Le formidable canular des "légumes géants" de la vallée des Luminarias, dans le secteur de Guanajuato, au Mexique, commence en avril 1976 lorsque Bill Robinson, agent de relation publisques de la police de San Diago, Californie, visite la région en touriste et renocntre à la terrasse d'un café Oscar Arredondo, photographe bien connu dans le village, qui lui raqconte une histoire incroyable.
Arredondo raconte à Robinson qu'un cultivateur du coin, José Carmen Garcia, a une méthodse secrète pour cultiver des légumes géants. Depuis 32 ans, les gens du coin se demandent comment il réussit cela, avec les même semences que les autres fermiers qui n'obtiennent que des légumes normaux. Pour prouver ses dires, Arredondo emmène Robinson voir ces légumes géants lui présente José Carmen Garcia. Bill Robinson racontera en novembre 1979 dans le magazine de botannique et jardinage San Diego Home and Garden:
"J'ai moi-même posé ces questions [ce qu'est sa méthode] à Garcia lorsque je l'ai rencontré pour la première fois en avril 1976. J'ai également vu ses légumes géants et les ai goûtés - et j'ai été très impressionné par leur saveur et leur tendresse. Ce que Garcia m'a dit, il l'a dit à d'autres personnes. L'histoire a par la suite été publiée dans des journaux et des magazines mexicains."
"Garcia m'a dit qu'en 1947, à l'âge de dix-sept ans, il labourait un après-midi d'automne lorsqu'il a rencontré un étranger, même si tout le monde connaissait littéralement tout le monde dans la communauté agricole de Garcia. Cependant, José a invité l'intrus à manger et à boire."
"Réchauffé par les pains de veau et le café faits maison, l'inconnu dévoila bientôt une histoire qui éveilla l'imagination juvénile de Garcia et qui allait avoir un impact majeur sur sa vie."
"José était émerveillé quand son invité mystérieux racontait comment il avait été capturé par un groupe d'êtres étranges et retenu pendant plusieurs jours dans un long et spacieux tunnel sous l'un des nombreux volcans inactifs entourant la région."
"Ses ravisseurs étaient décrits comme des humanoïdes - de grande taille et à la peau claire, qui parlaient avec des sons étranges et inintelligibles. La plupart semblaient occupés à récolter des légumes géants. Pendant qu'ils travaillaient, ils semblaient étudier une formule étrange consistant en des symboles heiroglyphiques."
"L'invité du jeune Garcia a déclaré qu'il avait mémorisé cette formule mystérieuse et qu'il la partagerait avec José, reconnaissant de la qualité de son hospitalité. Travaillant rapidement, il dessina les symboles sur papier."
"'Concentre-toi sur ces écrits', a-t-il dit à la jeunesse, 'et avec le temps, tu comprendras leur signification. C'est une formule magique, et en l'utilisant, tu nourriras le monde.'"
"Le soir venu, et aussi mystérieusement qu'il était sorti de nulle part, l'inconnu disparut dans les ténèbres."
Cette partie du récit de Robinson explique pourquoi cette affaire apparaît plus tard dans la littérature ufologique, y compris sceptique, comme étant une rencontre du troisième type de 1947.
Arredondo narre à Robinson d'autres affaires de recnontres extraterrestres, lui offre un onion de 4.5 kilos que Robinson ramène à San Diego comme preuve. Arredondo explique à Robinson que lui et Garcia avaient défié de Ministère de l'Agriculture:
Pour prouver la validité de la révélation de Garcia, un défi a été lancé. Par une chaude journée de mars en 1978, deux cultures ont été récoltées dans une ferme loin des volcans de Guanajuato à Tampico. Le site avait été sélectionné par des spécialistes agricoles du gouvernement, qui ont inspecté toutes les semences avec soin et ont supervisé la plantation trois mois avant la récolte."
"Deux agriculteurs avaient semé des parcelles identiques de 20 acres. L'un était un homme du secteur, l'autre José Carmen Garcia, et chaque étape du processus de culture, du labour à la récolte finale, était sous la surveillance attentive des agents du gouvernement."
"Les graines plantées par les deux hommes étaient identiques. Aucun engrais n'a été utilisé. Le dernier jour - le jour de la récolte - les balances du gouvernement ont été transportées par camion à la ferme. Il a fallu attendre le soleil pour que les résultats soient être comptés, mais les résultats n'ont jamais été mis en doute."
"Les récoltes de l'agriculteur engagé par le Département Fédéral de l'Agriculture atteignaient en moyenne 30 tonnes par acre. La production de José a atteint 105 tonnes et 690 kilos à l'acre."
"Les oignons de Garcia, y compris les tiges, mesuraient six pieds de haut. Ses choux étendent leurs feuilles sur une circonférence de sept pieds. Ses choux verts ont des tiges de cinq pieds, exactement comme ceux qu'il avait cultivés à Guanajuato depuis plus de 30 ans."
"Les fonctionnaires sont montés dans leurs camions et ont disparu dans la pénombre du soleil. Seul Raul Moreno, un employé du gouvernement qui croyait en José depuis le début, est resté."
"'Nous garderions normalement ces énormes légumes pour la recherche", a-t-il déclaré à Garcia, "ou nous les vendrions au gouvernement. Mais puisque nous vous avons retiré de votre ferme, vous pouvez les vendre vous-même et garder l'argent.""
"Le lendemain, les familles pauvres de Tamaulipas ont ajouté de très gros légumes à leur maigre régime alimentaire, qui leur étaient offerts gratuitement par José Carmen Garcia, le cultivateur sans éducation de Guanajuato."
"Garcia, un homme déçu mais non aigri, se demande encore pourquoi, après avoir réussi le test, le gouvernement refuse de reconnaître sa réussite."
Si l'histoire paraît incroyable, Robinson, officier de police, est crédible. Il a son oignon géant et de nombruses photos (ci-dessous). Alors, lorsqu'un reporter de l'agence de presse UPI lit son article dans San Diego Home and Garden, il publie l'histoire et son article paraît dans la majorité des jounrauy des Etats-Unis en février 1980, sucitant un intérêt considérable.
Quant à la "formule", certain journaux en ont montréc ceci:
On explique dans la presse: "Les produits de Garcia sont la merveille de la place du marché de Valle de Santiago, un village situé à 280 miles au nord-ouest de Mexico, près d'Irapuato, a-t-il déclaré. Les citadins se rassemblent pour s’émerveiller devant ses oignons de 3.5 kilos, ses choux de 20 à 27 kilos et ses feuilles de chou aussi grandes que des feuilles de palmier. Les ménagères jurent qu'ils sont aussi tendres et savoureux que les légumes de taille normale."
En mai - juin 1980, un nouvel article de l'UPI est repris dans la presse. José Carmen Garcia y eyplique que l'histoire de l'origine de la "formule" n'est "pas importante", et qu'il a confié sa formule à l'Ordre Rosicrucien de San Diego, qui entreprend de l'étudier.
Depuis son siège à San José, Arthur Piepenbrink, "secrétaire suprême de l'Ordre Rosicrucien", confirmé de façon laconique l'intérêt de l'ordre pour la formule , via le porte-parole "Christian Knueson":
"Nous sommes allés au Mexique et avons jeté un coup d'oeil. On nous a donné la formule et nous n'avions aucune objection à l'analyser. Nous n'avons aucune idée de sa valeur, si elle est valide ou non."
En 1981 et 1982, selon l'UPI, aucun légume géant n'a pu être produit, José Carmen Garcia se plaint de la sécheresse et d'être submergé de demandes au sujet de sa formule.
En 1983, Arredondo crie victoire: ils obtiennent de nouveau des choux géants, dont il encoie des photos. On apprend à l'occasion qu'il est copropriétaire de la ferme de José Camen Garcia. Il explique que le secret est Le secret est que les graines "sont énergisées avant d'être plantées."
Quand à "Kristie Knutson" ("Christian Knueson" antérieurement), des relations publiques de l'Ordre Rosicrucien de San Diego, indique que son organisation a maintenant eu le temps d'analyser la formule de Garcia:
"Nous avons mené des expériences agricoles basées sur la formule de Garcia et Arredondo avec un certain succès, a-t-elle déclaré. Nous avons obtenu des légumes plus gros que la moyenne, mais l'analyse nutritionnelle était négative, de qualité trop fibreuse."
"Très franchement, il y avait de la superstition, mais mélangée à certains processus scientifiques, notamment les champs bioélectromagnétiques, que les Rosicruciens et d’autres étudient depuis de nombreuses années."
"Il y a d'autres variables, les cycles lunaires, etc., mais essentiellement vous tenez la graine dans votre main. Par certaines respirations profondes, vous pouvez éventuellement modifier le champ bioélectromagnétique d'un objet. Notre recherche à ce sujet porte actuellement sur la guérison des tissus endommagés."
Le journaliste de l'UPI a interrogé un porte-parole du ministère de l'agricultre du Mexique. Celui-ci déclaore que
"Rien qu'avec les choux, Garcia dépassait les agronomes de 107 contre 5 tonnes par hectare." Mais il explique aussi pourquoi
les experts gouvernementaux n'pnt pas été plus intéressés: ils ont déterminé que ses produits de grande taille étaient moins nutritifs que les produits de taille normale.
En cette anné 1983, l'UPI explique qussi que José Carmen Garcia "réfuta comme tromperie intentionnelle avoir dit à Robinson que la formule lui avait été donnée par un inconnu qui affirmait l'avoir obtenue de visiteurs extraterrestres." Ce désaveu, qui suit son propos de trois ans auparavant sur le "peu d'importance" de l'origine de la formule. n'a jamais été reflété dans les sources ufologiques, sceptiques ou non.
L'affaire originale devient un thème récurent de la littérature New Age dan bien des pays: avec des "énergies", des "vibrations", de "l'amour", le fermier Mexicain obtien des légumes si gros qu'il pourraient "sauver le monde de la famine". Certains, dinspiration consiprationniste, assurent que "le gouvernement s'y oppose" ou s'y est opposé. Les extraterrestres ne sont plus guère à l'ordre du jour, si ce n'est dans deux catalogues ufologiques du Web.
Seon le magazine ufologique Anomalia, l'affaire est essentiellement le fait d'Arredondo. A partir des légues géanzs de Garcia, il avait concosté une histoire d'extraterrestre, car il était déjà passionné d'ufologie et pensanit en faire une "preuve".
Tableau des informations de base:
Numéro de cas:
URECAT-001739
Date d'observation:
Premier rapport:
Délai de rapport:
Témoignage apporté via:
Non connu.
Premier enregistrement allégué par:
Journal.
Premier enregistrement certain par:
Livre d'ufologie.
Type premier enregistrement allégué:
Journal.
Type premier enregistrement certain:
Livre d'ufologie.
Ce dossier créé le:
ZZZ
Sa plus récente mise à jour:
ZZZ
Pays de l'événement:
Mexique
Etat/Département:
Valle De Santiago
Type de lieu:
Près de Guanajuato.
Conditions d'éclairage:
Nuit
OVNI observé:
Oui
Arrivée OVNI observée:
Oui
Départ OVNI observé:
Non
Relation OVNI/entité:
Certaine
Nombre de témoins:
1
Ages des témoins:
Types de témoins:
Non rapporté.
Photographies:
Non.
Dessins par témoins:
Non.
Dessins approuvé par témoins:
Non.
Nombre d'entités:
1
Type d'entités:
Humanoïde
Taille d'entités:
Petit
Tenues d'entités:
Une pièce moulante.
Couleur des tenues d'entités:
Non rapporté.
Couleur de peau d'entités:
Non rapporté.
Corps des entités:
Non rapporté.
Têtes des entités:
Non rapporté.
Yeux des entités:
Non rapporté.
Bouches des entités:
Non rapporté.
Nez des entités:
Non rapporté.
Pieds des entités:
Non rapporté.
Bras des entités:
Non rapporté.
Doigts des entités:
Non rapporté.
Nb de doigts des entités:
Non rapporté.
Pilosité des entités:
Non rapporté.
Voix des entités:
Aucune entendue.
Actions des entités:
Sortie de l'OVNI, vu témoin, entrée dans l'OVNI, départ.
Interactions entités/témoins:
Aucune.
Réactions des témoins:
Observation, départ.
Sentiments des témoins:
Effrayés.
Interprétations des témoins:
Non rapporté.
Catégorie explicative:
Visiteurs extraterrestres.
Certitude de l'explication:
Sans.
Récits:
[Ref. sh1:] "SAN DIEGO HOME & GARDEN" MAGAZINE:
UNE RECOLTE D'UN AUTRE TYPE: LES LEGUMES REMARQUABLES DE JOSE CARMEN GARCIAJosé Carmen Garcia Martinez est un agriculteur âgé de 49 ans. Il fait partie des centaines de personnes qui gagnent un maigre revenu en cultivant le sol granitique de l'état de Guanajuato, au Mexique, à environ 260 km au nord-ouest de Mexico. Comme ses voisins, Garcia attache une mule à sa charrue chaque automne et prépare des sillons sur son lot de trois acres. Ensuite, il plante les graines qu'il a achetées au magasin communautaire. Ce magasin (il convient de le noter) fournit également des semences aux voisins de Garcia - des semences identiques. Toutes ont été expédiés du Texas dans des sacs en toile de jute. Garcia ne présente pas de graines différentes des graines semées par les autres agriculteurs de Guanajuato. Les produits issus des graines de José sont une autre affaire. Chaque printemps après la récolte, Garcia attrape à nouveau ses mules et se dirige vers le marché local, où il devient instantanément le point central de l'excitation qui commence à se répandre à travers le Mexique et promet de toucher le monde entier. Une foule se déplace alors que Garcia commence à décharger son wagon. Les oignons pesant chacun huit livres et plus tirent des exclamations admiratives des spectateurs. Il y a d'énormes choux de 60 livres chacun avec des poids encore plus grands, et des feuilles de chou vert qui portent des feuilles de plus de deux pieds de large. Ces super-légumes de très grande taille se retrouvent rapidement dans les chariots des acheteurs qui s'empressent d'acheter les légumes de José aussi vite qu'il peut les décharger. Trente-deux ans se sont écoulés depuis que Garcia a surpris la population de Guanajuato en commercialisant ses produits gargantuesques. Malgré leur volume, ses légumes sont aussi tendres et savoureux que ceux de taille conventionnelle. De nombreux clients de José affirment non seulement qu'ils sont plus grands, mais qu'ils ont meilleur goût que les autres. D'autres agriculteurs se demandent comment il se peut que José Carmen Garcia achète des semences là où ils les achètent, les plantent et récoltent ses récoltes exactement comme cela dans un sol identique à celui du leur, tout en cultivant des légumes à des proportions magnifiques qu'on ne trouve nulle part ailleurs sur Terre. J'ai moi-même posé ces questions à Garcia lorsque je l'ai rencontré pour la première fois en avril 1976. J'ai également vu ses légumes géants et les ai goûtés - et j'ai été très impressionné par leur saveur et leur tendresse. Ce que Garcia m'a dit, il l'a dit à d'autres personnes. L'histoire a par la suite été publiée dans des journaux et des magazines mexicains. Garcia m'a dit qu'en 1947, à l'âge de dix-sept ans, il labourait un après-midi d'automne lorsqu'il a rencontré un étranger, même si tout le monde connaissait littéralement tout le monde dans la communauté agricole de Garcia. Cependant, José a invité l'intrus à manger et à boire. Réchauffé par les pains de veau et le café faits maison, l'inconnu dévoila bientôt une histoire qui éveilla l'imagination juvénile de Garcia et qui allait avoir un impact majeur sur sa vie. José était émerveillé quand son invité mystérieux racontait comment il avait été capturé par un groupe d'êtres étranges et retenu pendant plusieurs jours dans un long et spacieux tunnel sous l'un des nombreux volcans inactifs entourant la région. Ses ravisseurs étaient décrits comme des humanoïdes - de grande taille et à la peau claire, qui parlaient avec des sons étranges et inintelligibles. La plupart semblaient occupés à récolter des légumes géants. Pendant qu'ils travaillaient, ils semblaient étudier une formule étrange consistant en des symboles heiroglyphiques. L'invité du jeune Garcia a déclaré qu'il avait mémorisé cette formule mystérieuse et qu'il la partagerait avec José, reconnaissant de la qualité de son hospitalité. Travaillant rapidement, il dessina les symboles sur papier. "Concentre-toi sur ces écrits", a-t-il dit à la jeunesse, "et avec le temps, tu comprendras leur signification. C'est une formule magique, et en l'utilisant, tu nourriras le monde." Le soir venu, et aussi mystérieusement qu'il était sorti de nulle part, l'inconnu disparut dans les ténèbres. Josà a suivi les instructions qui lui avaient été données. Jour et nuit, il ne pensait qu'à des symboles. Après trois nuits sans sommeil, il savait qu'il était temps de planter ses graines. Trois mois plus tard, il a récolté sa première récolte d'oignons, de choux et de légumes verts démesurés. La légende de José Carmen Garcia avait commencé et sa renommée se répandait chaque année par le bouche à oreille. Maintenant, en communiquant par l'intermédiaire d'un ami nommé Oscar Arredondo, Garcia dit vouloir que le monde entier partage son secret, même si son gouvernement n'aidera pas. Arredondo, un photographe, a compilé un enregistrement impressionnant des réalisations de Garcia sous forme de photos. Il dit que l'histoire de l'inconnu mystérieux et son message à José n'ont rien de surprenant. Il ajoute que l'état de Guanajuato accueille de nombreux visiteurs venus de l'espace extra-atmosphérique, et les gens rapportent des observations d'OVNI presque tous les jours. Et il y a d'autres faits intéressants, affirme Arrendondo, notamment:
Ces incidents, ainsi que d'autres, ont été rapportés dans un journal local et dans un magazine national, mais à ce jour, ils n'ont pas suscité l'intérêt qu'ils semblent justifier. "Pourquoi le monde n'est-il pas intéressé?" demande Arredondo. "Si cela se produisait ailleurs qu'au Mexique, des scientifiques du monde entier et des experts agricoles se réuniraient ici." Pour prouver la validité de la révélation de Garcia, un défi a été lancé. Par une chaude journée de mars en 1978, deux cultures ont été récoltées dans une ferme loin des volcans de Guanajuato à Tampico. Le site avait été sélectionné par des spécialistes agricoles du gouvernement, qui ont inspecté toutes les semences avec soin et ont supervisé la plantation trois mois avant la récolte. Deux agriculteurs avaient semé des parcelles identiques de 20 acres. L'un était un homme du secteur, l'autre José Carmen Garcia, et chaque étape du processus de culture, du labour à la récolte finale, était sous la surveillance attentive des agents du gouvernement. Les graines plantées par les deux hommes étaient identiques. Aucun engrais n'a été utilisé. Le dernier jour - le jour de la récolte - les balances du gouvernement ont été transportées par camion à la ferme. Il a fallu attendre le soleil pour que les résultats soient être comptés, mais les résultats n'ont jamais été mis en doute. Les récoltes de l'agriculteur engagé par le Département Fédéral de l'Agriculture atteignaient en moyenne 30 tonnes par acre. La production de José a atteint 105 tonnes et 690 kilos à l'acre. Les oignons de Garcia, y compris les tiges, mesuraient six pieds de haut. Ses choux étendent leurs feuilles sur une circonférence de sept pieds. Ses choux verts ont des tiges de cinq pieds, exactement comme ceux qu'il avait cultivés à Guanajuato depuis plus de 30 ans. Les fonctionnaires sont montés dans leurs camions et ont disparu dans la pénombre du soleil. Seul Raul Moreno, un employé du gouvernement qui croyait en José depuis le début, est resté. "Nous garderions normalement ces énormes légumes pour la recherche", a-t-il déclaré à Garcia, "ou nous les vendrions au gouvernement. Mais puisque nous vous avons retiré de votre ferme, vous pouvez les vendre vous-même et garder l'argent." Le lendemain, les familles pauvres de Tamaulipas ont ajouté de très gros légumes à leur maigre régime alimentaire, qui leur étaient offerts gratuitement par José Carmen Garcia, le cultivateur sans éducation de Guanajuato. Garcia, un homme déçu mais non aigri, se demande encore pourquoi, après avoir réussi le test, le gouvernement refuse de reconnaître sa réussite. Les responsables du département de l'agriculture avaient promis une visite du président José Lopez Portillo et une reconnaissance officielle, peut-être une conférence de presse au cours de laquelle le président donnerait une médaille à José ou l'emmènerait peut-être à Mexico pour proclamer sa formule au monde. Si le président lui-même ne pouvait pas venir, ont indiqué les responsables, il y aurait au moins une visite du ministre de l'Agriculture. Cependant, il n'y a eu aucune visite du président ou de son ministre de l'Agriculture, pas de conférence de presse, rien. Quand on lui a demandé pourquoi il pensait qu'aucun responsable ne le prenait au sérieux, José se gratta la tête un instant. Finalement, il répondit: "Ils l'ont pris personnellement." Garcia ne souhaite pas garder le secret de ce phénomène annuel. Il pense que des légumes comme les siens pourraient mettre fin à la faim partout dans le monde s'ils étaient cultivés dans d'autres pays. Pendant trois décennies, il a tenté de susciter l'intérêt et le soutien des agences gouvernementales mexicaines, mais n'a rencontré que le désintérêt ou l'incrédulité. Les officiels n'ont pas été en mesure de nier l'existence des choux, des oignons et des légumes verts de José, mais ils considèrent son histoire de l'explication de leur grande taille comme impossible et en quelque sorte hors de ce monde. |
The magazine article was illustrated by photographs taken by Oscar Arredondo.
This photograph was said to who Jose Carmen Garcia with 7 onions of 5 kilos:
This photograph showed 43-kilo cabbage, J. Carmen Garcia and neighbors in front of his giant cabbages field:
Kid holding a 10-kilo onion:
Villager holding a 1.60 meters collard green:
Villagers and Garcia with a giant cabbage:
[Ref. os1:] JOURNAL "THE ORLANDO SENTINEL":
Le Géant Vert a trouvé son maîtreSAN DIEGO - Bill Robinson a un oignon de 4.5 kilos dans son congélateur à la maison. Derrière le légume gargantuesque se cache un récit, difficile à croire, d’humanoïdes dans un tunnel sous un volcan au Mexique. Même si l'explication est absurde, nul ne peut nier la réalité de l'oignon ou des photographies prises par Robinson de choux de 90 cm de large et de feuilles de chou vert atteignant 1.50 mètres de long. Robinson est l'agent d'information du département de police de San Diego. Les journalistes lui accordent généralement des notes élevées en termes de crédibilité. Mr. Robinson a déclaré qu'il avait rencontré un agriculteur, José Carmen Garcia, alors qu'il était en vacances au Mexique, a rapporté un article sous droits d'auteur dans le magazine San Diego Home and Garden. Lorsque Garcia achemine ses produits au marché de Valle de Santiago, un village situé à 420 km au nord-ouest de Mexico, les gens s’émerveillent devant ses énormes oignons, son chou pesant de 25 à 25 kg et ses feuilles de chou aussi grandes que des feuilles de palmier. Ils sont cultivés dans une parcelle de 1.20 hectares que Garcia laboure avec un cheval ou un mulet. Et ils sont aussi tendres et savoureux que les légumes de taille normale. Garcia, 50 ans, n'utilise pas d'engrais et trouve ses semences au magasin général du village. Oscar Arredondo, un villageois, intrigué par un radis de la taille d'un ballon de basket a demandé à Garcia son secret. Garcia lui dit qu'en 1947, alors qu'il était un jeune homme de 17 ans qui luttait pour joindre les deux bouts dans la ferme héritée de son père, il rencontra un étranger qui ressemblait et parlait comme un paysan mexicain. L'étranger a déclaré qu'il avait été retenu captif par de grands humanoïdes blonds dans un tunnel sous un volcan. Ses ravisseurs parlaient en charabia, a-t-il dit, et vivaient de légumes démesurés qu’ils cultivaient. Il a dit qu'il avait mémorisé la formule magique utilisée pour atteindre cette croissance et l'avait esquissée sur un bout de papier. Il a dit à Garcia de se concentrer sur les symboles et qu'après un certain temps, le "message" deviendrait clair, puis il s'est éloigné. Après plusieurs nuits sans sommeil, Garcia a déclaré à Arredondo qu'il avait eu la révélation, quelle qu'elle soit. Il a planté les graines et produit depuis de gigantesques légumes. Arredondo a écrit sur Garcia dans un journal et un magazine de Mexico, Impacto. Selon l'article, Garcia battrait n'importe qui dans un concours d'agriculture. Les responsables du Ministère de l'Agriculture du gouvernement mexicain ont relevé son défi. Les fonctionnaires du ministère ont aménagé deux parcelles de 8 hectares. Une équipe d’experts et de fermiers du ministère de l'agriculteurs sélectionnés dans une coopérative et utilisant des engrais a travaillé sur l’une d’elles. Garcia, sans aide sauf sa formule, a travaillé l'autre parcelle. L’équipe du ministère et des coopératives agricoles a rapporté 30 tonnes de produits par 0.4 hectare. Garcia a apporté 106 tonnes. Un responsable du ministère a remercié Garcia pour son temps et lui a dit qu'il pouvait vendre les produits. Garcia, déçu, s'attendait à être convoqué à Mexico pour révéler la formule au gouvernement, qui n'a même pas gardé d'échantillons. Robinson a déclaré avoir rencontré Arredondo par hasard à la terrasse d'un café et avoir entendu l'histoire étrange. "Pourquoi le monde n'est-il pas intéressé?" a demandé Arredondo. Robinson a dit que lui l'était et Arredondo l'a emmené à la ferme de Garcia. C'est là que Robinson a trouvé l'oignon de 4.5 kilos qu'il garde dans son congélateur. Robinson a déclaré qu'il avait demandé à Garcia pourquoi les experts du gouvernement n'avaient pas exprimé d'intérêt pour son secret après sa victoire sur eux dans la compétition d'agriculture. "Peut-être," répondit-il, "ont-ils été vexés." [Légende photo:] United Press International |
[Ref. pd1:] JOURNAL "THE PRESS-DEMOCRAT":
Le secret de l'espace de l'agriculteurSAN DIEGO (UP) - De temps en temps, Bill Robinson sort son oignon de 4.5 kilos de son congélateur et le contemple. Derrière le légume gargantuesque se cache le récit étrange, difficile à croire, de fantastiques agriculteurs de l'espace. Même si l'explication est absurde, nul ne peut nier la réalité de l'oignon, pas plus que les photographies prises par Robinson sur des choux de 92 cm de large et des feuilles de chou vert atteignant 1.50 mètres de long. Robinson est l'agent d'information du Département de Police de San Diego. Les journalistes lui accordent généralement des notes élevées en termes de crédibilité. Selon Robinson, lors de ses vacances au Mexique, il a été présenté à l'agriculteur José Carmen Garcia, selon un rapport sous droits d'auteur du magazine San Diego Home and Garden. Les produits de Garcia sont la merveille de la place du marché de Valle de Santiago, un village situé à 280 miles au nord-ouest de Mexico, près d'Irapuato, a-t-il déclaré. Les citadins se rassemblent pour s’émerveiller devant ses oignons de 3.5 kilos, ses choux de 20 à 27 kilos et ses feuilles de chou aussi grandes que des feuilles de palmier. Les ménagères jurent qu'ils sont aussi tendres et savoureux que les légumes de taille normale. Pourtant, Garcia, 50 ans, laboure sa parcelle de 1.2 hectares derrière un mulet ou un cheval, tout comme ses voisins, achète la même graine au magasin général du village, et n'utilise pas d'engrais. Un photographe local, Oscar Arredondo, intrigué par un radis de la taille d'un ballon de basket, a demandé à Garcia son secret. Garcia lui dit qu'en 1947, alors qu'il avait 17 ans et qu'il luttait pour joindre les deux bouts dans la ferme héritée de son père, il rencontra un étranger qui ressemblait et parlait comme un paysan mexicain. L'étranger a déclaré qu'il avait été retenu captif par de grands humanoïdes blonds dans un tunnel sous un volcan à proximité. Ses ravisseurs parlaient un charabia incompréhensible, a-t-il dit, et vivaient de légumes énormes. Il a dit qu'il avait mémorisé leur formule magique; qu'il a dessiné sur un bout de papier. Il a dit à Garcia de se concentrer sur les symboles et qu'après un certain temps, le "message" deviendrait clair, puis il s'est éloigné. Après plusieurs nuits sans sommeil, Garcia a obtenu la révélation - quelle qu'elle soit - a semé les graines et produit de gigantesques légumes depuis lors. Arredondo a parlé de Garcia dans le journal d'Irapuato El Alacran et dans un magazine de Mexico, Impacto. Un représentant du ministère de l'Agriculture imaginatif a relevé le défi de Garcia de prouver ses prouesses en matière de culture grâce à une culture contre celle d'un agriculteur neutre sur un sol neutre. Le ministère a aménagé deux parcelles de 8 hectares à Campo de Tangasneque, dans l’Etat de Tampico, en décembre 1978. La parcelle concurrente était exploitée par une équipe d’experts du ministère et d’agriculteurs locaux choisis par une coopérative voisine, utilisant des engrais. Au moment de la récolte, les résultats ont été compilés. Garcia a toujours la main, a-t-il déclaré, indiquant pour l'équipe du ministère une moyenne de 30 tonnes de produits par acre, contre ses 106 tonnes. Un responsable du ministère a remercié Garcia pour son temps et lui a dit qu'il pourrait vendre les produits, décevant, qui s'était attendu à être convoqué à Mexico pour révéler la formule au gouvernement, qui n'a même pas gardé d'échantillons. "Pourquoi le monde n'est-il pas intéressé?" Arredondo a demandé à Robinson lors d’une rencontre fortuite à Irapuato à la terrasse d'un café qui l’a mis sur la piste de Garcia. Robinson et Arredondo se sont rendus à la ferme située au nord de la ville, où Garcia a présenté à Robinson l'oignon monumental. Pourquoi les experts du gouvernement ne l'ont-ils pas reconnu? "Peut-être," répondit-il, "ont-ils été vexés." [Légende photo:] UPI |
[Ref. po1:] JOURNAL "THE POST-DISPATCH":
La Main Verte d'un Homme de l'EspaceLes ménagères jurent qu'ils sont aussi tendres et savoureux que les légumes de taille normale. SAN DIEGO (UP) - De temps en temps, Bill Robinson sort son oignon de 4.5 kilos de son congélateur et le contemple. Derrière le légume gargantuesque se cache le récit étrange, difficile à croire, de fantastiques agriculteurs de l'espace. Même si l'explication est absurde, nul ne peut nier la réalité de l'oignon, pas plus que les photographies prises par Robinson sur des choux de 92 cm de large et des feuilles de chou vert atteignant 1.50 mètres de long. Robinson est l'agent d'information du Département de Police de San Diego. Les journalistes lui accordent généralement des notes élevées en termes de crédibilité. Selon Robinson, lors de ses vacances au Mexique, il a été présenté à l'agriculteur José Carmen Garcia, selon un rapport sous droits d'auteur du magazine San Diego Home and Garden. Les produits de Garcia sont la merveille de la place du marché de Valle de Santiago, un village situé à 280 miles au nord-ouest de Mexico, près d'Irapuato, a-t-il déclaré. Les citadins se rassemblent pour s’émerveiller devant ses oignons de 3.5 kilos, ses choux de 20 à 27 kilos et ses feuilles de chou aussi grandes que des feuilles de palmier. Les ménagères jurent qu'ils sont aussi tendres et savoureux que les légumes de taille normale. Pourtant, Garcia, 50 ans, laboure sa parcelle de 1.2 hectares derrière un mulet ou un cheval, tout comme ses voisins, achète la même graine au magasin général du village, et n'utilise pas d'engrais. Un photographe local, Oscar Arredondo, intrigué par un radis de la taille d'un ballon de basket, a demandé à Garcia son secret. Garcia lui dit qu'en 1947, alors qu'il avait 17 ans et qu'il luttait pour joindre les deux bouts dans la ferme héritée de son père, il rencontra un étranger qui ressemblait et parlait comme un paysan mexicain. L'étranger a déclaré qu'il avait été retenu captif par de grands humanoïdes blonds dans un tunnel sous un volcan à proximité. Ses ravisseurs parlaient un charabia incompréhensible, a-t-il dit, et vivaient de légumes énormes. Il a dit qu'il avait mémorisé leur formule magique; qu'il a dessiné sur un bout de papier. Il a dit à Garcia de se concentrer sur les symboles et qu'après un certain temps, le "message" deviendrait clair. Puis il s'est éloigné. Après plusieurs nuits sans sommeil, Garcia a obtenu la révélation - quelle qu'elle soit - a semé les graines et produit de gigantesques légumes depuis lors. SuperchouxLe fermier José Carmen Garcia (à droite sur la photo) et un ami montrent l'un des choux gigantesques qu'il fait pousser près d'Irapuato, Mexique, en résultat d'une formule "magique" (ci-dessous) qu'il dit appartenir à de mystérieux "humanoïdes." |
[Ref. aj1:] JOURNAL "THE ALBUQUERQUE JOURNAL":
Le Mexique perd son intérêt pour le producteur de légumes géantsVALLEDESANTIAGO, Mexique (UPI) -- Depuis trois mois, le fantastique paysan mexicain a reçu un déluge de questions sur la manière dont il produit des choux de 60 livres, des oignons de 10 livres et des choux verts de la taille d'une feuille de palmier. Pourtant, le gouvernement mexicain a perdu tout intérêt lorsque J. Carmen Garcia a proposé de révéler son secret pour aider à nourrir les pauvres. Garcia a affirmé que son succès provenait d'une formule sur un bout de papier que lui avait donné un étranger qui affirmait avoir été retenu captif dans une ville souterraine d'êtres extraterrestres. Garcia a maintenant confié ce qu'il appelle "la méthode" au mystique Ordre Rosicrucien de San José, en Californie, au profit de l'humanité. Garcia, dont les légumes géants vivaces ont fait de lui un héros populaire dans la vallée de l'Etat de Guanajuato à 260 km au nord-ouest de Mexico, a été défié par les agronomes du ministère de l'Agriculture pour une récolte en décembre 1977. Le contexte, sur des parcelles identiques côte à côte, a été mis en place à la station expérimentale du ministère de Tangasneque, près de Tampico. Lorsque la récolte d'avril 1978 arriva, le fermier sans formation et son associé, Oscar Arredondo, avaient humilié les agronomes du gouvernement. Un porte-parole du ministère, enquêtant sur les résultats du concours à la demande de l'UPI, a déclaré: "Rien qu'avec les choux, Garcia dépassait les agronomes de 107 contre 5 tonnes par hectare. Cependant, les experts gouvernementaux ont déterminé que ses produits de grande taille étaient moins nutritifs que les produits de taille normale et le gouvernement a décidé de ne pas poursuivre l'affaire." En février dernier, l'UPI avait distribué une dépêche illustrée sur Garcia, basée sur un article de Bill Robinson, un agent d'information de la police de San Diego, qui est tombé sur l'agriculteur et ses gros légumes alors qu'il était en vacances au Mexique. Inondé par plus de 1000 lettres de demandes de plus d'informations, Robinson rendit visite à Garcia une nouvelle fois. "Je ne veux plus parler de la façon dont j'ai obtenu cette formule. Ce n'est pas important," a dit Garcia, repoussant son chapeau de paille et s'appuyant sur sa pelle pendant qu'il irriguait sa parcelle soignée de trois acres. "Ce qui est important, c’est que la méthode de culture des légumes géants ait été mise en lieu sûr pour le bénéfice de l’humanité." "Des gens m'ont proposé de m'emmener aux Etats-Unis et en Allemagne pour enseigner ma méthode, mais je préfère rester ici. Les gens m'offrent de l'argent pour ma méthode. Je ne le dis pas. Je vais simplement vous dire ceci: un agriculteur doit changer sa mentalité avant de pouvoir changer la taille de sa production". Il a refusé de se séparer de certaines graines miraculeuses. Arredondo, photographe du village et copropriétaire avec Garcia de la ferme miraculeuse, a déclaré: "Le secret est que les graines sont énergisées avant d'être plantées. Le dépositaire choisi pour le bénéfice de l'humanité est l'Ordre Rosicrucien." Arthur Piepenbrink, secrétaire suprême de l'Ordre Rosicrucien, a confirmé de façon laconique l'intérêt de l'ordre pour la formule depuis son siège à San José, via le porte-parole Christian Knueson: "Nous sommes allés au Mexique et avons jeté un coup d'oeil. On nous a donné la formule et nous n'avions aucune objection à l'analyser. Nous n'avons aucune idée de sa valeur, si elle est valide ou non." |
[Ref. hs1:] JOURNAL "THE HONOLULU STAR BULLETIN":
Un 'Superfermier'VALLE DE SANTIAGO, Mexique -- Le fantastique fermier mexicain, J. Carmen Garcia, a été submergé de questions sur la manière dont il produit des choux de 60 livres, des oignons de 10 livres et des feuilles de chou vertes de la taille d'une feuille de palmier. Pourtant, le gouvernement mexicain a perdu tout intérêt lorsqu'il a proposé de révéler son secret pour aider à nourrir les pauvres. Aujourd'hui, le secret de Garcia, ce qu'il appelle "la méthode", a été confié au mystique Ordre Rosicrucien de San José, en Californie. Garcia, dont les légumes géants vivaces ont fait de lui un héros folklorique dans la vallée de son Etat de Guanajuato à 280 miles au nord-ouest de Mexico, a été mis au défi par des agronomes du ministère de l'Agriculture en décembre 1977. Le contexte, sur des parcelles identiques côte à côte, a été réalisé à la station expérimentale du ministère de Tangasneque, près de Tampico. Lorsque la récolte d'avril 1978 arriva, le fermier sans éducation et son associé, Oscar Arredondo, avaient humilié les agronomes du gouvernement. Cependant, les résultats ont été pratiquement supprimés et le gouvernement n'a pas poursuivi avec Garcia, qui est revenu quelque peu amer dans sa vallée. Un porte-parole du ministère a déclaré: "Rien que pour le chou, Garcia dépassait les agronomes de 107 à 5 tonnes par hectare. Cependant, des experts gouvernementaux ont estimé que ses produits volumineux étaient moins nutritifs que les produits de taille normale et le gouvernement a décidé de ne pour poursuivre l'affaire." Le gouvernement a peut-être été choqué par les aveux de Garcia, qui affirmait que son succès résultait de la contemplation d'une formule de symboles sur un bout de papier que lui avait donné un étranger qui prétendait avoir été retenu captif par des extraterrestres dans une ville souterraine. Oscar Arredondo, copropriétaire avec Garcia de la ferme miraculeuse, a été plus informatif: "Le secret est que les graines sont énergisées avant la plantation. Le dépôt choisi pour le bénéfice de l'humanité est l'Ordre Rosicrucien." |
[Ref. cs1:] JOURNAL "THE CARLISLE SENTINEL":
Le "secret" de la main verte révéléSAN DIEGO (UPI) - Le célèbre agriculteur mexicain cultive ses légumes géants après une interruption de trois ans. Sa formule secrète est le soleil, l’eau et le sol, combinés à une touche de biomagnétoélectricité et à un soupçon d’abracadabra. José Carmen Garcia de Valle de Santiago, Guanajuato, Mexique, est devenu la merveille de son marché à la fin des années 1970 avec des oignons de 10 livres, des feuilles de chou vert de la taille de feuilles de palmier, etc. Un officier des relations public de la police de San Diego, Bill Robinson, était tombé sur Garcia et avait écrit un article illustré sous droits d'auteurs dans le magazine San Diego Home and Garden, en novembre 1979. Un journaliste un peu sceptique de l'UPI souleva un oignon de 11 livres (que Robinson conserve dans son congélateur encore à ce jour), obtint la confirmation officielle du Ministère de l'Agriculture du Mexique que Garcia avait remporté un concours de culture contre les agronomes du ministère en 1978, et écrivit une dépêche qui a apporté à Garcia une renommée mondiale instantanée. Robinson et ce reporter de l’UPI se sont rendus chez Garcia en mai 1981 et n’ont trouvé (1) aucun légume géant et (2) Garcia se plaignant de la sécheresse et se plaignant d’interruptions causées par de potentielles mains vertes du monde entier cherchant vainement à connaître son secret. "Le moyen de faire pousser des légumes géants a été mis dans un lieu sûr pour le bénéfice de l'humanité", a-t-il déclaré, révélant que le dépositaire choisi était l'Ordre Rosicrucien, une organisation éducative mystique basée à San José, en Californie. Il réfuta comme tromperie intentionnelle avoir dit à Robinson que la formule lui avait été donnée par un inconnu qui affirmait l'avoir obtenue de visiteurs extraterrestres. Les enquêteurs ont rencontré le partenaire de Garcia, Oscar Arredondo, propriétaire d'un studio de photographie en ville, dans la ferme anciennement miraculeuse,. Mais ne posez pas de questions sur la formule, a-t-il dit, les Rose-Croix l'utiliseront pour nourrir toute l'humanité. Un rituel annuel d'appels téléphoniques de San Diego s'ensuivit au village pittoresque niché parmi les cratères des volcans: "Arredondo, des légumes géants cette année?" "Non, peut-être l'année prochaine." C'était donc en 1981, 1982. Voilà! 1983: "Nous avons des choux qui pèsent environ 25 kilos (environ 50 livres) et mesurent un mètre de diamètre," exulte Arredondo. "Je vais vous envoyer une photo." Il l'a fait et c'était ça. Kristie Knutson, directrice des relations publiques de l'Ordre Rosicrucien, indique que l'organisation a maintenant eu le temps d'analyser la formule de Garcia. "Nous avons mené des expériences agricoles basées sur la formule de Garcia et Arredondo avec un certain succès, a-t-elle déclaré. Nous avons obtenu des légumes plus gros que la moyenne, mais l'analyse nutritionnelle était négative, de qualité trop fibreuse." Et la formule? "Très franchement, il y avait de la superstition, mais mélangée à certains processus scientifiques, notamment les champs bioélectromagnétiques, que les Rosicruciens et d’autres étudient depuis de nombreuses années." "Il y a d'autres variables, les cycles lunaires, etc., mais essentiellement vous tenez la graine dans votre main. Par certaines respirations profondes, vous pouvez éventuellement modifier le champ bioélectromagnétique d'un objet. Notre recherche à ce sujet porte actuellement sur la guérison des tissus endommagés", a-t-elle déclaré. |
[Ref. ds1:] JOURNAL "THE DAILY SPECTRUM":
Le secret des légumes géants révéléSAN DIEGO (UPI) - Le célèbre agriculteur mexicain cultive ses légumes géants après une interruption de trois ans. Sa formule secrète est le soleil, l’eau et le sol, combinés à une touche de biomagnétoélectricité et à un soupçon d’abracadabra. José Carmen Garcia de Valle de Santiago, Guanajuato, Mexique, est devenu la merveille de son marché à la fin des années 1970 avec des oignons de 10 livres, des feuilles de chou vert de la taille de feuilles de palmier, etc. Un officier des relations public de la police de San Diego, Bill Robinson, était tombé sur Garcia et avait écrit un article illustré sous droits d'auteurs dans le magazine San Diego Home and Garden, en novembre 1979. Un journaliste un peu sceptique de l'UPI souleva un oignon de 11 livres (que Robinson conserve dans son congélateur encore à ce jour), obtint la confirmation officielle du Ministère de l'Agriculture du Mexique que Garcia avait remporté un concours de culture contre les agronomes du ministère en 1978, et écrivit une dépêche qui a apporté à Garcia une renommée mondiale instantanée. Robinson et ce reporter de l’UPI se sont rendus chez Garcia en mai 1981 et n’ont trouvé (1) aucun légume géant et (2) Garcia se plaignant de la sécheresse et se plaignant d’interruptions causées par de potentielles mains vertes du monde entier cherchant vainement à connaître son secret. "Le moyen de faire pousser des légumes géants a été mis dans un lieu sûr pour le bénéfice de l'humanité", a-t-il déclaré, révélant que le dépositaire choisi était l'Ordre Rosicruciean, une organisation éducative mystique basée à San José, en Californie. Il réfuta comme tentative intentionnelle de le discréditer avoir dit à Robinson que la formule lui avait été donnée par un inconnu qui affirmait l'avoir obtenue de visiteurs extraterrestres. Les enquêteurs ont rencontré le partenaire de Garcia, Oscar Arredondo, propriétaire d'un studio de photographie en ville, dans la ferme anciennement miraculeuse,. Mais ne posez pas de questions sur la formule, a-t-il dit, les Rose-Croix l'utiliseront pour nourrir toute l'humanité. Un rituel annuel d'appels téléphoniques de San Diego s'ensuivit au village pittoresque niché parmi les cratères des volcans: "Arredondo, des légumes géants cette année?" "Non, peut-être l'année prochaine." C'était donc en 1981, 1982. Voilà! 1983: "Nous avons des choux qui pèsent environ 25 kilos (environ 50 livres) et mesurent un mètre de diamètre," exulte Arredondo. "Je vais vous envoyer une photo." Il l'a fait et c'était ça. Kristie Knutson, directrice des relations publiques de l'Ordre Rosicrucien, indique que l'organisation a maintenant eu le temps d'analyser la formule de Garcia. "Nous avons mené des expériences agricoles basées sur la formule de Garcia et Arredondo avec un certain succès, a-t-elle déclaré. Nous avons obtenu des légumes plus gros que la moyenne, mais l'analyse nutritionnelle était négative, de qualité trop fibreuse." Et la formule? "Très franchement, il y avait de la superstition, mais mélangée à certains processus scientifiques, notamment les champs bioélectromagnétiques, que les Rosicruciens et d’autres étudient depuis de nombreuses années." "Il y a d'autres variables, les cycles lunaires, etc., mais essentiellement vous tenez la graine dans votre main. Par certaines respirations profondes, vous pouvez éventuellement modifier le champ bioélectromagnétique d'un objet. Notre recherche à ce sujet porte actuellement sur la guérison des tissus endommagés", a-t-elle déclaré. [légende photo:] VALLE DE SANTIAGO, Mexique - Oscar Arredondo, partenaire fermier de José Garcia, expose un chou géant cultivé sur la ferme. |
[Ref. ph1:] JOURNAL "THE PROVO DAILY HERALD":
Le Fermier Mexicain Cultive de Nouveau Des Légumes GéantsSAN DIEGO (UPI) - Le célèbre agriculteur mexicain cultive ses légumes géants après une interruption de trois ans. Sa formule secrète est le soleil, l’eau et le sol, combinés à une touche de biomagnétoélectricité et à un soupçon d’abracadabra. José Carmen Garcia de Valle de Santiago, Guanajuato, Mexique, est devenu la merveille de son marché à la fin des années 1970 avec des oignons de 10 livres, des feuilles de chou vert de la taille de feuilles de palmier, etc. Un officier des relations public de la police de San Diego, Bill Robinson, était tombé sur Garcia et avait écrit un article illustré sous droits d'auteurs dans le magazine San Diego Home and Garden, en novembre 1979. Un journaliste un peu sceptique de l'UPI souleva un oignon de 11 livres (que Robinson conserve dans son congélateur encore à ce jour), obtint la confirmation officielle du Ministère de l'Agriculture du Mexique que Garcia avait remporté un concours de culture contre les agronomes du ministère en 1978, et écrivit une dépêche qui a apporté à Garcia une renommée mondiale instantanée. Robinson et ce reporter de l’UPI se sont rendus chez Garcia en mai 1981 et n’ont trouvé (1) aucun légume géant et (2) Garcia se plaignant de la sécheresse et se plaignant d’interruptions causées par de potentielles mains vertes du monde entier cherchant vainement à connaître son secret. "Le moyen de faire pousser des légumes géants a été mis dans un lieu sûr pour le bénéfice de l'humanité", a-t-il déclaré, révélant que le dépositaire choisi était l'Ordre Rosicruciean, une organisation éducative mystique basée à San José, en Californie. Il réfuta comme tentative intentionnelle de le discréditer avoir dit à Robinson que la formule lui avait été donnée par un inconnu qui affirmait l'avoir obtenue de visiteurs extraterrestres. Les enquêteurs ont rencontré le partenaire de Garcia, Oscar Arredondo, propriétaire d'un studio de photographie en ville, dans la ferme anciennement miraculeuse,. Mais ne posez pas de questions sur la formule, a-t-il dit, les Rose-Croix l'utiliseront pour nourrir toute l'humanité. Un rituel annuel d'appels téléphoniques de San Diego s'ensuivit au village pittoresque niché parmi les cratères des volcans: "Arredondo, des légumes géants cette année?" "Non, peut-être l'année prochaine." C'était donc en 1981, 1982. Voilà! 1983: "Nous avons des choux qui pèsent environ 25 kilos (environ 50 livres) et mesurent un mètre de diamètre," exulte Arredondo. "Je vais vous envoyer une photo." Il l'a fait et c'était ça. Kristie Knutson, directrice des relations publiques de l'Ordre Rosicrucien, indique que l'organisation a maintenant eu le temps d'analyser la formule de Garcia. "Nous avons mené des expériences agricoles basées sur la formule de Garcia et Arredondo avec un certain succès, a-t-elle déclaré. Nous avons obtenu des légumes plus gros que la moyenne, mais l'analyse nutritionnelle était négative, de qualité trop fibreuse." Et la formule? "Très franchement, il y avait de la superstition, mais mélangée à certains processus scientifiques, notamment les champs bioélectromagnétiques, que les Rosicruciens et d’autres étudient depuis de nombreuses années." "Il y a d'autres variables, les cycles lunaires, etc., mais essentiellement vous tenez la graine dans votre main. Par certaines respirations profondes, vous pouvez éventuellement modifier le champ bioélectromagnétique d'un objet. Notre recherche à ce sujet porte actuellement sur la guérison des tissus endommagés", a-t-elle déclaré. |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
2. Lieu. Valle De Santiago Mexique Date: 1947 Heure: matin Un jeune agriculteur était en train de labourer son champ quand il fut soudainement confronté à un individu très grand et maigre, qui ressemblait à un albinos et dont les traits étaient déformés. L'inconnu a déclaré au fermier qu'il avait été retenu captif par des "humanoïdes" à l'intérieur d'un volcan inactif à proximité. L'étranger a ensuite dessiné une formule sur un morceau de papier qu'il a prétendu être le secret pour cultiver d'énormes légumes, puis il s'est éloigné et a disparu. Le fermier a en effet pu faire pousser des légumes géants depuis. HC addition # 422 Source: Fortean Times # 33 Type: E Rapport d'une rencontre avec des créatures humanoïdes souterraines. HSI: "6" ROS: "7" Commentaires: Pour autant que je sache, le témoin cultivait toujours ces énormes légumes à la fin des années 70. En ce qui concerne les "humanoïdes" mentionnés par le grand individu, je ne sais pas s'il y a eu des rencontres enregistrées avec ceux-ci. |
[Ref. an1:] "ANOMALIA":
Giant Vegetables in Valle de SantiagoThe Valley of Santiago, four hours from the Federal District of Mexico, in the State of Guanajuato, became famous throughout the world for its giant vegetables . In the mid-1970s a simple farmer, José Carmen García Martínez , managed to harvest chard, turnips, lettuce and other vegetables of enormous dimensions, in a really gigantic size. This strange event put Valle de Santiago in the sights of many public figures related to or interested in unusual phenomena. Television channels of different countries met Don Carmen in his field. For example Jack Palance's daughter aired one of the reports of "Incredible but true!" Virginia Sendel Lemetre did the same for Televisa's "Magico Mexico" program. Also came Carmen Romano de Lopez Portillo, who brought the wizard Uri Geller to detect the "strange" emanations of the place. Légumes géants à Valle de Santiago La vallée de Santiago, à quatre heures du district fédéral de Mexico, dans l'État de Guanajuato, est devenue célèbre dans le monde entier pour ses légumes géants. Au milieu des années 1970, un simple agriculteur, José Carmen García Martínez, a réussi à récolter des blettes, des navets, de la laitue et d'autres légumes de dimensions énormes, dans des dimensions vraiment gigantesques. Cet événement étrange a mis Valle de Santiago à la portée de nombreuses personnalités liées ou intéressées par des phénomènes inhabituels. Des chaînes de télévision de différents pays ont rencontré Don Carmen dans son domaine. Par exemple, la fille de Jack Palance a diffusé l'un des reportages de "Incredible but true!" Virginia Sendel Lemetre a fait de même pour le programme "Magico Mexico" de Televisa. Vint également Carmen Romano de Lopez Portillo, qui amena le sorcier Uri Geller à détecter les "étranges" émanations du lieu.Valle de Santiago has not stopped being in the news and a magnet for ufologists. Among its visitors were Pedro Ferriz Santacruz, Salvador Freixedo, Juan José Benítez, Fernando Jiménez del Oso, Sixto Paz and others. The phenomena, although really surprising, had not gone beyond being a botanical curiosity but for the appearance of Óscar Arredondo Ramírez. This odd character, a tourism delegate from Valle de Santiago, is a professional photographer who has his studio and work on location, Fotografía México, on Calle de Juárez, is almost in the central square of Valle de Santiago. Arredondo's photography studio is an authentic gallery of the unusual. All the walls and cabinets are upholstered with fantastic images. There, frame after frame, are the photos of the ufologists with those of fifantic monsters, giant vegetables, faces of Christ and UFOs. José Carmen García managed to obtain chard crops the size of a person (from 1.50 to 1.85 meters), cauliflower (cabbage) of 43 kilograms, onions of proportions similar to those of a child's head, radishes of 20 kilos, cabbages that barely could be carried by four people, turnips and giant lettuce... Valle de Santiago n'a pas cessé d'être dans les nouvelles et un aimant pour les ufologues. Parmi ses visiteurs figuraient Pedro Ferriz Santacruz, Salvador Freixedo, Juan José Benítez, Fernando Jiménez del Oso, Sixto Paz et d'autres. Le phénomène, bien que très surprenant, n’était pas devenu une curiosité botanique, mais l’apparition d’Oscar Arredondo Ramírez. Ce curieux personnage, délégué touristique de Valle de Santiago, est un photographe professionnel qui a son atelier et travaille sur place, Fotografía México, sur la Calle de Juárez, se trouve presque sur la place centrale de Valle de Santiago. Le studio de photographie d'Arredondo est une galerie authentique d'insolite. Tous les murs et les armoires sont recouverts d'images fantastiques. Là, cadre après cadre, se trouvent les photos des ufologues avec celles de monstres féeriques, de légumes géants, de visages du Christ et d’ovnis. José Carmen García a réussi à obtenir des blettes de la taille d'une personne (de 1,50 à 1,85 mètre), un chou-fleur (chou) de 43 kg, des oignons de proportions similaires à celles de la tête d'un enfant, des radis de 20 kg, des choux qu'on pouvait à peine porté par quatre personnes, les navets et la laitue géante ... LES LEGUMES GEANTSTHE GIANT VEGETABLES. Arredondo advised José Carmen to say that the "secret formula" came from the teachings of extraterrestrial beings who visited him long ago. According to Arredondo, the method to "manufacture" these vegetables was based on astrological processes dictated by entities from other worlds. Vegetables grow that size because, through astrology, the most appropriate day and time is chosen to sow the seed. The planting place is determined by a pendulum. Each seed is given a kind of astrological chart to determine the best conditions for its sowing. In that way a chard could be of Aries sign, while a turnip would be Aquarius or an onion could be Pisces. Ridiculous? Yes! And yet many people believed that nonsense. What were Arredondo's intentions? In addition to providing a "proof" of the reality of the UFO phenomenon (subject that is an obsession for the photographer), it could attract the attention of the authorities to their city (and their person), and create a pole of agricultural development to generate a greater economic impact in the area. For that reason, Óscar managed to establish contact with important people such as the Ministry of Agriculture and Hydraulic Resources, engineer Francisco Merino Rábago, with whom they were invited on September 20, 1977 in the offices of the Ministry itself. In that place Óscar told this: "Imagine the Valley of Santiago with the craters of the Luminarias valley infested with giant vegetables and fruits; I think the problem of hunger would be less. But if I reveal how to make giant vegetables, the rich will become richer." In this meeting Óscar and Carmen García offered to deliver the formula in exchange for two conditions being met: the creation of a national park in the city of Valle de Santiago and the construction on the site of an agricultural school, precisely inside the crater called La Joya de las Flores. Arredondo proposed to carry out an contest between the technicians of the Ministry and the farmers of the valleys. They would plant different vegetables in a neutral lot in Tangasneque, near Tampico, Tamaulipas. The experiment was made in 1977. The field was divided into two equal plots of approximately 20 hectares each. The agronomists sowed the vegetables using conventional techniques and using fertilizers, according to the methods learned at the University of Chapingo. The peasants used their own procedures, "according to their secret knowledge and understanding". Both groups monitored each other. In April of 1978 came the time of harvest. The farmers obtained five to eight tons per hectare, while the agronomists easily exceeded 100 (107 to be exact) . Upon learning the results, Merino fled from the photographer and did not want to hear anymore about him. But Óscar tells the story differently. For him, they were the winners, while the defeated were the agronomists. But if that had been true I doubt very much that Merino Rábago would have let go the opportunity to become the savior of the country (and perhaps the world), by showing urbi et orbi the benefits of a new harvest method that would eliminate the roots of Earth feeding problems. The Secretary of Agriculture forgot the matter because, besides obtaining a much poorer harvest, the fruits obtained by the astrological-magical-extraterrestrial method were almost pure water. Indeed, the large volume was achieved by the large accumulation of water in the roots, so that a huge cabbage of 45 kilograms had the same nutritional value as a normal cabbage. Someone who would eat these vegetables would die of hunger (though not thirst). Arredondo a conseillé à José Carmen de dire que la "formule secrète" provenait des enseignements d'êtres extraterrestres qui lui avaient rendu visite il y a longtemps. Selon Arredondo, la méthode de "fabrication" de ces légumes était basée sur des processus astrologiques dictés par des entités d'autres mondes. Les légumes augmentent de cette taille car, grâce à l'astrologie, le jour et l'heure les plus appropriés sont choisis pour semer la graine. Le lieu de plantation est déterminé par un pendule. Chaque graine reçoit une sorte de carte astrologique afin de déterminer les meilleures conditions pour son semis. De cette façon, une bette pourrait être de signe Bélier, tandis qu'un navet serait un Verseau ou un oignon pourrait être un Poisson. Ridicule? Oui! Et pourtant, beaucoup de gens croyaient ce non-sens. Quelles étaient les intentions d'Arredondo? En plus de fournir une "preuve" de la réalité du phénomène OVNI (sujet qui est une obsession pour le photographe), il pourrait attirer l'attention des autorités sur leur ville (et sur leur personne) et créer un pôle de développement agricole. générer un plus grand impact économique dans la région. C'est pourquoi Óscar a réussi à établir des contacts avec des personnalités telles que l'ingénieur Francisco Merino Rábago du ministère de l'Agriculture et des Ressources hydrauliques, avec qui il a été invité le 20 septembre 1977 dans les bureaux du ministère lui-même. À cet endroit, Oscar dit ceci: "Imaginez la vallée de Santiago avec les cratères de la vallée de Luminarias infestée de fruits et de légumes géants; je pense que le problème de la faim serait moins grave. Mais si je révèle comment faire des légumes géants, les riches s'enrichiront." Lors de cette réunion, Óscar et Carmen García ont proposé de présenter la formule en échange de deux conditions: la création d'un parc national dans la ville de Valle de Santiago et la construction sur le site d'une école d'agriculture, précisément à l'intérieur du cratère appelé La Joya de las Flores. Arredondo a proposé d'organiser un concours entre les techniciens du ministère et les agriculteurs des vallées. Ils planteraient des légumes différents sur un terrain neutre à Tangasneque, près de Tampico, Tamaulipas. L'expérience a été réalisée en 1977. Le champ a été divisé en deux parcelles égales d'environ 20 hectares chacune. Les agronomes ont semé les légumes en utilisant des techniques conventionnelles et en utilisant des engrais, selon les méthodes apprises à l'Université de Chapingo. Les paysans utilisaient leurs propres procédures "selon leur connaissance et leur compréhension secrètes". Les deux groupes se surveillaient mutuellement. En avril 1978, l'heure de la récolte est arrivée. Les agriculteurs obtenaient de cinq à huit tonnes par hectare, tandis que les agronomes dépassaient facilement les 100 (107 pour être exact). Après avoir appris les résultats, Merino s'est enfui du photographe et n'a plus voulu entendre parler de lui. Mais Oscar raconte l'histoire différemment. Pour lui, ils ont été les gagnants, tandis que les vaincus étaient les agronomes. Mais si cela avait été vrai, je doute fort que Merino Rábago aurait laissé passer l’occasion de devenir le sauveur du pays (et peut-être du monde), en montrant à urbi et orbi les avantages d’une nouvelle méthode de récolte qui éliminerait les racines des problèmes d'alimentation de la Terre. Le secrétaire d'État à l'Agriculture a oublié la question car, outre l'obtention d'une récolte beaucoup plus médiocre, les fruits obtenus par la méthode astrologique-magique-extraterrestre étaient de l'eau presque pure. En effet, le volume important a été obtenu grâce à la forte accumulation d'eau dans les racines, de sorte qu'un énorme chou de 45 kg a la même valeur nutritive qu'un chou normal. Quelqu'un qui mangerait ces légumes mourrait de faim (mais pas de soif). |
[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:
1947. Matin. VALLE DE SANTIAGO (GUANAJUATO : MEXIQUE) José Carmen Garcia, âgé de 17 ans, a rencontré un homme très grand et maigre, qui ressemblait à un albinos avec des traits creux, déformés, des traits déformés [sic]. L'inconnu a déclaré au fermier qu'il avait été retenu captif par des "humanoïdes" à l'intérieur d'un volcan inactif à proximité. Ses captifs parlaient dans un charabia inintelligible et vivaient de légumes géants. L'étranger a ensuite dessiné une formule sur un morceau de papier qu'il a prétendu être le secret pour cultiver d'énormes légumes, qu'il avait mémorisée. Il a ensuite quitté les lieux. Depuis lors, le fermier a pu faire pousser des légumes géants. Fortean Times 33 p31 citant San Francisco Chronicle 9 février 1980, Stillwater (Minnesota) Gazette 30 mai 1980, North Shore News 8 juin 1980, tous? citant enquête par William Robinson de San Diego |
[Ref. jt1:] JEAN-PAUL THOUNY:
L'homme qui parle avec les plantesUn nouveau paradigme agricoleLe 4 Juil 2018 15 822 Les passionnés de botanique et de jardinage disent souvent qu'ils parlent à leurs plantes pour qu'elles s'épanouissent. Légende ou non, toujours est-il qu'au Mexique, un homme applique cette consigne à la lettre. Il parvient à faire pousser des légumes géants, simplement en leur parlant! Miracle ou légende ?Obtenir des choux de 45 kg, des feuilles de blettes de 1,50 m, des pieds de maïs de 5 m de haut, 150 tonnes d'oignons à l'hectare, au lieu de 16 tonnes en moyenne, etc. Celui qui peut accomplir ces prodiges par des techniques respectueuses de l'environnement s'appelle don José Carmen Garcia Martinez. Dans les années 1970, devant faire face aux difficultés générées par une terre qui ne produisait rien, le jeune cultivateur ne désespéra pas. Au lieu d'avoir recours à des engrais et autres intrants chimiques, celui-ci s'est mis à lui parler. Selon lui, la terre, les plantes, ont une forme d'intelligence qui leur permet de communiquer avec l'Homme. Il suffit de savoir comment leur parler, et surtout les écouter ! L'agriculteur parvient à cultiver sans pesticides, à utiliser très peu de fertilisants par rapport à l'agriculture conventionnelle (il en utilise 700 g par ha versus 500 kg par ha en agriculture intensive), à faire pousser des légumes sur des terres salées, à rendre les plantes plus résistantes aux maladies, etc. Don José Carmen apporte des solutions à la fois concrètes, simples et peu coûteuses aux problèmes que pose l'agriculture moderne : pollution, destruction de la biodiversité, etc. Son savoir-faire pourrait être une prodigieuse réponse face aux problèmes écologiques et alimentaires dans le monde... Comment a-t-il fait?Lorsqu'on lui demande comment il peut arriver à de tels prodiges, Don José Carmen explique sa méthode : « Les gens qui ne développent par leur culture sont ceux qui ne changent pas leur manière de penser. Les plantes ont une vie comme n'importe quelle personne, n'importe quel animal, n'importe quelle chose. Il faut apprendre à les connaître, les traiter avec douceur, elles le comprennent, elles savent." Il précise : « Les hommes n'ont pas tous des affinités avec les plantes, et les plantes avec les hommes. C'est une question de compatibilité, comme les rhésus sanguins entre les êtres humains. Les plantes elles-mêmes peuvent se regrouper par affinité, en fonction de leur énergie". Il ajoute : « Je ne crois pas aux fertilisants chimiques parce qu'ils brûlent la terre. Pour moi, le meilleur fertilisant, c'est la conversation avec les plantes. La terre s'alimente avec les déchets de la dernière récolte". La compréhension des plantes, êtres vivantsPour lui, ce sont les plantes elles-mêmes qui peuvent nous apprendre comment les cultiver. Il communique avec elles, il dit aussi « utiliser l'énergie temporelle, d'une autre dimension » suivant ses propres mots. Il rejoignait sans le savoir les théories des jardiniers de Findhorn et de Perelandra, celles de Sir Georges Treyvelyan et de Machaelle Small Wright. Findhorn, c'est un petit village perdu au fond de l'Écosse, pas très loin du célèbre Loch Ness., et Perelandra est situé en Virginie, au Sud-Ouest de Washington. Voir l'article : Le Jardin de Perelandra Au Mexique, tout le monde le sollicite de l'agriculteur au chimiste en passant par l'agronome ou l'ingénieur. Le miracle, c'est Don José Carmen Garcia Martinez qui, avec son amour pour les plantes, les paroles qu'il leur adresse et d'anciennes recettes aztèques, a réussi à cultiver des légumes géants. Résultats obtenusIl a produit ainsi des choux de 45 kg, des pieds de maïs de 5 m de haut, des feuilles de blette de 1,5 m de long, 7 à 8 courges par pied (1 à 2 habituellement), 150 tonnes d'oignons par hectare (16 tonnes normalement). Un journaliste péruvien, Yvon Perez Barreto, est allé trouver Don Carmen chez lui et a raconté tout ce qu'il y a vu. Mais ce n'est pas le seul témoin : l'Université d'agronomie de Chapingo (Mexique), sous l'autorité du Pr Nicolas Cerda, spécialiste des sols, a comparé les résultats de Don Carmen avec ceux obtenus par les méthodes de l'Université sur des terrains contigus. Des ingénieurs du Ministère de l'agriculture mexicain sont venus analyser l'eau, les légumes, les semences et surtout le terrain volcanique de l'agriculteur. Rien de particulier n'a été décelé. Du coup, ils l'invitèrent à cultiver selon sa méthode, dans un autre lieu, la vallée de Tamaulipas. Cette terre, très différente de celle qu'il travaillait dans son village, donna les mêmes résultats. Pour lui, les plantes peuvent nous apprendre comment les cultiver. Il communique avec elles, il dit aussi utiliser l'énergie temporelle, d'une autre dimension, suivant ses propres mots. Parmi les savoir-faire de Don Carmen, on note :
Son secret est l'amourDon José Carmen est persuadé que c'est grâce à la communication qu'il a établie mentalement avec les plantes qu'il a obtenu ces résultats miraculeux. Pour lui, le secret c'est l'amour qui lui donne cette main verte. Une autre chose que Don José sait faire, c'est planter des arbres pour attirer la pluie. En choisissant minutieusement les essences des arbres qu'il va planter, dans un tracé polygonal. Cette expérience a été menée à l'université de Chapingo, avec laquelle il a passé une convention de recherche. Et ça marche. Hélas, cette expérience a été menée alors que le recteur de l'université allait prendre sa retraite. Et le premier geste du nouveau recteur a été de couper tous ces arbres. Voici un extrait du rapport officiel relatant les résultats: "Parcelle située dans le désert du Vizcaino où il n'avait pas plu depuis six ans : une fois la plantation terminée selon les indications de don José Carmen Garcia Martinez, la pluie a commencé à tomber à verse. Sur ce site où il n'avait pas plu depuis trois ans, il s'est mis à pleuvoir à verse vingt-quatre heures après que le dernier arbre eut été planté. Quant à la parcelle située dans l'état d'Oaxaca et qui clôturait le circuit des trois zones, avant même que la plantation soit terminée, il s'est mis à pleuvoir en abondance comme sur les deux autres sites." Autre observation importante, les précipitations mesurées sur chacun des sites ont couvert une zone de trente kilomètres autour des zones reboisées selon les indications de José Carmen Garcia. Son histoire à voir et à lireSon histoire difficilement concevable pour tout un chacun, mais tellement simple : ouvrir son cœur pour parler aux plantes, déstabilise nos prétendues connaissances scientifiques… Il la raconte dans son livre : L'homme qui parle avec les plantes, éditions Clair de Terre. Son livre donne des tas de recettes, de trucs, qui pourraient révolutionner la planète, tout en changeant la mentalité humaine : l'amour à la place du profit immédiat. Quelques savoir-faire de don José Carmen présentés dans ce livre:
Don José Carmen explique dans son livre: "Au début" raconte-t-il "j'ai commencé à m'asseoir auprès des plantes et je me suis mis à les observer. Puis je leur ai demandé de m'aider. Je suis convaincu que les plantes ont une forme d'intelligence qui leur permet de communiquer avec nous, il suffit de les écouter." "Notre univers est une grande machine, et la Création est comme un grand computer, avec des informations qui vont et viennent… quand on plante, il faut être précis, dans le détail, pour qu'une fois la dernière pièce assemblée toute l'information parte de la plante vers l'univers." "Parfois, pendant la nuit, je sens que mes plantes ont soif, alors je marche jusqu'à mon champ, et je les arrose jusqu'à ce qu'elles soient satisfaites. C'est absurde d'appliquer à la lettre les conseils d'arrosage, car, comme les hommes, chaque plante est différente." "Les hommes n'ont pas tous des affinités avec les plantes, et les plantes avec les hommes. C'est une question de compatibilité, comme les rhésus sanguins entre les êtres humains. Les plantes elles-mêmes peuvent se regrouper par affinité, en fonction de leur énergie." ConclusionsSerait-il temps de réévaluer nos façons de faire et nos techniques ? Nous savons pourtant bien que nous nous dirigeons vers un cul-de-sac avec nos cultures intensives saupoudrées de cocktails chimiques et poisons comme les herbicides, pesticides et engrais chimiques et nitrates. Notre matérialisme enfantin et prétentieux qui prétend tout savoir mais qui en fait a tout à apprendre de la vie, du respect des lois cosmiques universelles dont nous dépendons tous mais que nous ne respectons pas, s'appuie sur une science bâtarde au service du Dieu Commerce. Observez ce que peut faire un modeste agriculteur Mexicain, Don José Carmen Garcia Martinez, qui avec son amour pour les plantes, sans engrais chimiques, uniquement en respectant les lois de la nature comme le faisaient ses ancêtres précolombiens, en se mettant à son service dans la plus pure humilité, réussit à cultiver des légumes géants et décupler la production. Monsanto et autres profiteurs de l'alimentation de ce monde qui ont la prétention de « sauver la planète » avec leurs OGM et pesticides qui rendent les agriculteurs dépendants, nous font démonstration que leurs objectifs ne sont pas là, et devraient honte lorsque leurs résultats sont comparés à ceux de cet homme. Lorsque l'on constate les dégâts de l'agriculture moderne sur nos sols, nos lacs, nos rivières, nos fleuves, les scientifiques cérémonieux patentés diplômés qui jouent avec les forces de la nature sont comparables à ces enfants qui jouent avec des allumettes sans réfléchir aux dangers dont ils menacent leurs frères humains autant qu'eux-mêmes. Don José Carmen Garcia Martinez vient nous démontrer par son travail, que la survie de la planète, notre survie à tous, passe par le respect et l'amour de la nature et de tous les êtres qui y vivent, et non pas par une course effrénée au profit destiné à servir les appétits voraces et cupides de quelques-uns. Il est grand temps de retrouver les vraies valeurs, celles qui sont au service de tous sans exception et quelque soit le règne considéré : minéral, végétal, animal et humain. C'est cette synergie générée par le respect et l'amour de tous, ainsi que par le partage équitable, qui nous permettra d'accéder a un réel niveau de bien-être et de bonheur qui n'attend que nous, que nous décidions d'y accéder et non d'attendre que quelques autres décident pour nous ce à quoi nous avons droit... Jean-Paul Thouny Principales sources:
Pour aller plus loinL'homme qui parle avec les plantes Des choux de 45 kilos, des pieds de maïs de 5 mètres de haut, des feuilles de blettes d'un mètre et demi, 7 ou 8 courges par pied, 150 tonnes d'oignons par hectare, lorsque la récolte moyenne est de 16 tonnes à l'hectare, etc. L'homme qui peut accomplir ces prodiges par des techniques respectueuses de l'environnement s'appelle don José Carmen. D'où cet agriculteur mexicain tire-t-il ses connaissances ? Comment parvenir à de tels résultats ? Chimistes, agronomes et ingénieurs ont suivi le travail de cet homme hors du commun. Ce livre expose leurs observations et détaille les expériences répétées avec succès dans le cadre scientifique de la plus importante université d'agronomie du Mexique. Quelques-uns des savoir-faire de don José Carmen présentés dans ce livre:
Ce livre ne se trouvant pratiquement plus, car épuisé et non réédité, vous pouvez le télécharger en .pdf avec le lien suivant : www.agniculture.net |
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | ZZZ | Patrick Gross | Patrick Gross | Aide nécessaire. | Ouvert. |
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | ZZZ | Création, [1]. |
1.0 | Patrick Gross | ZZZ | Première publication. |