Un journal local rapporte trois mois après les faits allégués l'histoire d'un certain Carlo Rossi. L'histoire telle qu'elle est racontée dans les décennies suivantes dans diverses sources ufologiques est que ce paysan de 53 ans pêchait dans la rivière Serchio comme il le faisait souvent, le 25 juillet 1952, à 3 heures du matin à San Pietro a Vico, Lucca, Toscane, Italie.
Il a soudainement vu une lueur étrange qui se diffusait d'un point du fleuve. Il a été intrigué et s'est dirigé dans cette direction, et est arrivé au niveau du lieu où se répandait la luminosité, il a vu un objet noir en forme de disque, qui flottait à très basse altitude au-dessus de la rivière. Le disque avait un tour plat de deux mètres d'épaisseur et un diamètre de 20 ou 25 mètres. Sur le tout du disque, il y avait des ouvertures ovales. En son centre il y avait une tourelle, qui dépassait sur environ trois mètres par au-dessous du disque, et d'un demi-mètre au-dessus. Cette tourelle était transparente et grande comme une pièce d'habitation. A l'intérieur, il y avait une flamme bleuâtre qui venait de quelques mécanismes et qui se reflétait sur la surface du disque. Dans la partie inférieure du disque, il y vu cinq hélices qui en sortaient, disposées toutes autour, équidistantes l'une de l'autre. Sur la partie supérieure, il y avait trois hélices: l'une aussi grande que la circonférence du disque, deux autres étaient au-dessus, toujours plus petites. L'engin a sorti un tuyau qui est allé vers l'eau de la rivière comme pour en aspirer.
Un hublot s'est ouvert dans la tourelle supérieure et a montré un visage humain qui portait une sorte de casque de scaphandrier, et qui a commencé à regarder aux alentours, et à un certain moment, cet homme a tendu le bras et pointé son doigt vers Rossi. Celui-ci a pris peur, a fui et s'est jeté au sol. A ce moment il a vu un rayon vert tiré dans sa direction et a ressenti une secousse électrique dans tout le corps. En relevant la tête, il a vu que l'objet avait gagné de la hauteur, et partait dans le ciel à très grande vitesse en direction de Viareggio.
Des versions de l'histoire ajoutent que Rossi a décidé de ne parler à personne de ce qu'il avait vu, et il a donc été très surpris quand le 15 septembre 1952, alors qu'il gagnait son lieu de prédilection en fin de journée, un étranger qui semblait l'attendre l'a salué et lui a demandé s'il n'avait pas vu un avion, ou un autre engin volant au-dessus de la rivière. L'homme inconnu était vêtu de bleu sombre, avait un visage était très anguleux et un regard pénétrant, ce qui l'a fait décrire comme un "Men-In-Black" par certains auteurs. Il parlait en italien avec un fort accent de type scandinave. Rossi s'est senti menacé, lui a dit qu'il n'a rien vu, et l'homme lui a offert une cigarette bizarre qui portait une marque dorée sur le côté. Rossi en a tiré une bouffée et a aussitôt été pris de vertiges et de nausées. Quand Rossi a voulu garder la cigarette, l'homme l'a lui a arraché, l'a écrasée et l'a jetée dans la rivière, puis il est parti. Rossi craignait "qu'on cherche à le faire taire", et se serait donc rendu chez le procureur de Lucques où il aurait déposé sous serment son observation d'OVNI.
Une enquête sur cette histoire est évoquée, avec des doutes car l'un des enquêteurs aurait été le neveu de Rossi, lequel serait décédé dans les années soixante d'une manière étrange. Dès 1954, l'ufologue et auteur de science-fiction français publiait l'histoire parue dans le journal local en précisant qu'elle a tout d'un canular. Le cas apparaît dans des livres et magazines ufologiques par la suite mais il est difficile de savoir ce qui était dans le journal et ce qui a pu être ajouté par la suite. Des ufologues italiens, notent des contradictions dans le récit, précisent que le journaliste qui avait écrit l'article était connu pour son penchant pour les farces. Le dessin paru dans ce journal montre un engin techniquement risible.
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[Ref. ln1:] JOURNAL "LA NAZIONE":
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Ce dessin était paru dans le journal La Nazione du 26 septembre 1952. |
[Ref. jg1:] JIMMY GUIEU:
Jimmy Guieu indique que le 25 ou le 26 septembre 1952, deux mois après les fait allégués et ceci étant causé par le silence du témoin, la presse italienne a relaté l'aventure qui lui est arrivée. L'homme était un pêcheur nommé "Carlo" qui n'a pas voulu donner son nom de famille par peur du ridicule. Le premier journal à en parler était "La Nazione", racontant que dans la nuit du 24 au 25 juillet 1952, alors qu'il pêchait dans la rivière Serchio, Carlo a aperçu un disque dans le ciel et a raconté:
"D'autres personnes qui ont aperçu des soucoupes volantes déclarent les avoir vu évoluer à des vitesses terrifiantes et n'ont fait que les entrevoir; quant à moi, j'ai pu en observer une pendant 10 bonnes minutes. Elle se mouvait sans bruit au-dessus de la rivière, laissant pendre un tube qui plongeait dans l'eau. Le disque avait une vingtaine de mètres de diamètre. Son arrière portait cinq hélices et sur le dessus de l'appareil émergeaient trois rotors issus d'une sorte de coupole."
"Au cours de son évolution, un flux de couleur orange courait à partir de fentes pratiquées sur le rebord de la plate-forme principale de l'engin."
"J'étais paralysé de stupeur. Soudain, un hublot s'ouvrit et un homme apparut, le visage protégé par ce qui me rappelait le casque d'un scaphandrier. L'homme m'aperçut... Je me rejetai en arrière mais presque au même moment un rayon vert zébra la nuit et m'éblouit. Je fus secoué des pieds à la tête. Comme je parvenais à lever les yeux, le disque disparaissait vers l'Est à la vitesse de l'éclair."
"Six jours plus tard, je pêchais au même endroit lorsqu'un homme grand, mince, aux yeux gris, vint vers moi et m'aborda. Il parlait un italien marqué d'intonations étrangères; ce n'était pas l'accent américain mais un langage aux inflexions nordiques. Il me demanda si je n'avais jamais aperçu, près de la rivière, des avions ou même des "choses volantes"."
"Je répondis "non", peut-être trop vite car il demeura silencieux, m'observa et enfin m'offrit une cigarette, une longue cigarette, à bout doré. A peine avais-je aspiré deux bouffées que je crus mourir. Ma tête se mit à tourner, je retirai vivement la cigarette de ma bouche, l'éteignis et la glissai dans ma poche; mais l'homme s'en empara brutalement, la brisa et en jeta les débris dans la rivière; puis il s'éloigna, me laissant affalé sur la berge et presque mort..."
Le journal avait conclu "Se non e vero e bene travata!", [soit "si ce n'est pas vrai c'est bien trouvé"].
Jimmy Guieu note, ou cite, que ce témoin n'est pas un fantôme ou un simple nom imaginaire et que nombre de notabilités de San Pietro (à Vico) le considèrent comme un homme "d'esprit solide."
Jimmy Guieu commente alors le cas en notant que la propulsion à hélice exclut une origine extraterrestre, que les hélices sont incompatibles avec le déplacement silencieux rapporté, que toute l'histoire lui paraît "bien tiré par les cheveux!" avec peu de détails concordant avec des cas antérieurs et cet homme à l'accent nordique et sa cigarette "empoisonnée" qui sentent "le mélo... et la supercherie."
[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
Dans son catalogue des atterrissages d'OVNIS, Jacques Vallée indique que le 24 juillet 1952, à Vico en Italie, un homme qui pêchait la nuit dans le fleuve Serchio a vu un disque planer pendant 10 minutes. Un tuyau y était accroché, qui a plongé dans l'eau. L'objet était de 20 mètres de diamètre, avec cinq hélices à l'arrière et un dôme avec quelque chose comme des pales sur le dessus. Une lueur orange a pu être vue par des fentes le long de la plate-forme. Un homme portant un casque de plongée a regardé le témoin par une fenêtre, et il a reçu une sorte de décharge électrique pendant qu'un "rayon vert" le frappait. Il regardé vers le haut avec la difficulté, à temps pour voir l'objet voler loin vers l'est. Six jours plus tard, un étranger avec un accent étranger est entré en contact avec le témoin et l'a intimidé.
Vallée indique que sa source est "FSR 69,1."
[Ref. pd1:] PIERRE DELVAL:
Pierre Delval rapporte que la presse italienne s'est faite l'écho d'une étrange aventure survenue "au pêcheur Carlo M." le 24 juillet 1952. Delval indique que le témoin a raconté ce qui suit:
"Alors que je pêchais le long de la rivière Serchio, dans la nuit du 24 juillet, j'ai pu observer une soucoupe volante pendant dix bonnes minutes. Elle se déplaçait sans bruit au-dessus de la rivière, laissant pendre un tube qui plongeait dans l'eau. Le disque avait une vingtaine de mètres de diamètre. Sur le dessus de l'appareil émergeait une sorte de coupole. Au cours de son évolution, l'appareil semblait diffuser une lumière de couleur orange. J'étais paralysé de stupeur. Soudain, un hublot s'ouvrit, et un être d'apparence humaine apparut. Il portait une espèce de scaphandre. Je me rejetai en arrière, mais presque au même moment un rayon vert me frappa et m'éblouit totalement. Je fus secoué des pieds à la tête. Lorsque je pus rouvrir les yeux, je vis le disque disparaître à la vitesse de l'éclair."
[Ref. jr1:] JACQUES RIVOYRE:
L'auteur indique que Carlo Rossi est un modeste employé de l'administration des postes à San Pietro a Vico, près de Lucques [Lucca], en Toscane, dont les gens qui le connaissent disent que c'est un "homme mesuré, simple, et tout à fait incapable d'inventer des histoires étranges."
Dans la nuit du 24 au 25 avril 1952 à environ 3 heures du matin, Carlo Rossi longeait la rivière Serchio pour se rendre à l'emplacement où il avait installé son filet de pêche puisqu'il est depuis son enfance un passionné de pêche. Une lumière venant du talus qui borde la rivière est soudainement apparue devant lui, et intrigué, il a grimpé sur la levée de terre où il a vu un étrange engin de forme circulaire d'environ 25 mètres de diamètre environ immobile au-dessus du sol. Il l'a observé de loin et a constaté que l'engin était en train de s'approvisionner en eau au moyen d'un long tube plongeant dans la rivière. L'engin était entouré d'ouvertures ressemblant à des tuyères d'échappement. Il avait en son centre une espèce de tourelle dont les trois quarts étaient au-dessous du disque et un quart au-dessus. La partie supérieure de cette tourelle avait l'aspect d'un habitacle et avait un hublot, la partie inférieure était transparente et il y a vu un gros cylindre relié à des tubes minces, avec des éclairs de lumière vive de couleur variable qui passaient continuellement d'un tube à l'autre. L'engin avait cinq hélices disposées sur le pourtour de la partie inférieure, qui tournaient très vite mais sans bruit.
Au bout d'un moment, le hublot s'est ouvert et une "silhouette humaine" est apparue. La silhouette a semblé voir Rossi parce qu'elle l'a désigné d'un geste du bras à quelqu'un qui devait se trouver à l'intérieur de l'engin. Rossi a été paniqué et a tourné le dos à la menace pour fuir en courant, fuite au cours de laquelle il a vu passer au-dessus de sa tête un rayon vert. Il n'a pas été touché par ce rayon ni effleuré par le rayon mais a eu "le sentiment" de recevoir une secousse électrique. Il s'est jeté à terre et du coin de l'oeil, il a vu "la soucoupe s'élever et disparaître à une allure vertigineuse en direction de la mer."
Rossi n'a rien dit de cela par crainte de "passer pour un illuminé ", mais il a changé d'avis après que le 15 septembre 1952 au milieu de l'après-midi, alors qu'il était en train de pêcher au même endroit, un autre "pêcheur" s'est approché de lui. C'était un homme qui de toute évidence n'était pas de la région. Rivoyre cite Rossi comme disant qu'il "tenait dans sa main une curieuse canne très courte et portait une combinaison bleue lui donnant l'aspect d'un militaire". Rossi discute avec cet inconnu qui lui demande s'il a déjà vu des avions ou d'autres objets volants au-dessus de la rivière. Rossi s'est senti bizarrement en danger et a répondu qu'il n'a jamais rien vu. L'inconnu lui a alors offert une cigarette de marque inconnue. Rossi sent sa tête lui tourner aussitôt qu'il l'a allumée, et l'éteint d'un geste instinctif en faisant semblant de la glisser dans son gousset. Mais l'inconnu lui a attrapé le poignet, arraché la cigarette, et l'a jetée dans la rivière. Sans ajouter un mot, l'inconnu s'éloigne rapidement et disparaît derrière les arbres.
Rossi a raconté ceci à la gendarmerie de Lucca le 26 septembre 1952. Il a affirmé qu'il n'a pas "inventé un seul détail" et que son récit est "purement et simplement la vérité". Il a été longuement interviewé pendant plusieurs semaines par la radio et la presse italienne et étrangère, et a toujours maintenu son histoire.
L'ufologue italien Eugenio Almerio a également soutenu que le récit est véridique et était "une nouvelle tentative des habitants d'Alpha du Centaure" pour entrer en communication avec les humains en choisissant un modeste employé des postes qui était "homme simple" pour transmettre leur message. Eugenio Almerio ajoute: "Alpha du Centaure nous enverra bientôt de nouveaux messagers en 1985."
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les auteurs indiquent que de nombreux cas mondiaux montrent des êtres qui ont été vus en train de puiser de l'eau dans une rivière ou un lac, dont le cas qui suit provenant du catalogue Vallée.
Les auteurs indiquent que le 24 juillet 1952, à Vico en Italie, un homme qui pêchait dans la rivière Serchio a vu un disque stationner en l'air pendant dix minutes. Il en pendait un tuyau plongeant dans l'eau. Un homme portant un casque de plongée regardait à travers un hublot. Le témoin a été paralysé par un "rayon vert" qui a provoqué une sorte de choc électrique.
[Ref. ci1:] DOSSIER 5202 DU CISU:
Dans son dossier 5202, le CISU décrit ainsi le cas du 25 juillet 1952, à 03:00, à Lucca, San Pietro à Vico: un agriculteur de 53 ans, Carlo Rossi, était allé pêcher sur le fleuve Serchio. Tout à coup, il a vu une étrange lueur qui se diffusait d'un point du fleuve. Intrigué, il s'est dirigé dans cette direction, en se tenant derrière les hautes broussailles. Il a grimpé sur les berges quand il est arrivé au niveau du lieu où se répandait la luminosité. Au-delà des berges, il a vit un objet noir, en forme de disque, qui flottait à très basse altitude au-dessus du fleuve. Sur le tour du disque, épais d'environ de deux mètres, il y avait des ouvertures ovales. En son centre il y avait une tourelle, qui dépassait sur environ trois mètres au-dessous du disque, et dépassait d'un demi mètre au-dessus. La tourelle était transparente et "grande comme une pièce" (chambre). A l'intérieur, le témoin a remarqué une flamme bleuâtre que qui venait de quelques mécanismes. La lueur produite se réfléchissait sur la superficie du disque en la rendant ainsi lumineuse. Dans la partie inférieure du disque, il y vu cinq "hélices" qui sortaient pour moitié du disque noir, disposées tout autour, équidistantes l'une de l'autre. Sur la partie supérieure par contre, il y avait trois hélices: l'une aussi grande que "toute la circonférence du disque, deux autres étaient au-dessus, toujours plus petites." Tout à coup, un hublot s'est ouvert dans la tourelle supérieure et a montré un visage humain qui a commencé à regarder aux alentours. A un certain moment, il a tenu un bras et montré le témoin du doigt. Celui-ci a pris peur, et a fui en se jetant le long des berges. Dès qu'il est arrivé sur le sol, il a vu sur les berges un rayon vert tiré dans sa direction. Il a ressenti une secousse dans tout le corps. En relevant la tête, il a remarqué que l'objet (dont précédemment sortait un long tube qui finissait dans l'eau du fleuve) avait gagné de la hauteur, et disparaissait dans le ciel à très grande vitesse. Il s'est rappelé que la figure humaine à l'intérieur de la tourelle portait une sorte de casque de scaphandrier.
L'unique source réellement disponible est un petit article d'un quotidien local apparu à l'époque. Une enquête effectuée de très nombreuses années après l'évènement a permis seulement de recueillir les déclarations des membres de la famille et de certaines connaissances du témoin, mort dans les années soixante. Il semble sans que ce soit clair que l'un des enquêteurs ait été en fait le neveu du témoin. qui peut-être a commencé à s'intéresser à l'ufologie à cause de cet évènement, en fournissant successivement une nouvelle version des faits, version qui contrastait sur beaucoup de points avec l'originale. Le compte rendu journalistique de l'époque apparaît bien trop détaillé, aussi on ne peut exclure un éventuel "embellissement" par le rédacteur de l'article par rapport au récit original du témoin ou, comme quelqu'un affirme, que cela ait été une pure plaisanterie, car le journaliste était connu pour être un peu "farceur". En prenant aussi bien que possible en considération la description de l'objet aperçu, on pourrait se hasarder à évoquer un hélicoptère, ceux-ci étant alors très peu opérationnels en Italie. Le ou les auteurs trouvent certaines contradictions dans le compte rendu original, dont celle de "l'être" à l'intérieur de la tourelle transparente pourtant vu seulement dans un second temps, quand il s'est montré à un hublot.
Le CISU donne comme sources: "La Nazione 26/9/52; GdM 1, 8, 26 + 3, 30, 15-17; UFO in Italia I, 137; OSSOLA III, 736-737; DELVAL I, 128; GIANFRANCESCHI I, 216-217; INTCAT 244 + M35 + FSR 15, 1 & 21, 5 + GUIEU I, 79 + UFO INFO 15, 62, 32 (INTCAT) + UFO ASPEKT 8, 6/8"
[Ref. mk1:] MARTIN KOTTMEYER:
Martin Kottmeyer indique que le 26 septembre 1952, Carlo Rossi, en Italie, a eu une rencontre rapprochée du troisième type. Il y avait eu un dessin dans la presse qui montre un homme portant un casque d'aviateur avec des lunettes d'aviateur dessus, regardant par un trou circulaire sur une bosse placée sur un disque volant. Une fenêtre de verre ronde reste ouverte près de l'ouverture. La forme de l'engin est fondamentalement plate comme un palet de hockey, et il y a "un arbre de Noël de pales d'hélicoptère" au-dessus de lui, avec une pale inférieure à peu près du même diamètre que le disque, la suivante au-dessus environ un tiers plus petite et la troisième au-dessus plus petite dans la même proportion. Il y a un compartiment comme une cage au-dessous et un système d'hélices à trois pales qui sont parallèles au plan du disque. Kottmeyer explique que cet engin volant, avec ses pales supérieures tout plus petites que le disque, ne pourrait pas voler car le flux d'air serait dirigé vers le bas sur le dessus du disque et coulerait alors horizontalement vers l'extérieur. Kottmeyer indique que sa source est "Boncompagni, Conti, Lamperi, Ricci, Sani. UFO in Italia, Corrado Tedeschi Editore pp 138-43."
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique qu'à San Pietro a Vico, Italie, le 25 juillet 1952, à 03:00 heure du matin, allant au fleuve Serchio avant l'aube pour pêcher, Carlo Rossi a vu un objet circulaire planer au-dessus de ce fleuve, prélevant apparemment de l'eau par un long tube. L'objet était noir, avec des ouvertures ovales autour du bord, et une tour transparente de 6 mètres de diamètre et se prolongeant de 3 mètres au-dessous du disque à son centre. Sur la tour se trouvaient quatre tubes minces fixés à un cylindre central, et une flamme bleuâtre passait entre ces tubes. Sous le disque, il y avait cinq hélices équidistantes, et sur le dessus, trois cônes concentriques. Le seul bruit était "comme le bruissement de la soie." D'un hublot dans la tourelle, un visage humain regardait dehors, et a sorti un brase en direction de Rossi, qui s'est jeté au-dessus de l'arête de la rive. Il a vu un rayon vert projeté au-dessus de lui, et a senti comme un choc électrique, puis il a vu l'OVNI partir "à une vitesse épouvantable."
Deux mois plus tard, Rossi a rencontré là un homme très mince et grand avec un accent bizarre, qui lui a demandé s'il avait jamais vu n'importe quelle sorte d'engin volant ou avion au-dessus du fleuve, et lui a donné une cigarette bizarre qui l'a immédiatement fait se sentir faible. L'étranger a repris la cigarette, l'a jeté dans le fleuve, et s'est pressé de partir.
Albert Rosales indique que sa source est Siro Menicucci, pour le groupe de recherche pour l'étude des phénomènes d'OVNIS, de Prato, Italie.
[Ref. in1:] TROUVE SUR L'INTERNET:
Sur l'Internet, plusieurs sites publient un même texte sans sources qui indique que Carlo Rossi avait l'habitude de pêcher la nuit dans son coin favori, sur la rivière Serchio près de San Pietro a Vico. Il avait perdu un bras dans un accident, avait la cinquantaine, et prenait énormément de plaisir à la pêche qui était son loisir favori. En fin de juillet à 3 heures du matin, un reflet de lumière sur l'eau a attiré son attention, il a levé les yeux et a vu un objet bizarre ressemblant à une bobine aplatie, avec des rotors sur le dessus et qui planait un peu au-dessus de la rivière en lançant des éclairs oranges et bleus. Un tube est alors sorti de l'engin et a plongé dans la rivière comme pour y pomper de l'eau. Rossi observait bouche bée, quand un personnage d'apparence humaine a émergé par une ouverture au sommet de l'engin, l'a dévisagé pendant un instant, a pointé un doigt vers lui comme s'il voulait le montrer à une autre personne que Rossi ne pourrait pas voir et qui serait à l'intérieur de l'objet. Rossi n'était pas rassuré et s'est sauvé, mais un rayon de lumière verte est passé au-dessus de sa tête, tandis qu'il ressentait comme une secousse électrique dans tout le corps. Il s'est jeté au sol et a pu voir l'objet s'élever et disparaître en direction de Viareggio. Rossi a décidé de ne parler à personne de ce qu'il avait vu, et il a donc été très surpris quand le 15 septembre 1952, alors qu'il gagnait "son lieu de prédilection" en fin de journée, un étranger qui semblait l'attendre, qui l'a salué et lui a demandé s'il n'avait pas vu "un avion, ou un autre engin volant au-dessus de la rivière." Cet homme inconnu, qui était vêtu de bleu sombre, avait un visage était très anguleux et un regard pénétrant, "caractéristiques communes à la plupart des cas de Men-In-Black". Il parlait en italien mais avec un fort accent semblant scandinave. Rossi s'est senti menacé, a dit qu'il n'a rien vu, et l'homme lui a offert une cigarette comme Rossi n'en avait jamais vue, qui portait une marque dorée sur le côté. Rossi en a tiré une bouffée et a aussitôt été pris de vertiges et de nausées. L'étranger lui a alors arraché la cigarette, l'a écrasée et jetée dans la rivière, puis il est parti. Rossi craignait "qu'on cherche à le faire taire", et s'est donc rendu chez le procureur de Lucca ou il a déposé sous serment son observation d'OVNI.
[Ref. lg1:] LUIS R. GONZALES MANSO:
Luis R. Gonzalez Manso note dans son catalogue FirstHumCat que le 24 juillet 1952 à Vico, Italie, la nuit, Carlo Rossi pêchait dans le fleuve Serchio et a vu un disque planer pendant 10 minutes. Du disqueétait accroché un tuyau qui plongait dans l'eau. L'objet était de 20 m de diamètre, avec cinq propulseurs à l'arrière et à un dôme avec quelque chose comme trois lames supplémentaires sur le dessus. Une lueur orange a pu être vue par des fentes le long de la plate-forme. Un homme portant un casque de plongée a regardé le témoin par une fenêtre, et il a reçu un genre de décharge électrique quand un "rayon vert" l'a frappé. Il a levé les yeux avec difficulté, à temps pour voir l'objet voler au loin vers l'est. Six jours plus tard un étranger avec un accent étranger est entré en contact avec le témoin et l'a intimidé.
Luis Gonzales indique que ses sources sont Giuseppe Stilo, Ultimatum alla Terra, pp. 289-297, 2002, et La Nazione (Toscane) du 26 septembre 1952, et le catalogue MAGONIA, cas N.95.
La documentation disponible sur cette affaire est maigre et vague à l'extrême, il n'est même pas possible de dater d'éventuels embellissements ou d'en déterminer l'origine. Le tout offre l'impression d'une pure fantasmagorie.
| Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Données | Grave | 12 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Absence de sources primaires, comme l'article du journal La Nazione. | Aide nécessaire | Ouvert. |
| 2 | Ufologie | Grave | 12 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Bien que le cas soit largement discuté, aucun rapport d'enquête ne semble disponible. | Aide nécessaire | Ouvert. |
Farce par le témoin, ou farce par le journaliste, ou combinaison des deux, avec insuffisance de rapports fiables permettant d'en conclure quoi que ce soit de fiable.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
| Auteur principal: | Patrick Gross |
|---|---|
| Contributeurs: | Aucun |
| Reviewers: | Aucun |
| Editeur: | Patrick Gross |
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
|---|---|---|---|
| 0.1 | Patrick Gross | 12 septembre 2006 | Création, [ln1], [jg1], [pd1], [ci1], [mk1], [ar1], [in1]. |
| 0.2 | Patrick Gross | 12 septembre 2006 | Première publication. |
| 0.2b | Patrick Gross | 6 octobre 2006 | Addition, [jr1]. |
| 0.2b | Patrick Gross | 22 janvier 2007 | Addition, [jv1]. |
| 1.0 | Patrick Gross | 24 juillet 2007 | Conversion de HTML4 vers XHTML Strict. Addition, [fr1]. |
