Dans une enquête de Christian Hylcnar et Eric Zurcher, du "Centre Ufologique Niçois", en juillet 1977, il est rapporté qu'en mai 1953 ou mai 1954, à 00:30, à Cagnes-sur-Mer, Pierre Cavallo, projectionniste de cinéma, après son travail, rentrait chez lui à Cagnes-sur-Mer par l'avenue Ziem qui était déserte, couverte de haies et de broussailles sur les bas côtés. Il en profitait pour ramasser des escargots.
Comme il se rappellera très bien par la suite avoir pu voir les escargots au sol, il en est déduit que la lune devait être présente.
Il a été soudainement surpris par l'apparition d'une chose en forme de cigare brillant dans le ciel, avec des "paillettes" bleues à l'intérieur, qui est allé du Sud au Nord dans un temps de 20 à 30 secondes en laissant derrière lui une "queue d'étincelles oranges", le tout dans le plus grand silence.
Il est resté sur place, interloqué, pendant une quarantaine de secondes, et a alors senti une présence sur sa droite. Il a tourné la tête, il a aperçu un visage qui lui a semblé humain, bien que très étrange. Son expression ressemblait à "un sourire béat." La figure était d'une pâleur extrême, avec les yeux bleus et un crâne parfaitement nu. Pierre Cavallo n'a pas pu voir le corps du personnage, qui était dans les broussailles.
Il est resté son vélo à la main en dévisageant l'inconnu et ne sachant que faire, se demandant à qui il avait affaire et s'il s'agissait d'un fou, mais il a vite été gagné par la peur, a enfourché son vélo et a filé à toute vitesse en descendant l'avenue Ziem.
Pendant tout le temps où il avait dévisagé l'inconnu, celui-ci n'a pas fait un geste et aucun des deux n'ont dit un mot.
Le lendemain, revenant sur les lieux, il a trouvé que la haie faisait 90 centimètres de haut. Deux semaines plus tard, il a raconté son aventure à des amis, et l'un d'eux lui a dit avoir vu le même phénomène dans le ciel le même jour à la même heure, d'un point proche mais différent.
En 2009, Eric Zürcher évoque le côté haut en couleur et quelque peu marginal du témoin, qui avait été acteur, dont le visage lui rappelait quelque chose. De fait, le témoin avait joué notemment dans le très regardé feuilleton télévisé "Belle et Sébastien" dans les années 1960.
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[Ref. fj1:] MICHEL FIGUET ET ERIC JULIEN:
Les auteurs indiquent qu'en mai 1954 ou peut-être 1953, M.C., âgé d'une cinquantaine d'années, rentrait chez lui après avoir terminé son travail en poussant sa bicyclette et ramassant des escargots.
Il a soudainement vu devant lui à une courte distance un cigare brillant dans le ciel, de couleur orange avec des paillettes autour, une queue perdue dans son sillage, dans un silence total, quelques secondes d'un "spectale magnifique et surprenant."
Interloqué, le témoin est resté quelques temps à réfléchir, perplexe et inquiet il a renoncé à sa fructueuse récolte et a décidé de quitter les lieux, mais a alors eu la sensation confuse de ne pas être seul.
Il a cherché machinalement autour de lui et a finalement aperçu un visage au-dessus d'une haie, étrange, très pâle, avec un crâne parfaitement chauve, de gros yeux amicaux, une sorte de sourire mince et béat. Le corps était caché par la haie.
Il n'y avait aucune hostilité apparent, aucune interpellation, aucun geste, mais le témoin prend peur, enfourche sa bicyclette et s'enfuit à toute vitesse en descendant l'avenue Ziem, qui est fort connue à Cagnes-sur-Mer.
Le lendemain, il est revenu sur les lieux et a constaté que la haie mesurait seulement 90 cm de haut.
Deux semaines plus tard, il parlait de sa mésaventure à des amis, et l'un d'eux lui a dit que la même nuit à la même heure, d'un point d'observation proche mais différent, il avait vu à courte distance le même phénomène lumineux.
Le témoin a été rassuré et s'est persuadé qu'il n'avait pas rêvé. Il a conservé longtemps le souvenir de "la face de lune aux yeux brillants" du petit bonhomme qui l'avait regardé ramasser des escargots.
Les auteurs concluent que probablement cet "extra-terrestre" ignorait qu'en Provence, "on mange ces gastéropodes à la sauce tomate, avec beaucoup d'ail, de 'pébrette' et de petits lardons..."
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN LOUIS RUCHON:
Les auteurs indiquent qu'en mai 1953 ou mai 1954, à 00:30, à Cagnes-sur-Mer, Mr. P. Cavallo, projectionniste, après son travail, rentrait chez lui par l'avenue Ziem qui était déserte, couverte de haies et de broussailles sur les bas côtés. Il en profitait pour ramasser des escargots.
Comme il se rappellera très bien par la suite avoir pu voir les escargots au sol, il en est déduit que la lune devait être présente.
Il a été soudainement surpris par l'apparition d'un cigare brillant dans le ciel, avec des "paillettes" bleues à l'intérieur, qui est allé du Sud au Nord dans un temps de 20 à 30 secondes en laissant derrière lui une "queue d'étincelles oranges", le tout dans le plus grand silence.
Il est resté sur place, interloqué, pendant une quarantaine de secondes, et a alors senti une présence sur sa droite. Il a tourné la tête, il a aperçu un visage qui lui a semblé humain, bien que très étrange. Son expression ressemblait à "un sourire béat." La figure était d'une pâleur extrême, avec les yeux bleus et un crâne parfaitement nu.
Mr. Cavallo n'a pas pu voir le corps du personnage, qui était dans les broussailles.
Il est resté son vélo à la main en dévisageant l'inconnu et ne sachant que faire, se demandant à qui il avait affaire et s'il s'agissait d'un fou, mais il a vite été gagné par la peur, a enfourché son vélo et a filé à toute vitesse en descendant l'avenue Ziem.
Pendant tout le temps où il avait dévisagé l'inconnu, celui-ci n'a pas fait un geste et aucun des deux n'ont dit un mot.
Les auteurs commentent qu'une confusion est toujours possible, que Mr. Cavallo a pu être troublé par l'OVNI qu'il venait de voir et a alors déformé sa vision d'un personnage accroupi dans la haie, qu'il est étonnant qu'il ait pu voir que les yeux du personnage étaient bleu, mais que "nous avons" longuement insisté sur ce point auprès du témoin qui les a assuré que les yeux du personnage étaient vraiment bleus.
Les auteurs indiquent que la source est une enquête de Christian Hylcnar et Eric Zurcher, Centre Ufologique Niçois, en juillet 1977.
[Ref. ez1:] ERIC ZURCHER:
L'ufologue Eric Zurcher a constitué un petit catalogue d'une trentaine de cas français inédits, parmi lesquels celui ci:
Cas 018. Mai 53 ou 54.00 h 30. Cagnes 106). Mr Pierre Cavallo. Observation d'un objet lumineux et ovoïde et apparition d'un petit être au visage blafard, avec des yeux ronds, bleus et probablement lumineux. Le témoin épouvanté s'enfuit. Source: Enquête personnelle voir la revue des Soucoupes Volantes No 2 et le catalogue Figuet/Ruchon p 645/646. |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Cagnes-sur-Mer, Alpes Maritimes, France, en mai 1953 à 03:00 heure du matin, Pierre Cavallo, 50 ans, un projectioniste de cinéma, marchait vers chez lui, poussant sa bicyclette, et ramassant des escargots, quand il a été étonné par l'apparition dans le ciel d'un cigare lumineux orange avec les paillettes bleues dans son intérieur. Ceci est passé silencieusement en 20-30 secondes, laissant une traînée des étincelles oranges. Etonné, Mr. Cavallo est resté où il était pendant environ 40 secondes. Ensuite il a senti une présence près de lui, et, tournant la tête, a vu un visage d'une pâleur extrême, avec les yeux bleus, la tête parfaitement chauve, et la bouche formant un "sourire béat." Une haie de seulement 3 pieds de haut cachait le corps. Après avoir regardé pendant quelques secondes lieu, Cavallo a sauté sur sa bicyclette et a filé au loin.
Les sources sont indiquées comme "Humcat 1953-12 Source: Christian Hycnar et Eric Zurcher."
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique qu'en mai 1953 à 00:30 à Cagnes-sur-Mer, France, "un cigare lumineux orange avec des paillettes bleues passé silencieusement par le ciel, laissant traînée étincelles oranges. Présence sentie, visage pâle avec les yeux bleus, tête chauve, 3 pieds de haut, 'sourire béat.'"
Et: "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un objet orange en forme de cigare a été observé par un témoin de 50 ans masculin sur une route (Cavallo). Aucun bruit n'a été entendu. Un être pâle de 3 pieds de haut a été vu."
La source est indiquée comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports.
[Ref. ud2:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique qu'en mai 1953 à 00:30 à Cagnes-sur-Mer, Alpes Maritimes, France, "Pierre Cavallo, 50 ans, un projectioniste de cinéma, marchait vers chez lui, poussant sa bicyclette, et ramassant des escargots, quand il a été étonné par l'apparition dans le ciel d'un cigare lumineux orange avec les paillettes bleues dans son intérieur. Ceci est passé silencieusement en 20-30 secondes, laissant une traînée des étincelles oranges. Etonné, Mr. Cavallo est resté où il était pendant environ 40 secondes. Ensuite il a senti une présence près de lui, et, tournant la tête, a vu un visage d'une pâleur extrême, avec les yeux bleus, la tête parfaitement chauve, et la bouche formant un "sourire béat." Une haie de seulement 3 pieds de haut cachait le corps. Après avoir regardé pendant quelques secondes lieu, Cavallo a sauté sur sa bicyclette et a filé au loin."
La source est un lien brisé.
[Ref. ez2:] ERIC ZURCHER:
Le site web indique que sa page sur le cas est une enquête de Eric Zurcher et Christian Hycnar en 1976. Eric Zurcher est ensuite cité comme disant que personnellement c'est la sortie la plus désopilante dont il se souvienne à cause de la personnalité extraordinairement sympathique du témoin, et que l'enquête est parue à l'époque dans la Revue des Soucoupes Volantes de Michel Moutet et qu'il l'avait communiqué à François Gardes, alias Henri Julien, le président de l'ADEPS, une association régionale importante. Il indique que H. Julien l'a reprise telle qu'elle dans son livre OVNI en Provence publié en 1993 et que c'est à sa connaissance la seule source à peu près accessible où l'on puisse trouver cette relation.
Il note qu'il ne s'agit évidemment que d'une "histoire" puisque le témoin a été entendu plus de vingt ans après les faits, et bien que classable en RR3, elle n'a pas le "lustre" de cas plus célèbres, et que par ailleurs, la possibilité d'une méprise n'est pas totalement à exclure, comme il sera montré.
C'est par une connaissance de travail de Christian, qui connaissait le témoin et l'avait entendu relater cette histoire, que le contact avec le témoin avait été fait.
Le témoin, "Mr C", est décrit comme un homme qui vivait tranquillement au fond d'un vallon connu de Cagnes sur Mer, habitant une sorte de baraque construite de bric et de broc avec pour environnement un terrain maraîcher où il cultivait toutes sortes de légumes, vivant là très heureux malgré ce côté un peu marginal, "reflet et aboutissement d'une vie fertile en rebondissement."
Il avait un peu tout fait dans sa vie et s'était visiblement bien amusé à le faire, ayant même été un peu acteur, de second rôle, disant "ma gueule est connue, hein ?! mais en fait personne ne connaît mon nom!"
Zurcher confirme que son visage leur évoquait quelque chose de déjà vu et même de bien connu mais qu'ils ne se rappelaient ni de circonstances ni d'un nom.
Il est décrit comme "un personnage haut en couleur, avec une faconde toute provençale. Ce n'était pas seulement l'accent, mais aussi les expressions et les mimiques avec lesquelles il nous conta maints épisodes de sa vie. Bref, un personnage un peu à la Pagnol, avec des relents à la Blaise Cendrars, et qui nous fut immédiatement sympathique. Nous avons eu une confiance totale dans sa sincérité."
L'observation est datée du mois de mai 1953 ou 1954, le témoin ne se rappelant plus très bien l'année exacte, alors qu'il rentrait chez lui, son travail terminé, vers minuit et demi, sous une nuit claire et lumineuse. Il poussait sa bicyclette et marchait le long de l'avenue Ziem, encore très connue aujourd'hui à Cagnes sur Mer, longeant des haies et des broussailles trempées de rosée, ramassant des escargots dont il raffolait, ce qui suggère une pleine lune probable.
Soudain, à environ 100 mètres de l'intersection avec le chemin du val Fleuri, il a remarqué devant lui et selon son estimation à une courte distance de 300 m, un cigare brillant dans le ciel, de couleur orange, avec des paillettes bleues à l'intérieur et tout autour. Ce cigare évoluait sur un axe allant du Sud au Nord dans un silence absolu et assez près du sol car lui-même l'avait au niveau des yeux alors qu'il se trouvait au sommet de la descente finale de l'avenue Ziem. Le spectacle était vraiment magnifique, d'autant qu'une queue lumineuse bleue perdurait dans son sillage.
L'observation a duré une vingtaine de secondes et le témoin n'a jamais put déterminer une vitesse.
Le témoin a été interloqué et est resté pétrifié quelques instants, vaguement inquiet, et s'est finalement décidé à quitter les lieux, renonçant à sa fructueuse récolte. Il a alors eu la vague sensation de ne pas être seul et a regardé autour de lui, pour finalement apercevoir un visage au dessus d'une haie, une étrange figure d'une grande pâleur avec un crâne entièrement chauve, qui le regardait avec de grands yeux amicaux et bleus. Ces yeux bleus étaient la particularité dont il se souvenait le mieux. Il avait une sorte de sourire béat, et des lèvres étaient extrêmement minces et son corps était invisible, dissimulé par la haie.
Les enquêteurs se demandent "Comment, vu qu'il faisait nuit, était-il sûr de la couleur des yeux? Parce qu'ils brillaient nous répondit-il." L'individu n'a pas parlé, ni bougé, n'a exprimé aucune hostilité apparente, le témoin disant "Ce type avait l'air plus idiot qu'autre chose, une belle gueule d'ahuri!"
Toutefois, touché par l'étrangeté de la situation et pas très rassuré, il a enfourché sa bicyclette et s'est enfui en dévalant à toute vitesse l'avenue Ziem. Le lendemain, il est revenu sur les lieux de la rencontre et a constaté que la haie faisait 90 cm de haut. Deux semaines plus tard, il a raconté sa mésaventure nocturne à des amis, et l'un d'eux lui a dit que la même nuit, à la même heure, d'un point d'observation différent mais voisin, il avait vu à courte distance le même phénomène lumineux. Ceci a rassuré le témoin et l'a persuadé qu'il n'avait pas rêvé.
En 1976, il n'avait toujours pas oublié cette face de lune et cette belle expression de "crétin du village" qui l'avait empêché de terminer sa cueillette, et Henri Julien a ajouté avec son humour habituel que probablement cet "extra-terrestre" ignorait qu'en Provence, on mange ces gastéropodes à la sauce tomate, avec beaucoup d'ail, de "pébrette" et de petits lardons.
Il est ensuite commenté que si l'affaire a un côté hilarant, elle ne l'est peut-être pas tant que ça, que ce n'est pas la première fois que des "promeneurs" occupés à la cueillette de champignons, plantes ou ici escargots, sont interrompus dans leurs activités par l'irruption de l'incompréhensible, et que le portrait de l'être observé évoque également les petits humanoïdes de Valensole.
Il est ajouté que l'on ne peut toutefois, pas exclure ici une méprise explicable par le passage d'un bolide, car la relation du phénomène aérien y fait penser, et la coïncidence de quelqu'un se trouvant accroupi derrière la haie, avec une tête un peu bizarre, ce qui arrive. Rien n'est cependant sûr, et le témoin "a désormais emporté avec lui son vécu, que seul cette relation fait revivre pour la postérité. C'est la magie des mots..."
Il est précisé que le texte a été re-écrit par Eric Zurcher en 2009.
Il n'y a rien d'étonnant à ce que les enquêteurs aient eu l'impression d'avoir déjà vu le témoin: Pierre Cavallo, effectivement acteur de second plan, avait joué au milieu des années 1960 le rôle de "Georges" dans le très fameux feuilleton télévisé "Belle et Sebastien", et avait joué en 1975 dans le film "Les Grands Moyens".
L'"OVNI" dans ce cas-ci est décrit exactement comme quelqu'un décrirait un météore qu'il n'aurait pas su identifier comme tel.
Bien qu'une source commente que les yeux bleus étaient "probablement" lumineux, il n'y a aucune raison pour laquelle ils devraient l'avoir été et ils n'étaient donc probablement pas lumineux.
Il n'y a aucune connexion évidente entre l'OVNI/météore et le personnage aux yeux bleus.
La solution au sujet de ce personnage pourrait très bien être la solution suggérée par le témoin lui-même: un fou. Il n'y a aucune raison du tout de penser que ce personnage n'était pas simplement un humain.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 4 octobre 2009 | Patrick Gross | Patrick Gross | La source primaire ne m'est pas disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Confusions. Météore, puis homme étrange.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 19 octobre 2009 | Création, [fr1], [ez1], [ar1], [ud1]. |
1.0 | Patrick Gross | 19 octobre 2009 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 17 mars 2010 | Additions [fj1], [ud2], [ez2], dans les "Points à Considérer", la phrase "Il n'y a rien d'étonnant..." Dans le "Résumé", paragraphes "Le lendemain..." et "En 2009, Eric Zürcher...". |