'enfuyait en courant. Quatre photographies de la scène ont été prises. Il y avait des traces, une substance blanchâtre et un cercle de 3 m de diamètre où le sol avait l'apparence de la cendre.
[Ref. gc1:] JOURNAL "LA GAZETTE DE COTE-D'OR":
[... Autres cas ...] La rencontre de La Roche-en-Brenil - 5 novembre 1954, La Roche-en-Brenil Y a-t-il eu des humanoïdes à La Roche-en-Brenil ce 5 novembre 1954? Tout commence d'une lettre anonyme envoyé par un certain Raymond R. au directeur de la Bourgogne Républicaine. Dans ce courrier manuscrit (notre image) le témoin relate avec détail la scène à laquelle il aurait assisté avec un autre témoin. Il est 10 h 10, Raymond travaille dans un pré avec son jeune apprenti de 13 ans. Ils remarquent alors en bordure d'un bois "une masse énorme ". Ils s'approchent à moins de quarante mètres et là surprise ! Une soucoupe volante. Raymond livre une description détaillée : "?La soucoupe avait environ 9 mètres de diamètres. Il s'en échappait une lueur faible, tantôt orange, tantôt verdâtre [...] La coupole haute de trois mètres surmontait l'engin, lui-même d'une hauteur totale de 5 mètres ". A côté du véhicule s'agitent trois hommes en "?combinaison incolore ", casqués et ne dépassant pas les 1 mètres 60. L'un tient entre ses mains une sorte de boite lumineuse, les deux autres semblent armés. Le jeune garçon détale à bride abattue. Repéré, le môme est paralysé (momentanément) par un faisceau émanant de l'engin. La soucoupe décolle aussi sec à la verticale laissant les deux témoins pantois de ce qu'ils venaient de voir. Raymond R. affirme détenir quatre clichés de cette rencontre ainsi que plusieurs échantillons prit sur place. Sauf que le fameux Raymond, craignant de passer pour un fou, préfère rester anonyme. Les investigations pour retrouver les deux protagonistes ne donneront pas grand chose. Les enquêteurs retrouverons bien un Raymond R... mais décédé. Quant aux soi-disantes preuves, elles ne referont jamais surface. Alors, canular de mythomane ou authentique récit? Le mystère à ce jour reste entier. [... Autres cas ...] |
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 5 novembre 1954, à 10:10, à La Roche-en-Brenil, France, un engin dégageant une lumière orange, a atterri. Trois hommes dans des combinaisons foncées se tenaient tout près.
Le cas a été expliqué comme: une planète.
Le site web ajoute que Raymond R. a vu un engin, qui a fait un bruit comme un grand transformateur et a dégagé une lumière orange, atterrir dans un pâturage. Trois hommes dans des combinaisons foncées se tenaient tout près. L'un tenait une sorte de boîte, "qui a émis un faisceau de lumière de trois mètres de long." Les deux autres tenaient des objets qui ont ressemblé à des armes. Un autre témoin s'est sauvé et a senti des picotements sur son visage pendant qu'il courait. Quatre photographies de la scène ont été prises. Traces: une substance blanchâtre et un cercle trois mètres de diamètre où la terre avait un aspect comme de cendre.
Le site commente que "un objet a été observés et photographiés. Des effets physiologiques ont été notés. Des traces trouvées. Deux témoins masculins ont observé une boule orange, d'environ 20 pieds de large, dans un pâturage pendant dix minutes. Un bruit électrique a été entendu. Trois humanoïdes, chacun portant une combinaison foncée, ont été vus."
Le site ajoute encore: "Raymond R, et un garçon de 13 ans ont noté un objet gris sur le bord des bois; ils se sont approchés par les bois à moins de 130 pieds de lui. Il avait environ 30 pieds de diamètre et un total de 16 pieds de haut; il avait une coupole de 10 pieds sur laquelle il y avait une rangée des hublots. Il a fait un bruit de ronflement comme un transformateur. Un homme pas plus grand que 5 pieds se tenait près de lui; il portait un costume transparent, apparemment fait de plastique, avec un habillement noir sous lui, et un casque gris-foncé qui reposait sur ses épaules. Sur son dos, sous le costume, il y avait quelque chose qui lui a donné un aspect bossu; sur son poitrail il y avait petite boîte noire brillante. Se déplaçant lourdement, il marchait aux abords de la soucoupe. Raymond R a pris 7 photographies, dont seulement 4 se sont révélées bonnes. L'homme est revenu à l'OVNI par une porte à sa base; alors deux autres sont sortis, dans le même costume. L'un d'eux portait une sorte de pistolet avec un canon en forme d'entonnoir, l'autre une boule blanche aussi grande que 2 poings. Ils sont allés à l'endroit où le premier homme avait été, ont tourné dos, et ont fait quelque chose qui a produit une fumée lumineuse bleue. A ce moment le garçon effrayé a couru à travers les bois vers une route voisine. Immédiatement un des hublots de la coupole est devenu vert lumineux, et un faisceau a balayé le secteur où il courait. Environ 20 secondes plus tard, avec un fort bruit de sifflement, la soucoupe est partie verticalement... R a retrouvé le garçon paralysé, mais ceci est rapidement passé. A l'emplacement où l'OVNI avait été, l'herbe a été brûlée et la terre noircie et a été répandue avec une sorte de cendre, sur un rayon de 3 mètres. Raymond a trouvé également une partie de la boule blanche, qui était une substance cotonneuse mais aussi lourde que le plomb, et une poudre jaune ressemblant à du soufre, qui était également très lourde. Peu après avoir rassemblé de cette poudre dans un papier, ses doigts ont commencé à brûler, et le jour suivant ils se sont boursouflés et ont été noircis. La poudre a été analysée et plus tard s'est avérée être constituée en grande partie de nitrate d'argent. A 15:05, 9 objets lumineux orange ont traversé le ciel, et un d'eux a débarqué dans exactement la même zone, avec un bruit de sifflement doux. Les témoins étaient à 600 pieds de là et n'ont pas osé aller plus près. Après 10 minutes l'OVNI a de nouveau décollé, avec un éclat de lumière orange."
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073); Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Phillips, Ted R., Ted Phillips investigation files; Phillips, Ted R., Physical Traces Associated with UFO Sightings, CUFOS, Chicago, 1975; Delaire, J. Bernard, UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976; Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002; Figuet, M; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.
[Ref. bo2:] JUAN-VICENTE BALLESTER-OLMOS:
Cet ufologue hispanique a lancé un projet de catalogage des cas de photos d'OVNIS en France. Ce cas apparaît sans son tableau ainsi:
Date | 11.05.1954 |
---|---|
Approx | |
10,1 | |
Non-événement (atterrissage et humanoïde) | |
OK | |
La Roche-en-Brenil, Côte-d'Or (France) | |
Nation | FRA |
21 | |
Film | PHOTO |
CE | |
Raymond R. | |
Media | |
Media | |
Durée | |
Livre | |
Jacques Vallée, Passport to Magonia, Henry Regnery, 1969, p. 242. Lumières Dans La Nuit, 125, mai 1973, pp. 22-24. Ouranos, 9, 4ème trim. 1973, p. 8. GABRIEL. Charles Garreau & R. Lavier, Face aux extra-terrestres, Jean-Pierre Delarge, 1975, pp. 47-52. Michel Figuet & J-L. Ruchon, OVNI: Le pemier dossier des rencontres rapprochées en France, A. Lefeuvre, 1979, pp 207-210. Gérard Barthel & Jacques Brucker, La Grande Peur Martienne, Nouvelles Éd. Rationnalistes, 1979, pp 40-45 and plates. SVLJ, April 1985, pp. 2-3. J. Heering. Erick Maillot. http://ufologie.net/1954/5nov1954larochef.htm Patrick Gross. Loren E. Gross, UFOs: A History. 1954: novembre-décembre Supplemental Notes, 2002, pp 10-11. | |
5 novembre 1954 |
[*] est l'ancienne adresse de cette page web. Mon site web a déménagé de ufologie.net à ufologie.patrickgross.org.
[Ref. ub1:] "UFO-DATENBANK":
Cette base de données a enregistré ce cas neuf fois au lieu d'une:
N° de cas | Nouveau N° de cas | Enquêteur | Date d'observation | CP | Lieu d'observation | Pays d'observation | Heure d'observation | Classification | Commentaires | Identification |
19541105 | 05.11.1954 | La Roche | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche Brenil | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche Brenil | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche Brenil | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche Brenil | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche Brenil | France | CE III | ||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche-en-Brenil | France | |||||||
19541105 | 05.11.1954 | La Roche-en-Brasil | France |
[Cette base de donnéEs a enregistré ce cas dix fois au lieu d'une!]
[Ref. pr2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":
5 novembre 1954. 1010hrs. LA ROCHE-EN-BRENIL (COTE'D'OR : FRANCE) Un ouvrier de plein air, Raymond R et son assistant Michel, âgé de 13 ans, travaillaient dans les champs quand un objet rond et gris dans les bois a attiré leur attention. Ils se sont approchés à moins de 100m et ont vu des lumières autour de lui. Pensant que c'était une "soucoupe volante", Raymond retourna chercher son appareil photo. Les deux se sont ensuite glissés dans les bois à moins de 50 m de la machine. C'était un disque de 9 m de diamètre avec une cabine avec des hublots en haut et trois sphères en dessous. A environ 5 m de cet objet se trouvait un être d'environ 1,6 m de haut vêtu d'un costume en plastique incolore, avec une sorte de bosse sur le dos et un casque gris foncé d'environ 40 cm de diamètre. Cet être a continué à faire les cent pas pendant environ 10 minutes, à marcher lourdement et à ne jamais aller à plus de 3 m de la machine. Pendant ce temps, Raymond a pris 7 photographies. La machine a émis une lumière rouge-verte et un léger bourdonnement. L'être est entré dans l'objet mais deux autres ont émergé, l'un tenant une sphère blanche, l'autre un peu comme une mitraillette. A ce spectacle et à celui de la fumée bleue émanant de l'engin, Michel s'enfuit en cassant des branches. Cela faisant, un faisceau vert sortit de l'engin, le garçon cria et Raymond faillit s'évanouir. La machine a ensuite décollé avec un sifflement. Raymond trouva Michel sur un genou incapable de bouger. Quand il le releva, le garçon était toujours instable. Sur le site, il y avait une surface d'herbe noircie de 3 m de diamètre et une boule de ce qui ressemblait à du coton mais se révéla être très lourde, tout comme une poudre jaunâtre trouvée également sur le site. Raymond a mis cela dans un sac en papier, mais cela a rongé le sac et il s'est brûlé les mains. Peu après 1800, Raymond vit 9 objets qui brillaient d'ouest en est dans le ciel. L'un d'eux est descendu à 100 m, puis est descendu lentement vers le site d'atterrissage. Cela a repris 10 minutes plus tard. Les deux avaient trop peur pour se rapprocher à moins de 3 km cette fois-ci. Gross 1954 citant lettre du témoin à La Bourgone [sic] Republicain [sic] + Lumieres dans le [sic] Nuit 125 p23 citant lettre à Les Depeches + Figuet et Ruchon 1979 p207 + Barthel and Brucker 1979 Alain Gamard Evaluation - La seule source de cette histoire est une lettre ou des lettres du témoin anonyme. Un dessin qu'il fournit est clairement celui de la fausse soucoupe volante d'Adamski, les prétendues photographies ne sont jamais parvenues à personne, la chronologie est mystérieuse, les enquêtes de Michel Monnerie ont conclu qu'il s'agissait d'un canular |
["Gross 1954" donné comme source ici est ma présente page web, dont le contenu cité et personnel n'est pas correctement reflété par Peter Rogerson.]
Barthel et Brucker ont semble-t-il la logique suivante: si l'on ne trouve pas un témoin nommé "Raymond R", c'est qu'aucun OVNI n'a été vu. Si on trouve quelqu'un qui pourrait être le témoin mais que celui-ci est maintenant décédé, c'est qu'il n'y a pas eu d'OVNI. Si quelqu'un tient à rester anonyme, il leur paraît dans ce cas tout de même vraisemblable que tout en venant d'une petite ville, il signe sa lettre anonyme par son prénom et la première lettre de son nom sans craindre d'être ainsi retrouvé. Si on trouve une personne quelconque qui pourrait "correspondre" au signalement d'un témoin pourtant resté anonyme si ce n'est un possible prénom "Michel", et si cette personne dit ne pas avoir été témoin d'un OVNI, c'est que malgré tout la personne est bien le bon témoin mais qu'il n'y a pas eu d'OVNI. Egalement, Barthel et Brucker ne semblent considérer que si un témoin se contente de témoigner en envoyant une lettre anonyme à un journal, alors la commune qu'il habite doit être au courant et également être témoin des faits. Enfin, ils semblent considérer que si un témoin dit "ma profession m'oblige à travailler dans la nature", cela doit nécessairement impliquer qu'il soit précisément un habitant de cette commune près de laquelle il situe son observation.
Ces remarques n'impliquent toutefois aucunement que le récit corresponde bien à des faits ayant eu lieu.
L'ufologue rationnel se contentera de noter que le témoin étant resté anonyme, il convient de se contenter de noter le cas le cas comme témoignage dont la réalité est invérifiable; il ne convient pas le citer comme preuve de l'existence ou de la non existence du phénomène OVNI, et encore moins d'en faire usage pour supporter la moindre théorie explicative. L'ufologue rationnel s'en tiendra au principe "testis unus, testis nullus:" un seul témoin ne suffit pas.
La première hypothèse qui me vient à l'esprit est celle d'un récit inventé par son auteur anonyme. Cette hypothèse sera bien soutenue si je présente des éléments tels que:
Or:
Notons également que l'auteur de la lettre est familiarisé avec les "soucoupes volantes" selon ses propres mots, et que sa lettre fait surface en 1973, sans qu'il n'y ait d'indication précise sur sa date de rédaction.
On peut alors envisager qu'une personne ait inventé cette histoire non pas pour en obtenir un bénéfice matériel, non pas pour que l'on parle de sa personne, mais peut-être par exemple pour constater la diffusion éventuelle de son récit pris comme récit véritable, pour la satisfaction personnelle de berner la presse. Ceci n'est pas prouvé, mais ceci est une possibilité que rien ne permet d'écarter, jusqu'à preuve du contraire.
L'hypothèse d'un récit inventé serait évidemment légèrement affaiblie si d'autres témoignages étaient disponibles, qui seraient en concordance avec le récit. (L'hypothèse de l'invention ne serait évidemment pas totalement réfutée en ce cas; rien n'empêche un fabulateur de greffer sa fable sur d'autres récits, plus solides ou tout aussi inventés.)
Or:
Dans l'introduction de la lettre publiée dans le magazine "Lumières Dans la Nuit" il est noté:
"Suite à nos précédents articles parus ces jours derniers dans nos colonnes au sujet des soucoupes volantes qui se sont posé sur le territoire de la commune de La Roche-en-Brénil, le 5 novembre 1954 à 10:00 et 18:00..." |
Il semble évident que les colonnes ayant publié d'autres articles sur cet événement ne sont pas celles du magazine "Lumières Dans la Nuit": ce magazine a commencé à paraître en 1957, il n'est pas quotidien mais mensuel, son numéro précédent ne contient aucunement de tels articles. J'en déduis que c'est dans le journal "La Dépêche" pour novembre 1954, que ces articles doivent se trouver.
Une démarche à entreprendre pour améliorer la pertinence de ce dossier est donc de toute évidence de rechercher ces articles et d'en évaluer la teneur. Ces articles sont cruciaux: ils pourraient soit offrir le seul Raymond R. comme témoin, soit présenter des témoignages d'autres personnes. Notons que la formulation parle précisément d'atterrissages de soucoupes à 10:00 et 18:00 et donne bien à penser qu'il y aurait eu d'autres témoins.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Données | Grave | 21 juillet 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Probable canular.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
---|---|
Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
---|---|---|---|
0.1 | Patrick Gross | 21 juillet 2007 | Création, [te1], [jv1], [ld1], [gl1], [fr1], [bb1], [bo1], [tp1], [ar1]. |
1.0 | Patrick Gross | 21 juillet 2007 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 8 juillet 2013 | Additions [bt1], [jb1], [gc1], [ud1], [bo2]. |
1.2 | Patrick Gross | 22 novembre 2016 | Addition [ub1], [lg2]. |
1.3 | Patrick Gross | 8 décembre 2018 | Additions [pr1], [ga2], [lh1], [pr2], [ga1], [jj1], [cn1], [vi1]. |