La presse locale a rapporté rapidement que le 2 octobre 1954, vers 18:45 - 19:00, Robert Cuffaut, fils de l'adjoint spécial de Jonches Emile Cuffaut, travaillait avec son tracteur au lieu dit "Croix-aux-Moines", entre Jonches et Egriseilles.
Il était dans un champ en friche entouré de broussailles de tous les côtés ou presque appartenant à Mr. Girard, d'Auxerre. Le champ était facile à repérer à cause d'une mare, il avait deux hectares et placé en un lieu désert et était un excellent point de vue panoramique.
Il a alors aperçu deux individus à quelques centaines de mètres, vêtus de couleur claire presque blanche, qui regardaient dans sa direction, c'est à dire celle du terrain d'aviation.
Mr. Cuffaut a continué à tourner sur son tracteur, et après trois tours de champ sans quitter de ses yeux les individus, ils avaient continué à regarder dans la même direction. Après quoi les individus son partis derrière une haie, tandis que Mr. Cuffaut a continué à travailler.
Ayant les pieds bien sur terre, il n'a pas alarmé tout le hameau pour si peu. Il a quitté son champ vers 19:15 - 19:30, puis a continué son travail en utilisant ses phares jusqu'à près de 21:00.
A 20:45 très exactement puisque Mr. Cuffaut l'a noté, il a vu passer venant de la direction d'où avaient été les deux individus, un appareil de couleur de braise qui filait à une vitesse de plus en plus prodigieuse en direction de Ligny-le-Chatel, vers le nord-est approximativement. Il avait été perdu de vue en 4 ou 5 secondes.
Mr. Cuffaut n'a pas préjugé d'un bruit ou du silence de l'engin, puisqu'il a fait remarqué que son tracteur produisait du bruit. Il a estimé que cet engin mesurait 4 à 5 mètres de long, en précisant qu'il ne donne là qu'une impression, et que l'engin allait vraiment trèS vite.
Plusieurs habitants de Jonches, dont M. Thomasain, garde champêtre, sont allés du côté de "La-Croix-des-Moines" et n'ont vu aucune trace dans la friche.
L'affaire a été résumé en quelques mots par Guy Quincy puis Jacques Vallée puis d'autres, sans aucun effort décent de quiconque pour chercher à établir ce que Mr. Cuffaut avait vu.
|
|
[Ref. yr1:] JOURNAL "L'YONNE REPUBLICAINE":
PASSAGERS DE SOUCOUPES VOLANTES?
|
Note: Les autres cas mentionnés dans l'article sont traités dans leurs dossiers repectifs.
[Ref. 152:] JACQUES VALLEE:
L'auteur indique que le 2 octobre 1954, à Jonches, près d'Auxerre, deux humanoïdes ont été vus au sol et deux heures plus tard un objet lumineux rouge a été observé au même endroit à très basse altitude.
[Ref. 105:] JACQUES VALLEE:
178 2 octobre 1954. Jonches (France) Deux créatures ont été vues au sol et deux heures plus tard un objet rouge lumineux était observé au même endroit, à très basse altitude. (Quincy) |
[Ref. fr1] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les deux auteurs indiquent que le 2 octobre 1954 à une heure non connue, à Auxerre dans l'Yonne, au lieu dit "Jonches", deux créatures ont été vues au sol. Deux heures plus tard, un objet rouge lumineux a été observé au même endroit à très basse altitude.
[Ref. mf1:] MICHEL FIGUET:
L'ufologue français Michel Figuet est certain qu'il s'agissait d'un hélicoptère.
[Ref. bb1:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:
Selon ces deux ufologues, la cause de cette observation est à rechercher à l'aéroport proche, entendre: un avion ou un hélicoptère.
Ils se plaignent au sujet de la brièveté du compte rendu de Jacques Vallée et notent qu'il a mélangé ce qui étaient probablement deux événements différents en un seul.
Ils disent qu'ils ont parlé au témoin qui leur a dit que les "créatures" étaient "des êtres normaux, peut-être peu un plus grand qu'un homme, ils étaient habillés de vêtements clairs", qu'il y avait des traces sur la terre qui étaient comme une sorte d'échelle avec des barreaux éloignés de quatre mètres et que son observation doit être crue puisque les gendarmes ont enquêté.
Les auteurs disent que les gendarmes ont réfuté qu'il y a eu une enquête mais qu'ils se souvenaient de l'affaire et que la trace était "ordinaire". Les auteurs notent que la trace ne peut pas être associée à un objet parce qu'aucun objet n'a été vu, et que M. C., le témoin, "a admis que la distance entre lui et l'objet était de 300 à 400 mètres."
[Ref. js1:] JEAN SIDER:
Jean Sider indique que selon L'Yonne Républicaine, d'Auxerres, du 4 octobre 1954 en page 3, Robert Cuffaut labourait son champ avec son tracteur le 2 octobre 1954 à 18:45 à Jonches dans l'Yonne, quand il a remarqué deux individus normaux vêtus de clair qui regardent dans sa direction en suivant son tracteur des yeux, pendant trois tours de champ.
Cela a duré de longues minutes et le témoin estime cela curieux puisque son champ est dans un secteur isolé et entouré de hautes haies.
A 20:45, il a observé un appareil couleur de braise qui a semblé décoller derrière une haie de son champ, précisément de là où venaient les individus. L'engin a filé vers Ligny-le-Châtel et a été perdu de vue en 4 ou 5 secondes.
Jean Sider fait remarquer qu'il n'est pas évident que les individus et l'engin soient reliés, que Michel Figuet ne donne pas les heures et appelle ces individus des "êtres", ce qui prête à bien des interprétations.
Il note que la version de Jacques Vallée indique simplement que deux créatures sont vues au sol et que deux heures plus tard un objet lumineux est vu au même endroit, volant très bas. Jean Sider indique que cette version trop concise et erronée a servi de base aux debunkers Barthel et Brucker pour banaliser l'incident, en commençant par prétendre que le témoin principal est "Monsieur C...", ceci indiquant qu'ils ne connaissaient pas son identité, pas plus que Michel Figuet ne la donnait en sa page 106.
Ils commettent ensuite une bourde en parlant de "recherches fastidieuses" dont ils "font grâce" à leurs lecteurs, pour retrouver "les" témoins de l'incident, alors qu'il n'y en a eu qu'un seul.
Jean Sider note également que Mr. Cuffaut n'a pas parlé de deux "créatures" comme Barthel et Brucker mais de deux individus, et qu'il suffisait de consulter la source journalistique pour s'en rendre compte et trouver l'identité du témoin.
Jean Sider note que Barthel et Brucker prétendent avoir parlé au témoin, qui leur aurait dit avoir retrouvé des traces au sol, et que la Gendarmerie aurait fait une enquête. Barthel et Brucker réfutent ensuite cela au motif que les Gendarmes leur auraient dit ne pas avoir fait d'enquête mais se souvenir de l'affaire, et que selon eux la trace était quelconque.
Jean Sider ne croit pas que les allégations d'enquête fastidieuse de Barthel et Brucker soit vraies. D'une part ils ne semblent pas connaître le nom du témoin, d'autre part, s'il n'y a pas eu d'enquête de Gendarmerie, les mutations et changement de carrière rendent improbable que des Gendarmes aient des souvenirs du cas plus de 20 ans plus tard. Enfin, les archives de Gendarmerie étant centralisées à Leblanc dans l'Indre au bout de dix ans, il n'aurait pas été possible de retrouver des traces de leur enquête localement s'il y en a eu une.
Jean Sider note également qu'en 1988, Joël Mesnard a pu retrouver la veuve du témoin en dix minutes sans connaître alors son nom, et que Mme Cuffaut l'a informé que son mari était décédé depuis plus de 10 ans, et que Barthel et Brucker ont donc prétendu avoir parlé avec un mort, à moins qu'ils ne lui aient paré avant son décès.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
112. Lieu. Jonches, France Date: 2 octobre 1954 Heure: inconnue Deux créatures humanoïdes ont été vues au sol et deux heures plus tard un objet rouge lumineux était observé au même endroit, à très basse altitude. Pas d'autres informations. Humcat 1954-64 Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia Type: D |
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Ce jour là 2 octobre [...] 1954 - Deux créatures ont été vues sur la terre à Jonches, France. Deux heures plus tard, on a observé un objet rouge lumineux au même emplacement, à une très basse altitude. (Sources: Jacques Vallee, Passport to Magonia, p. 215; Michel Figuet and Jean-Louis Ruchon, OVNI: Le premier dossier complet des rencontres rapprochees en France, p. 107). |
[Ref. jb1:] JEROME BEAU:
Jérôme Beau indique que le samedi 2 octobre 1954 à Jonches en France, deux humanoïdes ont été vus au sol et deux heures plus tard, un objet rouge lumineux a été observé au même endroit, à très basse altitude.
Jérome Beau indique que ses sources sont Quincy, et Vallée, J., cas n°40, "Rapport sur l'analyse de 200 observations documentées faites en 1954".
[Ref. ud1:] "UFODNA" WEBSITE:
Ce site web a noté le cas deux fois:
"2 octobre 1954 - Jonches, France - Deux créatures ont été vues au sol, et deux heures plus tard un objet lumineux rouge a été observé au même endroit, à une très basse altitude. Explication: ré-entrée."
"2 octobre 1954 18:50 - Jonches, France - Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un objet rouge a été observé pendant 120 minutes. Deux êtres ont été vus. Explication: réentrée."
[Note: une "ré-entrée n'est pas l'explication de ce cas.
[Ref. cm1:] "CA MANQUE PAS D'AIR":
Une page web relevant de l'émission "Ca manque pas d'air" de la chaîne de télévision France 3 dont un volet a été consacré à la question des OVNIS indique:
"Cas de l'observation à Jonches (dans l'Yonne) le 2 Octobre 1954, avec la présence de 2 humanoïdes."
Un lien renvoie à cette présente page de mon site.
Concernant la critique de Barthel et Brucker par Jean Sider:
Les arguments de Jean Sider ne sont pas convaincants du tout en l'occurrence, et donnent l'impression qu'il a été sur cette affaire tout aussi manipulateur que Barthel et Brucker l'auraient été.
Le premier point est qu'il affirme que Barthel et Brucker ne connaissaient pas le nom du témoin puisqu'ils l'appellent "Monsieur C..." sans donner son nom complet, ce qui est suggéré être le cas de Michel Figuet en page 106. Or, il se trouve que Figuet en page 106 ne donne pas même "Mr. C", mais donne Mr. XX." De celà il découle qu'en fait, Barthel et Brucker connaissaient probablement le nom complet du témoin et qu'ils le désignaient "Mr. C" probablement tout simplement pour ne pas révéler une identité dont ils ont du voir que Figuet ne l'a pas publiée. En appelant le témoin "Mr. C", ils ne prouvent nullement qu'ils ne connaissaient pas nom et n'ont donc pas pu lui parler, ils prouvent au contraire qu'ils connaissaient bien son nom - bien que cela ne prouve pas qu'ils lui aient parlé. Ils écrivent d'ailleurs explicitement dans leur texte sur ce cas que lorsque le nom du témoin a été tu dans les sources ufologiques, ils s'abstiennent de le donner.
Un deuxième point soulevé par Jean Sider est qu'il y a mensonge de Barthel et Brucker puisqu'il n'y avait eu qu'un seul témoin et qu'ils prétendent avoir eu du mal à trouver "les" témoins. Mais l'argument est plutôt spécieux si l'on veut bien considérer que plusieurs habitants de Jonches, dont M. Thomasain, garde champêtre, qui sont allé à la recherche des traces dans le champs, peuvent fort bien être considérés comme des témoins que Barthel et Brucker ont pu rechercher également, ne serait-ce que pour avoir leur témoignage concernant ces traces ou la réputation de Mr. Cuffaut dans le village.
Un troisième point est que Jean Sider évoque que Barthel et Brucker ont prétendu parler avec un mort puisque le témoin était décédé, à une date donnée comme 10 ans avant que Joël Mesnard ne l'apprenne de sa veuve en 1988. Mais cela ramène l'année du décès à 1978, et Barthel et Brucker ayant publié leur livre en 1979, il n'y a vraiment rien d'extraordinaire à l'idée qu'ils auraient parlé à Mr. Cuffaut en 1978 ou auparavant. Certes, après s'être exclamé sur cette interview d'un mort, Jean Sider tempère sa remarque en supputant qu'il lui ont peut-être parlé avant son décès. Mais en l'occurence, il a tout de même mis en avant un argument qui ne tenait pas.
Jean Sider critique à plusieurs reprises Barthel et Brucker pour avoir mené leurs enquêtes par téléphone et non sur les lieux. Ils ne le fait pas ici; peut-être que la conversation de Joël Mesnard avec Mme Vve Cuffaut était également par téléphone et que la remarque aurait été malvenue cette fois? Et pourquoi n'a-t-on à cette occasion pas demandé tout simplement à Mme Cuffaut si elle avait effectivement rencontré ou conversé par téléphone avec Barthel et Brucker, ce qui aurait été le moyen le plus simple de mettre en évidence une éventuelle "enquête inventée" de ces messieurs, si tel était le cas?
Enfin, pourquoi Jean Sider tait-il complètement l'explication donnée par Barthel et Brucker, celle d'un aéronef du proche terrain d'aviation? Est-ce pour laisser penser au lecteur que l'approche de Barthel et Brucker aurait été de considérer l'affaire comme un canular? Car enfin, s'il y a bien du sens à rappeler que les "êtres" étaient en fait des "individus", n'était-il pas tout autant pertinent de rappeler que Barthel et Brucker ont confirmé l'observation mais l'ont attribué à un possible avion ou hélicoptère du proche terrain?
Concernant le propos de Barthel et Brucker sur le cas:
Les deux auteurs se plaignent effectivement de ce que les données sur l'affaire sont maigres; ils reprennent le résumé de Jacques Vallée et ironisent en indiquant que ce serait "très précis". La critique est effectivement méritée, cataloguer brièvement de telles affaires en se basant sur des sources tout aussi brèves (Quincy) et sans aucun souci de vérification n'était pas de la bonne ufologie.
On peut remarquer que selon Barthel et Brucker, l'observation n'est pas une pure invention puisqu'ils écrivent que "l'on se souvient de 'l'obs' dans le pays", et que les Gendarmes leur ont dit s'en souvenir.
Il est toutefois clair que, comme dans l'ensemble de leur ouvrage, leur propos est plutôt obscur, mal documenté, mal étayé. On ne sait nullement à qui exactement ils ont parlé, ni quand, ni s'ils étaient sur place ou non, ni ce que les gendarmes ont dit exactement. En ce qui concerne la trace par exemple, les Gendarmes leur auraient dit qu'elle était "quelconque", mais on ne sait nullement ce que cela signifie, pour les Gendarmes. Celle décrite par Mr. Cuffaut selon Barthel et Brucker est elle inventée par Mr. Cuffaut ou non? On ne le saura pas. On peut juste noter qu'elle ne correspond pas vraiment à un trace d'hélicoptère.
Barthel et Brucker trouvent que le témoin est contredit que le fait qu'il y ait eu ou non une enquête des Gendarmes. Mais en fait, comment Mr. Cuffaut aurait-il pu différencier le fait que les gendarmes lui aient parlé et aient vu la trace, d'une enquête à proprement parler? Il n'y a rien d'étonnant à ce que, racontant ce qu'il dit avoir vu aux Gendarmes, et ceux-ci examinant la trace, il en ait déduit qu'ils étaient là en enquête et non en simple curieux faisant la conversation. Autant il est possible que les Gendarmes n'aient rien consigné, autant il est vain de suggérer que cela contredit vraiment Mr. Cuffaut.
Enfin, il est patent que si Barthel et Brucker suggère que l'explication réside dans la proximité d'un aéroport, ils ne semble pas avoir proposé ce type de possibilité au témoin - comme par peur de se voir contredit? Comme l'écrivait le journal à l'époque, "Nous n'en saurons sans doute jamais plus", tout simplement parce que nul n'a songé ni sur le moment ni par la suite à mener la moindre enquête ufologique décente sur cette affaire.
Le cas:
Les individus se trouvent selon Mr. Cuffaut à 400 ou 500 mètres, soit bien au-delà d'une distance à laquelle ils peuvent être reconnus comme humains ou humanoïdes - à une distance proche du demi-kilomètres, tout humain apparaît comme humanoïde et vice versa s'il n'a pas une conformation réellement étrange. Il est donc logique que Mr. Cuffaut ne se soit guère ému sur le moment de ces deux personnages et n'ait pas donné plus de détail à leur sujet. Cela n'excuse nullement les transformations en "êtres" ou "créatures" que l'on trouve ensuite dans les sources ufologiques puisque cela fait croire au lecteurs qu'ils n'étaient effectivement pas humains.
De fait, du peu qui en est dit, il ressort que Mr. Cuffaut n'était probablement pas porté au sensationnalisme ou à l'exagération. Il fait remarquer que l'on ne peut pas parler d'absence de bruit de l'engin puisque son tracteur aurait pu le couvrir. Il fait une remarque de prudence sur la taille de l'engin. Il note précisément l'heure de son passage dans le ciel. Tout ceci rend très regrettable qu'il n'y ait eu personne pour aborder son témoignage correctement, alors que l'opportunité était là, en lieu et place de "résumés" trompeurs sans valeur et de seules critiques connexes et sans guère plus de valeur des ufologues X sur les mauvais us des ufologues Y et vice versa.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Données | Grave | 15 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Données insuffisantes; de nature journlistique. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 15 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoin unique. | - | - |
3 | Ufologie | Grave | 15 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Aucun rapport d'enquête ufologique sur l'observation. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Possible hommes, et hélicoptère ou avion. Informations insuffisantes.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
---|---|
Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
---|---|---|---|
0.1 | Patrick Gross | 15 décembre 2007 | Création, [yr1], [jv1], [jv2], [fr1], [mf1], [bb1], [js1], [ar1], [dj1], [jb1], [ud1], [cm1]. |
1.0 | Patrick Gross | 15 décembre 2007 | Première publication. |