Des sources ufologiques indique que les enquêteurs Anne-Marie Maissa, Philippe Maissa, Thierry Leplat et Eric Zurcher, du groupe d'ufologie CRUN, ont recueilli en 1977 le témoignage d'une dame concernant une observation de très haute étrangeté survenue 26 ans auparavant, en été de 1951 à Beausoleil, Alpes-Maritimes, France.
La femme, dont les enquêteurs conservent l'identité, avait alors 40 ans et était sans occupation professionnelle. Avec elle auraient été deux autres témoins, un homme ou son mari, électricien de 49 ans, et un ami policier de 50 ans. Ces deux hommes n'étaient plus en vie lorsque ces enquêteurs ont recueilli le témoignage de la dame.
Celle-ci a rapporté qu'il était 21 heures, qu'il fait beau et chaud avec un temps clair, et que la nuit n'était pas encore tombée, quand ces trois amis marchaient vers une petite place publique de 21, rue des Martyrs, espérant trouver des sièges libres pour assister à une représentation en plein air sur tréteaux du drame romantique de Victor Hugo "Lucrèce Borgia" par une troupe de théâtre ambulant.
Ils sont alors confrontés à un spectacle effarant: à 60 mètres d'eux, un petit objet ovoïde entièrement transparent flotte au niveau de la place à 7 ou 8 mètres au-dessus du sol, derrière le théâtre, où le spectacle a commencé et où les spectateurs qui lui tournent le dos, absorbés par la pièce, ne semblent pas l'avoir remarqué. L'engin est totalement immobile et légèrement incliné dans la direction des témoins.
Les trois témoins intrigués pensent d'abord que quelqu'un a organisé là quelque spectacle particulier, et marchent normalement vers l'engin, dans lequel ils distinguent alors un pilote assis, de profil, de taille normale, assis sur un siège à l'avant de l'engin.
Ce "pilote" est vêtu d'une combinaison claire, il a un aspect maigre et âgé, de couleur de peau normale, portant apparemment une longue barbe probablement blanche, ne portant rien sur la tête, ayant une physionomie qui paraît autrement normale à la dame, qui se souvient seulement qu'il n'avait aucune autre caractéristique surprenante que cette barbe.
Le personnage semblait absorbé par la pièce de théâtre, et s'est se penché légèrement en avant comme pour mieux voir, ce qui a permis à Mme X de distinguer un second personnage dans l'engin, que les deux autres témoins ne sont pas arrivés à distinguer. Mme X ne se souvient pas avoir vu de mécanismes dans l'engin, dont aucune caractéristique autre que sa forme ovoïde et sa transparence n'est décrite, si ce n'est que Mr. X aurait estimé que l'intérieur en était plus clair que l'extérieur. Mme X se souvient aussi que Mr. X avait entendu des voix "comme du Russe", mais elle-même ne s'en souvient plus.
Par leur marche, les trois témoins sont arrivés à 7 ou 8 mètres de l'engin. Ils ont rapidement échangé leurs impressions, et ont commencé à interpeller les spectateurs de la pièce pour qu'ils constatent ce qu'il y a là.
Mais l'objet est alors parti tout de suite, avec un léger sifflement, passant en une seconde seulement hors de vue derrière les toits d'un immeuble vers le Nord-Nord-Est.
Le public a été en colère d'avoir été dérangé et s'en serait pris aux trois perturbateurs, les insultant et les traitant de "fous furieux". Les témoins n'ont pas été crus et Mme X n'en parlera plus en dehors de sa famille dans les 26 années suivantes.
L'observation entière avait duré entre 20-25 ou 30 secondes, et une source ufologique mentionne qu'une enquête officielle aurait été mené, mais sans préciser quand ou par qui.
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[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les auteurs indiquent qu'en été 1951, en France, à Beausoleil, à 21 heures, il fait beau et chaud et le temps est clair, la nuit n'est pas encore tombée. Mme X, son mari et un ami policier se rendent à la placette qui se trouve rue des Martyrs pour assister à une représentation de Lucrèce Borgia par un théâtre ambulant.
En "tournant dans ladite rue", ils voient à 60 mètres de distance, un petit objet ovoïde entièrement transparent, de 4 à 5 mètres de long sur 2 mètres de haut, qui est à 8 mètres du sol, au niveau de la place et derrière le théâtre, où le spectacle a commencé et où personne ne le remarque, tout le monde tournant le dos à l'engin.
Les trois témoins sont intrigués et marchent normalement vers l'engin, ils y distinguent un pilote, de taille normale, assis sur un siège à l'avant de l'engin.
Il porte une combinaison claire et paraît maigre et âgé, les témoins étant stupéfaits de voir qu'il a une longue barbe blanche. La couleur de sa peau est normale, il ne porte rien sur la tête. Mme X ne se souvient plus de détails comme le nez, la bouche, les yeux, les cheveux, mais se souvient que seule la barbe était surprenante.
Cet être semble absorbé par la pièce de théâtre, et quand il se penche légèrement en avant comme pour mieux voir, Mme X aperçoit un second personnage dans l'engin, que les deux autres témoins n'arrivent pas à distinguer. Mme X ne se souvient pas avoir vu de mécanismes dans l'engin, ce qui peut être dû à un défaut de mémoire.
Les trois témoins sont arrivés à 7 ou 8 mètres de l'engin et commencent à appeler les gens pour qu'ils constatent cette incroyable vision, mais l'objet part tout de suite avec un léger sifflement et disparaît en une seconde derrière les toits d'une maison vers le Nord-Nord-Est.
Les témoins ne pourront convaincre personne de leur observation et passeront pour des "fous", Mme X n'en parlera plus en dehors de sa famille dans les 26 années suivantes.
Les auteurs notent que le vrai nom de Mme X est connu des enquêteurs du C.R.U.N., que son âge est 40 ans, son mari, 49 ans, décédé, était électricien, et l'ami policier, 50 ans, est décédé.
Ils précisent que lorsque les témoins avançaient ver l'objet, Mr. X avait entendu des voix "comme du Russe", dont Mme X ne se souvient plus. Mr. X a également noté que l'engin lui paraissait "plus clair à l'intérieur."
Les auteurs indiquent que ceci est paru dans le bulletin de l'A.D.E.P.S - C.R.U.N numéro 19, pp 15-19, sous forme d'une enquête d'Anne-Marie et Phillippe Maissa, Thierry Leplat et Eric Zurcher.
[Ref. fj1:] MICHEL FIGUET ET HENRI JULIEN:
Les auteurs indique qu'un jour de l'été 1951, à 21 heures, sur une place publique de Beausoleil dans les Alpes-Maritimes, une troupe ambulante donne une représentation théâtrale du drame romantique "Lucrèce Borgia" de Victor Hugo.
Mme X, âgée de 40 ans et sans profession, Mr Y, âgé de 49 ans, électricien, et Mr Z, 50 ans, policier se dirigent vers les tréteaux de la scène de plein air, comptant trouver des places assises, et ils se trouvent alors devant le numéro 21 de la rue des Martyrs, lieu où est jouée la pièce, et où ils sont confrontés à un spectacle effarant.
Au-dessus de la place, les trois amis aperçoivent à environ 60 mètres un objet ovoïde transparent qui est légèrement incliné dans leur direction, immobile à 7 mètres au-dessus du sol. Les spectateurs de la pièce tournent le dos à cet engin et personne ne semble l'avoir remarqué. La pièce est commencée et les acteurs retiennent l'attention du public en déclamant leurs répliques.
Les témoins intrigués pensent à quelque animation particulière et avancent tranquillement en direction du curieux objet, et peuvent observer, de profil, un "pilote" vêtu d'une combinaison claire, qui a un aspect maigre et âgé et porte une "barbe" probablement blanche, ne portant rien sur la tête, ayant une physionomie qui paraît normale.
Le personnage est penché en avant, et on jurerait qu'il est fort intéressé par le spectacle.
Un deuxième personnage nettement moins visible est à ses côtés.
A cet instant de l'observation, Mme X était à moins de 15 mètres de l'objet et en a estimé la longueur comme comprise entre 4 et 5 mètres, sans qu'aucune description précise de l'intérieur de l'engin n'ait pu être donnée par les trois témoins stupéfaits.
Les témoins se sont communiqué de rapides impressions puis ont interpellé les spectateurs pour attirer leur attention sur l'incroyable vision, et alors, l'objet a démarré rapidement en émettant un léger sifflement et a disparu derrière un immeuble dans la direction Nord-Nord-Est.
Le public a été en colère d'avoir été dérangé et s'en est pris aux trois perturbateurs, les insultant et les traitant de "fous furieux".
L'observation avait duré trente secondes, et les témoins ont affirmé aux enquêteurs officiels que ce qu'ils avaient vu n'évoquait aucun souvenir de lecture, de contexte social ou de technique de l'actualité parvenus à leur connaissance, une telle vision était totalement nouvelle pour eux.
Les auteurs font remarquer que les trois témoins étaient des personnes sérieuses et d'âge mûr peu aptes à monter un tel canular, que le cas est d'un très haut niveau d'étrangeté et pose naturellement des questions restées sans réponse, ce genre d'occupants d'OVNIS ayant été aperçus à plusieurs reprises entre 1950 et 1962 en d'autres pays.
Ils concluent sur une semi-boutade suggérant que le barbu dans l'engin était peut-être Victor Hugo [1802-1885], l'auteur de la pièce jouée ce soir là, lequel pratiquait "avec quelque succès semble-t-il", le contact avec "les esprits".
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Beausoleil, Alpes-Maritimes, France, été 1951, à 21:00, il faisait encore jour, Mme X, 40 ans, son mari, 49 and, et un ami agent de police, 50 ans, descendaient la rue des Martyrs vers une petite place où une compagnie théâtrale jouait une pièce à l'air libre, quand ils ont remarqué un objet transparent ovoïde de 15 pieds de long, qui planait à une altitude de 25 pieds au-dessus de la place.
L'assistance de la pièce lui tournait le dos. Les témoins ont marché jusqu'à moins de 25 pieds de l'OVNI.
Ils ont pu voir deux personnages assis à l'avant de l'oeuf, l'un caché par l'autre. Celui plus près d'eux était maigre et d'aspect âgé, avec une longue barbe blanche; il portait une tenue claire sans couvre-chef, et se penchait en avant comme pour observer la pièce. L'objet était incliné vers les observateurs. Quand les témoins ont fait des appels à l'assistance pour qu'ils regardent l'objet, il a immédiatement décollé, passant derrière des toits en 1 seconde.
Ils l'ont observé pendant 20-25 secondes.
Albert Rosales indique que la source est Humcat 1951-3, et Anne Marie et Phillippe Maissa, Thierry Leplat et Eric Zurcher.
A gauche: Beausoleil, code postal 06240, est une commune des Alpes-Maritimes dans le sud-est de la France juste à côté de la principauté de Monaco, les coordonnées géographiques sont 07° 25' 28" en longitude et 43° 44' 33" en latitude. En 1968, la population était de 14.000. Il s'y trouve bien une "rue des Martyrs de la Résistance" avec au niveau du N. 21 un petit square où aurait pu avoir lieu le spectacle de théâtre. |
Il est noté dans les résumés que l'assistance de la pièce de théâtre n'avait rien vu, et ceci est expliqué par le fait qu'ils tournaient le dos à l'objet. Cependant, la troupe de théâtre devait alors bien lui faire face et n'a rien vu. Le témoin décrit que l'occupant de l'objet, penché en avant, observait la pièce; dans ce cas, et au vu de la proximité de l'engin, il aurait du être vu par les acteurs.
Le rapport d'enquête original comporte peut-être des renseignements ou avis n'apparaissant pas dans les résumés, et il pourrait éventuellement être retrouvé une date de représentation en plein air de"Lucrèce Borgia" dans les bulletins municipaux ou archives de la localité.
Figuet et Julien évoquent explicitement une enquête officielle, sans que l'on sache d'où provient leur information ou quand cette enquête aurait été réalisée. Malheureusement, il n'y a pas en France pour le moment d'archives publiques complètes de telles enquêtes disponibles, alors qu'il serait de la plus haute importance de pouvoir accéder à une telle information, si elle existe.
Le témoin, unique puisque les deux autres personnes sont indiquées être décédées au moment de l'enquête, était semble-t-il âgée de 40 ans au moment de l'observation alléguée en 1951. Interrogée 26 ans plus tard apparemment, soit en 1977, elle était donc âgée à ce moment de 66 ans, et la précision de sa mémoire est un point important sur lequel plus d'informations auraient été utiles.
Aucun aéronef terrestre ni français ni russe ni de quel pays que ce soit ne peut expliquer l'observation, un hélicoptère aurait nécessairement fait un bruit considérable qui aurait été évidemment perçu par les acteurs de la pièce et l'assistance, sans même compter le danger d'un vol stationnaire décrit comme étant à 8 mètres du sol en pleine ville. De même, les témoins étant rapportés comme ayant été jusqu'à aussi près que 8 mètres de cet objet n'auraient pas pu manquer d'être assourdis, et le souffle d'un rotor ou de tout autre moyen de propulsion terrestres aurait été évidemment perçu. Il demeure cependant, au vu de l'absence d'évidences et de corroborations, la possibilité que le témoin ait inventé toute l'histoire. Un avis des enquêteurs à ce sujet fait défaut dans les résumés.
A gauche: Figuet et Julien donnent une illustration, non sourcé, représentant l'objet et ses occupants, que je restitue par mon schéma à gauche, avec une cote indiquant une longueur de environ 4/5 mètres pour cet objet. |
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 13 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Rapport d'enquête du CRUN non disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 13 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Un seul témoin, les deux autres personnes étant décédées au moment de l'enquête. | - | - |
2 | Ufologie | Grave | 13 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Les acteurs de la pièce faisant face à l'objet auraient du le voir. | - | - |
Totalement inexpliqué. Possible canular.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 13 août 2007 | Création, [fr1], [fj1], [ar1]. |
1.0 | Patrick Gross | 13 août 2007 | Première publication. |