Dans le magazine Male, en 1955, un histoire qui sonne comme une fiction mais présenté comme histoire vraie est racontée son témoin allégué George Snitowski.
Le narrateur explique qu'à environ 20:00 le 13 septembre 1952, il était sur la route avec son épouse et son fils de 18 mois quand sa voiture a soudainement été complètement morte. Ils rentraient chez eux à New York, et selon sa carte, ils étaient dans le comté de Braxton, Virginie Occidentale, quelque part dans le secteur de Frametown et Sutton. Puisque que c'était un long trajet et qu'ils n'étaient pas pressés, ils avaient roulé en dehors des autoroutes.
Il a enfoncé le démarreur mais la batterie était morte, alors que c'était une batterie relativement neuve et qu'il n'y avait eu aucune indication qu'elle allait être vide.
L'homme poursuit:
"Une faible odeur rendant malade, quelque chose comme un mélange d'éther et de soufre brûlé, traînait dans la voiture. Le bébé, dormant dans le berceau de la banquette arrière, a soudainement commencé à pleurer et tousser. Ma première pensée était que quelque chose brûlait dans la voiture et je suis sorti rapidement et ai soulevé le capot. Il n'y avait rien d'anormal que je puisse trouver et j'ai passé environ 10 ou 15 minutes épuisantes à essayer de faire démarrer la voiture. L'odeur a semblé devenir plus forte et je suis entré dans la voiture et ai fermé toutes les fenêtres. Le bébé ne voulait pas cesser de pleurer et mon épouse était nerveuse."
"Probablement une usine de soufre brûlant des déchets," ai-je commenté, essayant de la rassurer. "Le vent doit le porter au loin." Il faisait assez sombre et je n'ai pas voulu laisser Edith et le bébé sur la route déserte et marcher vers la ville la plus proche, qui était Frametown, à environ 12 miles de distance. J'ai pensé que nous devrions nous détendre et attendre une autre voiture pour un coup de main ou patienter jusqu'au matin. C'est alors que l'éclair de lumière a inondé la voiture avec un faisceau instable, hésitant. Edith et moi avons regardé dehors et la lumière semblait venir des bois encadrant la route. Une chose étrange à son sujet était que bien que cette lumière ait été une lueur douce, violette, assez diffuse, elle aveuglait aux yeux; j'ai ouvert la fenêtre obscurcie par la poussière pour mieux voir, et la puanteur nous a submergée d'une vague nauséabonde. J'ai remonté la fenêtre rapidement. J'ai senti monter un flot de bile dans mon estomac, et Edith a commencé à s'étrangler. Je ne savais fichtrement pas ce qui se passait! Mais c'était pire pour le bébé: il s'étouffait et criait. Nous avons replié un des mouchoirs en soie fine d'Edith et l'avons attaché légèrement au-dessus du nez et de la bouche de l'enfant..."
"Je suis rapidement descendu de la voiture et ai fermé la porte en la claquant. Edith m'a appelé, mais je lui ai fait signe de rester tranquille. Je devais découvrir ce qui se passait. Mais l'odeur m'a presque arrêté avant que j'ai fait 20 pas. Elle me soulevait l'estomac et je me suis adossé contre un arbre et ai vomis partout!"
"Le bord de la route se laissait tomber en une vallée, et quand j'ai regardé vers le bas entre les arbres, j'ai pu discerner le contour d'un certain genre de sphéroïde luminescent. Il était comme un réverbère givré agrandi deux ou trois cent fois. Il n'était cependant pas solidement arrimé au sol. Au lieu de cela, il a semblé flotter sur une de ses extrémités, se déplaçant légèrement dans les deux sens..."
"Je me suis toujours considéré comme une personne très pondérée, mais la première pensée qui m'est venue à l'esprit a été celle de toutes ces discussions et articles actuels concernant des soucoupes volantes et d'autres objets d'origine mystérieuse. Je n'avais jamais rien cru de cela et même pendant que je regardais la sphère, je me disais encore qu'il devait y avoir quelque explication logique. L'objet était à 200 ou 300 pieds de distance, derrière quelques arbres, et j'ai commencé à aller plus près, en luttant contre la nausée. A peu près à mi-chemin, une sensation de chaleur, de picotement, a frappé mon corps. C'était la même sensation que lorsque vous avez des fourmis dans les jambes, seulement c'était dans tout mon corps."
"Je ne pouvais toujours pas distinguer de détails, mécaniques ou autres, sur la surface de l'objet. J'avais avancé encore d'une douzaine de pas ou plus, quand des milliers de vibrations comme des piqûres d'aiguilles ont irrité ma peau comme une décharge électrique de faible voltage, et je me suis écarté et ai commencé à tituber de nouveau vers la voiture."
"Mes jambes étaient engourdies et elles se sont effondrées sous moi plusieurs fois. J'ai chancelé jusqu'aux arbres encadrant la route et je me suis appuyé contre l'un d'eux pour attraper mon souffle."
"Alors, un cri perçant d'Edith m'a glacé le sang. Je me suis précipité vers la voiture et j'ai vu son visage blanc saillir hors de la fenêtre."
"Edith au nom du Ciel qu'y a-t-il?" ai-je crié."
"Ses lèvres bougeaient et ses yeux écarquillés regardaient fixement quelque chose au-delà de moi. Je me suis retourné, et quand je l'ai vu, je me suis fléchi contre la voiture. Le personnage se tenait immobile, sur le bord de la route environ 30 pieds vers ma droite. Cela avait bien huit ou neuf pieds de haut, et la forme générale d'un homme, avec une tête et des épaules et un corps gonflé. Il s'est brusquement silhouetté contre le faisceau lumineux du sphéroïde et je n'ai pas pu distinguer la moindre de ses caractéristiques."
"J'ai secoué la poignée de la porte de voiture, j'ai grimpé à l'intérieur j'ai claqué la porte. Il y avait quelques ustensiles de cuisine dans la boîte à gant et je me suis emparé d'un couteau et l'ai agrippé de ma main tremblante. J'ai glissé en bas du siège et me suis tapi sur le plancher, tirant Edith et le bébé près de moi. Le bébé pleurait toujours."
"Essaye de le calmer! Etouffe ses cris!" ai-je dit à mon épouse. Elle pleurnichait de pure terreur. Nous sommes restés blottis sur le plancher pendant plusieurs minutes. Mes poumons me faisaient mal. J'ai risqué ma tête vers le haut légèrement, et j'ai eu une vue de près de celui qui était là dehors. Penché en travers du pare-brise, une longue chose fourchue se terminait en deux molles extrémités. Cela semblait examiner la surface de la voiture. J'ai alors prié, comme jamais dans ma vie."
"Puis, quelques secondes après, sans entreprendre aucune démarche hostile ou agressive envers nous, la créature a reculé vers les bois. Il ne marchait pas et je ne pouvais pas distinguer quelque chose que l'on pourrait appeler des jambes. Le torse inférieur était une masse pleine d'un tenant qui a semblé glisser sur la surface inégale de la route."
"L'odeur était aussi écoeurante qu'avant; mais à la vérité j'en avais alors à peine conscience. J'étais trop effrayé. Le personnage a disparu parmi les arbres et j'ai attendu encore plusieurs minutes avant que je n'aie même osé respirer. Alors, j'ai tiré Edith et le bébé vers le haut du plancher."
"Mon épouse est devenue hystérique et j'ai mis le bébé dans la poussette de voiture et ai essayé de la calmer."
"Alors mes yeux ont saisi le spectacle du globe iridescent montant au-dessus des arbres et je l'ai observé, les yeux rivés sur lui en une terrible fascination. J'ai presque oublié Edith."
"Il s'est élevé lentement et a fait des arrêts intermittents, suspendu au milieu du ciel pour une fraction de seconde, et puis continuant à monter, à environ 3.000 pieds j'imagine, il a balancé d'avant en arrière comme pendule prenant son élan. Soudainement, il a bondi vers le haut en un arc elliptique et avec une traînée de lumière brillante, filant complètement hors de vue!"
"Je ne sais pas ce qui m'a fait essayer encore de remettre la voiture en marche, mais quand j'ai actionné le démarreur, il a fonctionné sans la moindre difficulté. J'ai dû affermir ma main sur le volant pendant que nous prenions la route. Edith et moi n'avons pas dit un mot jusqu'à ce que nous soyons venus à un restaurant de nuit sur cette route, avec plusieurs semi-remorques garés dehors. Nous nous sommes demandés comment le dire aux gens à l'intérieur, et s'ils nous croiraient seulement."
"Alors nous avons décidé de garder le silence sur tout cela. C'était quelque chose dont ni l'un ni l'autre ne pouvions parler alors. Nous n'avons pas voulu être considérés comme une autre paire de fous comme est considérée la majeure partie des gens qui avait précédemment rapporté avoir vu des soucoupes et de mystérieux objets flottants. Tout que nous voulions était d'arriver à la maison rapidement. Nous étions tous les deux terriblement secoués."
"Nous nous sommes arrêtés à un motel plus tard cette nuit, et le matin quand nous sommes montés dans la voiture, j'ai noté quelque chose d'étrange. Le long du capot, où la créature avait examiné la voiture, une décoloration sombre avait bruni la peinture, comme si le métal avait été légèrement brûlé. Le contour en était fourchu."
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[Ref. pl1:] PAUL LIEB:
Un homme nommé George Sitowski déclare à un certain moment entre 1952 et 1955 à l'ufologue Paul Lieb:
"A environ vingt heures le 13 septembre 1952, j'étais sur la route avec mon épouse et mon fils âgé de 18 mois, quand ma voiture a soudainement été complètement morte. Nous rentrions chez nous dans le Queens, New York, après une visite de trois semaines chez mon beau-frère à Cincinnati, Ohio. Selon la carte, nous étions dans le comté de Braxton, Virginie Occidentale, quelque part dans le secteur autour de Frametown et de Sutton. Puisque que c'était un long trajet et que nous n'étions nullement pressés, nous avions voyagé en-dehors des autoroutes, traversant certaines des petites villes. J'ai enfoncé le démarreur mais la batterie était morte. Je ne pouvais pas le comprendre; c'était une batterie relativement neuve et il n'y avait eu aucune indication qu'elle allait être vide." "Une faible odeur rendant malade, quelque chose comme un mélange d'éther et de soufre brûlé, traînait dans la voiture. Le bébé, dormant dans le berceau de la banquette arrière, a soudainement commencé à pleurer et tousser. Ma première pensée était que quelque chose brûlait dans la voiture et je suis sorti rapidement et ai soulevé le capot. Il n'y avait rien d'anormal que je puisse trouver et j'ai passé environ 10 ou 15 minutes épuisantes à essayer de faire démarrer la voiture. L'odeur a semblé devenir plus forte et je suis entré dans la voiture et ai fermé toutes les fenêtres. Le bébé ne voulait pas cesser de pleurer et mon épouse était nerveuse." "Probablement une usine de soufre brûlant des déchets," ai-je commenté, essayant de la rassurer. "Le vent doit le porter au loin." Il faisait assez sombre et je n'ai pas voulu laisser Edith et le bébé sur la route déserte et marcher vers la ville la plus proche, qui était Frametown, à environ 12 miles de distance. J'ai pensé que nous devrions nous détendre et attendre une autre voiture pour un coup de main ou patienter jusqu'au matin. C'est alors que l'éclair de lumière a inondé la voiture avec un faisceau instable, hésitant. Edith et moi avons regardé dehors et la lumière semblait venir des bois encadrant la route. Une chose étrange à son sujet était que bien que cette lumière ait été une lueur douce, violette, assez diffuse, elle aveuglait aux yeux; j'ai ouvert la fenêtre obscurcie par la poussière pour mieux voir, et la puanteur nous a submergée d'une vague nauséabonde. J'ai remonté la fenêtre rapidement. J'ai senti monter un flot de bile dans mon estomac, et Edith a commencé à s'étrangler. Je ne savais fichtrement pas ce qui se passait! Mais c'était pire pour le bébé: il s'étouffait et criait. Nous avons replié un des mouchoirs en soie fine d'Edith et l'avons attaché légèrement au-dessus du nez et de la bouche de l'enfant..." "Je suis rapidement descendu de la voiture et ai fermé la porte en la claquant. Edith m'a appelé, mais je lui ai fait signe de rester tranquille. Je devais découvrir ce qui se passait. Mais l'odeur m'a presque arrêté avant que j'ai fait 20 pas. Elle me soulevait l'estomac et je me suis adossé contre un arbre et ai vomis partout!" "Le bord de la route se laissait tomber en une vallée, et quand j'ai regardé vers le bas entre les arbres, j'ai pu discerner le contour d'un certain genre de sphéroïde luminescent. Il était comme un réverbère givré agrandi deux ou trois cent fois. Il n'était cependant pas solidement arrimé au sol. Au lieu de cela, il a semblé flotter sur une de ses extrémités, se déplaçant légèrement dans les deux sens..." "Je me suis toujours considéré comme une personne très pondérée, mais la première pensée qui m'est venue à l'esprit a été celle de toutes ces discussions et articles actuels concernant des soucoupes volantes et d'autres objets d'origine mystérieuse. Je n'avais jamais rien cru de cela et même pendant que je regardais la sphère, je me disais encore qu'il devait y avoir quelque explication logique. L'objet était à 200 ou 300 pieds de distance, derrière quelques arbres, et j'ai commencé à aller plus près, en luttant contrela nausée. A peu près à mi-chemin, une sensation de chaleur, de picotement, a frappé mon corps. C'était la même sensation que lorsque vous avez des fourmis dans les jambes, seulement c'était dans tout mon corps." "Je ne pouvais toujours pas distinguer de détails, mécaniques ou autres, sur la surface de l'objet. J'avais avancé encore d'une douzaine de pas ou plus, quand des milliers de vibrations comme des piqûres d'aiguilles ont irrité ma peau comme une décharge électrique de faible voltage, et je me suis écarté et ai commencé à tituber de nouveau vers la voiture." "Mes jambes étaient engourdies et elles se sont effondrées sous moi plusieurs fois. J'ai chancelé jusqu'aux arbres encadrant la route et je me suis appuyé contre l'un d'eux pour attraper mon souffle." "Alors, un cri perçant d'Edith m'a glacé le sang. Je me suis précipité vers la voiture et j'ai vu son visage blanc saillir hors de la fenêtre." "Edith au nom du Ciel qu'y a-t-il?" ai-je crié." "Ses lèvres bougeaient et ses yeux écarquillés regardaient fixement quelque chose au-delà de moi. Je me suis retourné, et quand je l'ai vu, je me suis fléchi contre la voiture. Le personnage se tenait immobile, sur le bord de la route environ 30 pieds vers ma droite. Cela avait bien huit ou neuf pieds de haut, et la forme générale d'un homme, avec une tête et des épaules et un corps gonflé. Il s'est brusquement silhouetté contre le faisceau lumineux du sphéroïde et je n'ai pas pu distinguer la moindre de ses caractéristiques." "J'ai secoué la poignée de la porte de voiture, j'ai grimpé à l'intérieur j'ai claqué la porte. Il y avait quelques ustensiles de cuisine dans la boîte à gant et je me suis emparé d'un couteau et l'ai agrippé de ma main tremblante. J'ai glissé en bas du siège et me suis tapi sur le plancher, tirant Edith et le bébé près de moi. Le bébé pleurait toujours." "Essaye de le calmer! Etouffe ses cris!" ai-je dit à mon épouse. Elle pleurnichait de pure terreur. Nous sommes restés blottis sur le plancher pendant plusieurs minutes. Mes poumons me faisaient mal. J'ai risqué ma tête vers le haut légèrement, et j'ai eu une vue de près de celui qui était là dehors. Penché en travers du pare-brise, une longue chose fourchue se terminait en deux molles extrémités. Cela semblait examiner la surface de la voiture. J'ai alors prié, comme jamais dans ma vie." "Puis, quelques secondes après, sans entreprendre aucune démarche hostile ou agressive envers nous, la créature a reculé vers les bois. Il ne marchait pas et je ne pouvais pas distinguer quelque chose que l'on pourrait appeler des jambes. Le torse inférieur était une masse pleine d'un tenant qui a semblé glisser sur la surface inégale de la route." "L'odeur était aussi écoeurante qu'avant; mais à la vérité j'en avais alors à peine conscience. J'étais trop effrayé. Le personnage a disparu parmi les arbres et j'ai attendu encore plusieurs minutes avant que je n'aie même osé respirer. Alors, j'ai tiré Edith et le bébé vers le haut du plancher." "Mon épouse est devenue hystérique et j'ai mis le bébé dans la poussette de voiture et ai essayé de la calmer." "Alors mes yeux ont saisi le spectacle du globe iridescent montant au-dessus des arbres et je l'ai observé, les yeux rivés sur lui en une terrible fascination. J'ai presque oublié Edith." "Il s'est élevé lentement et a fait des arrêts intermittents, suspendu au milieu du ciel pour une fraction de seconde, et puis continuant à monter, à environ 3.000 pieds j'imagine, il a balancé d'avant en arrière comme pendule prenant son élan. Soudainement, il a bondi vers le haut en un arc elliptique et avec une traînée de lumière brillante, filant complètement hors de vue!" "Je ne sais pas ce qui m'a fait essayer encore de remettre la voiture en marche, mais quand j'ai actionné le démarreur, il a fonctionné sans la moindre difficulté. J'ai dû affermir ma main sur le volant pendant que nous prenionsla route. Edith et moi n'avons pas dit un mot jusqu'à ce que nous soyons venus à un restaurant de nuit sur cette route, avec plusieurs semi-remorques garés dehors. Nous nous sommes demandés comment le dire aux gens à l'intérieur, et s'ils nous croiraient seulement." "Alors nous avons décidé de garder le silence sur tout cela. C'était quelque chose dont ni l'un ni l'autre ne pouvions parler alors. Nous n'avons pas voulu être considérés comme une autre paire de fous comme est considérée la majeure partie des gens qui avait précédemment rapporté avoir vu des soucoupes et de mystérieux objets flottants. Tout que nous voulions était d'arriver à la maison rapidement. Nous étions tous les deux terribelement secoués." "Nous nous sommes arrêtés à un motel plus tard cette nuit, et le matin quand nous sommes montés dans la voiture, j'ai noté quelque chose d'étrange. Le long du capot, où la créature avait examiné la voiture, une décoloration sombre avait bruni la peinture, comme si le métal avait été légèrement brûlé. Le contour en était fourchu." |
[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
Dans son catalogue des atterrissages d'OVNIS, Jacques Vallée indique que le 13 septembre 1952, à Frametown, Virginie Occidentale, M. et Mme George Snitowski et leur petite fille ont soudainement trouvé leur voiture calée, et une odeur désagréable d'éther mélangée à de la fumée sulfureuse a rempli l'air.
Mr. Snitowski a pensé qu'une usine chimique pourrait brûler dans le secteur et marché vers une forte lumière visible dans les bois, malgré l'odeur nauséabonde. Venez près d'elle, il a senti des picotements dans tout son corps, a dû s'arrêter, a perdu l'équilibre plusieurs fois pendant qu'il revenait à la voiture où il a trouvé son épouse terrifiée, montrant une créature géante, de 3 mètres de haut, de forme humaine, à 10 mètres de distance.
Ils ont fermé la voiture tandis que "ça" a inspecté le véhicule, a glissé au loin et est entrée dans les bois. Peu de temps après, la sphère de lumière a été observée s'élevant graduellement, pour se balancer comme un pendule, et laisser une traînée lumineuse.
Vallée indique que la source est Paul Lieb.
[Ref. jc1:] JEAN-FRANCIS CROLARD:
Cet auteur indique que le 13 septembre 1952 à Frametown, en Virginie, Monsieur et Madame Georges Snitowski ont remarqué une créature de 3.50 mètres [sic!] de haut avec des yeux brillants [sic] qui paraissait flotter et qui a inspecté leur véhicule.
[Ref. lc1:] LOREN COLEMAN:
Le cryptozoologiste Etats-Uniens Loren Coleman indique que Mark Hall a découvert dans Appalachian Ghost Stories and Other Tales par le professeur James Gay Jones que le 12 septembre, la même nuit que la rencontre de Flatwoods, deux témoins oculaires, George et Edith Snitowsky de New York, conduisaient sur la route entre Gassaway et Frametown, en Virginie Occidentale, juste au nord d'un endroit a bizarrement appelé Strange Creek [La Crique Etrange].
Leur voiture était équipée d'une toute nouvelle batterie mais elle a calé comme cela se produit quand un OVNI est dans les environs et perturbe son système électromagnétique. Alors une odeur nauséabonde a fait s'étouffer leur bébé, George est sorti de la voiture et a recherché ce qui a sentait tellement mauvais.
Il a regardé en bas de la pente de la route et a vu un grand globe se déplacer lentement dans les deux sens et planer au-dessus de la terre tout en dégageant une lumière violette douce. George s'est rapproché et a ressenti une "sensation des milliers de vibrations comme des aiguilles" sur sa peau, puis il est devenu malade et a chancelé jusqu'à la voiture.
Son épouse a crié et a hurlé que quelque chose était derrière lui et quand il a regardé il a vu "un personnage d'environ huit ou neuf pieds de haut avec une grande tête, un corps gonflé, et de longs bras maigres glissant rapidement" vers lui.
En sécurité à l'intérieur de la voiture, le couples l'a rapidement fermée à clef, et observé terrifiés deux longs bras avec des extrémités fourchues s'étendre à travers le pare-brise. Le couples s'est tapi, horrifié, et quand George a regardé vers le haut, il a vu le monstre glisser au loin. Ils ont attendu et attendu et ont finalement vu un globe incandescent se balancer dans les deux sens puis se soulever au-dessus des arbres et décoller dans le ciel en laissant une traînée de lumière.
Ils ont trouvé un motel à Sutton et ont essayé de dormir, et le lendemain matin ils ont été stupéfaits qu'un préposé de station service leur ait montré une tache brune brûlée en forme de V sur leur capot.
Loren Coleman note que John Keel, dans The Eighth Tower, mentionnant brièvement cette rencontre en la datant du 13 septembre, au lieu du 12, et orthographiant le nom Snitowski avec un "i" au lieu d'un "y." L'incident s'est réellement produit, aussi bien que celui de Flatwoods, et même les debunkers l'admettent, mais ce qu'étaient ces créatures reste un mystère.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Frametown, en Virginie Occidentale, le 13 septembre 1952, à 20:00, monsieur et Mme George Snitowski et leur petite fille ont soudainement trouvé leur voiture calée, et une odeur désagréable d'éther s'est mélangée avec de la fumée sulfureuse qui a rempli l'air.
Pensant qu'une usine chimique pourrait brûler, M. Snitowski est sorti de la voiture et a recherché ce qui sentait tellement mauvais. Regardant en bas de la pente de la route, il a vu un grand globe se déplacer lentement dans les deux sens, planer au-dessus de la terre, et dégager une lumière douce et violette. George s'est déplacé plus près et a senti la "sensation des milliers de vibrations comme des aiguilles" sur sa peau. Alors, il est devenu malade et a chancelé vers la voiture. Edith Snitowski a crié et a hurlé que quelque chose était derrière lui.
Il s'est retourné pour voir "un personnage d'environ huit ou neuf pieds de haut avec une grande tête, un corps gonflé, et de longs bras maigres, glissant rapidement" vers lui. Le couple, ne prenant pas de risques, s'est enfermé à l'intérieur de la voiture, l'a fermée à clef rapidement. Terrifiés, ils ont observé tandis que l'un de ces long bras maigre s'est étiré à travers leur pare-brise. L'extrémité était fourchue. Le couple s'est tapi, horrifié. Quand George a levé les yeux, il a vu le monstre glisser au loin. Attentant et attendant encore, ils ont finalement vu une sphère rougeoyante, se balançant dans les deux sens, monter au-dessus des arbres et décoller dans le ciel, laissant une traînée lumineuse. Un préposé de station service a trouvé une tache brune brûlée en forme de V sur le capot de la voiture.
Albert Rosales indique que les sources sont Paul Lieb, Jacques Vallée et Mark Hall.
[Ref. jb1:] JEROME BEAU:
Jérôme Beau indique que le 13 septembre 1952, à 20 heures à Frametown en Virginie Occidentale, M. et Mme George Snitowski et leur petite fille ont vu tout à coup leur voiture caler tandis qu'une odeur déplaisante comme de l'éther mélangé à une fumée sulfureuse emplissait l'air. M. Snitowski a pensé qu'il s'agissait de l'incendie d'une usine de produits chimiques du secteur, et a marché en direction d'une forte lumière visible dans les bois, malgré l'odeur nauséabonde. Arrivé à proximité de la lueur, il a ressenti des picotements sur tout le corps, a été obligé de s'arrêter, a perdu plusieurs fois son équilibre en revenant à sa voiture, où il a retrouvé sa femme terrifiée, désignant à 10 mètres une créature gigantesque de 3 mètres de haut, d'aspect humain. Ils ont verrouillé les portes de la voiture car la "chose" inspectait le véhicule, puis glissait à l'écart pour repartir dans le bois. Aussitôt après cela, ils ont observé la sphère de lumière s'élever graduellement, se balancer comme un pendule et s'éloigner en laissant une traînée lumineuse.
Jérome Beau indique que sa source est Paul Lieb.
Constatons d'abord sans s'y attarder que de nombreuses déformations ont été introduites à cette affaire. Elle se résume uniquement au contenu de la source première, l'article dans la magazine Male. Il n'y a rien d'autre du tout dans le dossier, et toutes les variations postérieures partent de cet unique document-là.
Nous voyons donc que certains auteurs reculent la date d'un jour. Par la suite de mes remarques, il pourrait en être déduit une raison peu innocente. Nous voyons qu'un "témoin" additionnel est ajouté sous forme de l'homme de la station service qui constate opportunément les marques de la main fourchue de l'entité sur la voiture, dont il n'a jamais été question dans la source primaire. La batterie relativement neuve devient une batterie totalement neuve. Ailleurs, on ajoute des yeux brillants. La taille de 2.40 mètres à 2.70 mètres passe à 3 mètres, et même à 3.50 mètres. L'odeur devient une odeur mélangée à de la fumée. Le fils devient une fille. Passons sur ces déformations pour aborder l'essentiel.
Compte tenu de la forme littéraire du récit, et de la nature du magazine dans lequel il est apparu, il devrait être réalisé qu'il ne s'agit la nullement d'un compte rendu classique de témoins avec enquête ufologique à la clé, mais bien plus probablement d'une pure fiction. Les marques stylistiques de ce que le récit donné à la première personne est rédigé par un auteur habitué à écrire des fictions sont nombreuses, la plus pittoresque étant la dernière phrase, véritable "chute" classique de toute histoire mystérieuse ou d'épouvante: "Le contour en était fourchu."
Male magazine, dans les années 50. Par réellement la source ufologique à croire. |
Un minimum de connaissance de la casuistique ufologique permet de se rendre compte que l'inspiration vient tout droit de l'affaire tres célebre dite du "Monstre de Flatwoods": l'odeur nauséabonde, les vomissements, les picotements, tout est à l'identique. La description du "bas" de l'entité, comme étant sans jambes distinctes, l'est également, ainsi que son glissement sur le sol, sa taille, ses mains fourchues. L'OVNI est également identique, puisque celui de Flatwoods, qui était une "vraie" soucoupe volante pour certains ufologues de la frange lunatique comme l'inénarrable Gray Barker ou Ivan Sanderson, ainsi que pour les magazines sensationnalistes, mais pratiquement à coup sûr un météore pour ceux qui y ont réfléchi comme le Major Keyhoe, avait une traînée, comme il se doit de tout météore bona fide, traînée qui est ici reprise dans le récit, marquant sa nature fictionelle. Cette nature de fiction est fort probablement sa vraie nature - ou alors, il faudra m'indiquer les raisons de penser autrement.
Le Monstre de Flatwoods. |
Même le lieu est parlant à cet égard: c'est également dans le comté de Braxton que se trouvent Flatwoods et Sutton, les villes les plus proches. En bien entendu, la date est bien proche également, l'affaire de Flatwoods survenant la veille. Il s'agissait probablement moins d'un manque d'imagination que de la tentative délibérée de donner du crédit à l'histoire en la liant à celle du Monstre de Flatwoods, et vice versa.
Le résumé de Jacques Vallée gomme évidemment par la re-écriture et la simplification le ton de fiction de l'article original, et il s'est gardé bien gardé de donner la source pertinente mais peu reluisante "Male Magazine", préférant donner juste le nom de l'auteur, un "Paul Lieb" d'allure moins suspecte. Puissent les ufologues cesser ce genre de pratiques de pure pseudo-science et comprendre que donner une source, ce n'est pas jeter juste un nom bien inutile mais aussi d'indiquer le titre, la nature, la date de parution, le numéro de parution, ou de page, de donner au lecteur les éléments qui lui permettront d'aller effectivement vérifier tant le contexte que le contenu véritable de l'original.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Ufologie | Grave | 19 juillet 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Sans crédibilité, aucune recherche. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Invention journalistique.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 19 juillet 2007 | Création, [pl1], [jv1], [jc1], [lc1], [ar1], [jb1]. |
1.0 | Patrick Gross | 19 juillet 2007 | Première publication. |