Selon le conteur et auteur de livres sur les OVNIS Jean Ferguson, de la région, les faits suivants se sont produits près du Lac d'Abitibi, qui se trouve entre l'Ontario et le Québec au Canada, en 1939 ou 1940, un dimanche après-midi entre le 8 et le 10 janvier, vers 14:30, par une belle journée très froide de -50°C avec un beau soleil.
Les témoins sont deux bûcherons métis, Hormidas L. et Damase Landry.
Ils marchaient en raquettes sur la neige dans la forêt, et épuisés, ils ont coupé quelques branches de sapin pour s'asseoir dans la neige. Ils ont alors vu sortir des sapins un loup énorme entièrement blanc qui semblait chercher quelque chose. Ce loup s'est arrêté à environ 35 mètres des témoins, et s'est assis dans la neige.
Tout à coup, de petits hommes tout habillés en vert avec des costumes "gonflés" de couleur vert foncé sont sortis de la forêt. Ils étaient au moins six, et mesuraient dans les 80 centimètres. Ils avaient de petits yeux bridés et la peau jaune comme les Asiatiques, des oreilles comme de petits triangles tombant, de tous petits mentons, et des têtes quasiment plates. Leurs membres étaient chétifs et des doigts sans jointures et courts. Il ne sortait pas de vapeur de condensation de leur bouche. Ils étaient tous identiques, comme s'ils avaient été fabriqués en série.
A leur vue, le loup est devenu agressif, le poil hérissé, montrant ses crocs. Le petit groupe s'est arrêté, leurs regards se sont orienté vers les deux bûcherons, mais comme s'ils ne les voyaient pas vraiment. Ils se sont ensuite retournés en direction du loup et l'ont montré du doigt, en parlant entre eux, très vite, dans une langue qui ressemblait à de l'Algonquin.
L'un des personnages s'est placé en avant du groupe vers le loup, sans être bloqué dans la neige malgré ses petits pieds non équipés de raquettes. Il est arrivé à quelques pieds du loup et a levé la main en formulant des mots. Sur ce ce le loup enragé a sauté sur lui et l'a mis en pièce, lui déchirant les bras, les jambes et les entrailles qui sont tombées dans la neige, sans dégager aucune vapeur de condensation.
Damase Landry a cassé une branche et l'a jeté vers le loup en criant. L'animal a fait un saut et s'est mis à courir.
Les autres êtres ont passé largement cinq minutes à regarder les restes de leur ami, puis l'un d'entre eu a tiré un sac de son vêtement et s'est mis à ramasser les morceaux éparpillés. A cette vue, Hormidas s'est mis à vomir de dégoût. Quand le petit être a eu fini de recueillir les membres de la victime, il s'est relevé, a marché vers les sapins, suivi des autres, et ils ont été perdus de vue dans le sous-bois.
Les deux témoins ont alors suivi leur trace, tandis que les humanoïdes marchaient trop vite pour être rattrapés, et étaient devant à une bonne distance, visibles à travers les branches. Ils ont été soudainement perdus de vue, et quand les deux témoins sont arrivés où leurs traces prenaient fin, ils ont trouvé qu'elles se terminaient dans un grand cercle, la neige ayant été éjectée autour. Le cercle formait comme une cuvette creuse, jusqu'au sol. Les témoins se sont arrêtés au bord de ce trou, et à ce moment-là, ils ont entendu comme un bruit d'explosion.
Revenu sur les lieux où le loup avait attaqué l'un des petits hommes, Damase L. a trouvé un morceau de tissu de son vêtement et du sang brun dans la neige.
Un rapport indique que ce morceau était semblable à un caoutchouc gélatineux, de couleur verte, que Damase L. a essayé de le partager, mais il n'a pas pu être coupé en deux, pas même avec une hache.
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[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue Belge indique qu'entre le 8 et le 10 janvier 1940, au Canada, près du lac Abitibi, L. Hormidas et Damase Landry se trouvaient en expédition vers 02:30 de l'après midi et par –60° Fahrenheit, circulant raquettes au pieds dans la neige.
Ils ont d'abord vu sortir d'un sapinage un loup presque blanc, le loup s'est arrêté et s'est assis sur la neige en regardant le sapinage d'où il est sorti. Il était à moins de 35 mètres des témoins.
Sont sortis du bois six petits hommes mesurant deux pieds à deux pieds et demi, tous pareils, costumés de vert foncé. Ils ont des yeux bridés et des faces jaunâtres. Le loup en a été tout hérissé. Les petits hommes n'avaient pas l'air de voir les témoins. Ils se sont tourné vers le loup et l'ont montré du doigt. Ils parlaient très vite entre eux.
L'un d'eux s'est avancé, jusqu'à quelques pieds du loup, a levé la main en prononçant des mots. Le loup s'est jeté sur le petit bonhomme et l'a déchiré: les membres, les entrailles, tout ça tombait sur la neige. Aucune buée ni vapeur ne s'est élevée de cet être tué, les 5 survivants n'ont pas bronché et ont regardé. Leur haleine ne faisait pas de buée non plus.
Damase a lancé une branche morte vers le loup qui est parti en hurlant. Un des petits bonshommes a sorti une espèce de sac de son vêtement et s'est mis à ramasser les morceaux éparpillés de la petite créature tuée. L. Hormidas n'en pouvant plus, a vomi de dégoût.
Les 5 petits hommes sont partis vers le sapinage. Les deux témoins ont chaussé leurs raquettes et les ont suivi. C'était aisé: ils laissaient de toutes petites marques dans la neige. Ils ont abouti à un grand creux dans le sol, exempt de neige, et les traces s'arrêtaient là.
En revenant sur les lieux du drame, Damase a trouvé un petit bout de caoutchouc gélatineux de la couleur des vêtements des créatures. Il a voulu en donner un bout à Hormidas, mais il a été incapable, même à la hache, de le couper en deux.
Godelieve van Overmeire indique que ceci est un résumé succinct et que la source est Jean Ferguson dans "Enigmes du temps présent", éditions. Leméac, Ottawa, 1979, pages 75 à 82.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue que près du lac Abitibi, Québec, Canada, entre le 8 et le 10 janvier 1940, à 14:30, L. Hormidas et Damase Landry sont sortis patiner sur la neige dans un champ isolé près du lac, quand ils se sont arrêtés pour se reposer près d'un secteur couvert de forêts ils ont vu un grand loup blanc quittant les bois, marchant très lentement et regardant en arrière dans la direction des arbres. Le loup s'est a arrêté environ 35 mètres des témoins. Soudainement, six petits hommes ont émergé hors des bois, de seulement environ 2.5 pieds de haut, tous d'aspect semblable, avec des visages jaunâtres et portant des tenues vert-foncé. Le loup s'est tenu comme s'il était paralysé regardant les petits personnages. Les petits hommes apparemment n'ont pas vu les témoins. Ils ont regardé le loup et ont ont pointé leurs doigts vers lui. Ils ont parlé très rapidement entre eux dans une langue inintelligible et rapide. Un des êtres a avancé jusqu'à quelques pieds du grand loup, l'être a alors levé sa main et a prononcé quelques mots vers le loup. Soudainement le loup s'est jeté sur l'être, le dépeçant rapidement, dispersant ses restes sur la neige. Une vapeur ou une brume étrange a été vue est vue s'élevant de l'être morts et les cinq autres petits hommes ont trébuché vers l'arrière et regardé fixement le loup. Damase a soudainement saisi une branche morte d'arbre et l'a jetée au loup qui s'est éloigné et a disparu dans les bois, hurlant en même temps. Un des petits hommes a alors sorti un petit sac semblant être en plastique et a approché les restes de l'humanoïde mort; il en a rassemblé les morceaux dispersés et les a place dans le sac. A moment Hormidas ne peut plus se contenir et vomit. Les 5 petits hommes marchent alors loin dans les bois. Les deux témoins mettent leurs bottes de ski et suivent les petits hommes, il est facile de les suivre puisqu'ils laissent de petites traces sur la neige. Les traces mènent à une grande cavité sur le sol, exempte de la neige, les traces s'arrêtent là. En examinant le secteur où le petit humanoïde a été tué par le loup, Damase trouve un morceau d'une petite substance genre caoutchouc gélatineuse également verte de couleurs. Ils ont essayé de le couper en deux avec une hache mais n'on pas pu. Le sort de cette preuve n'est pas connu.
Albert Rosales indique que la source est Jean Ferguson, "Enigmas of the present times", 1979.
Il ajoute que selon l'ufologue Québecois Donald Cyr, l'incident s'est probablement produit en 1939, et que "Cyr pense que c'était un événement réel puisqu'il a parlé aux membres de famille des deux témoins impliqués et ils ont confirmé la plupart des détails incroyables. (Selon Cyr 2003)."
[Ref. dc1:] DONALD CYR:
Date: Janvier 1939 Lieu: Lac Abitibi Québec C'était un dimanche après-midi, vers 14 heures 30, par une belle journée très froide avec un beau soleil. Les témoins deux bûcherons qui marchaient en raquettes dans la forêt. Monsieur Hormidas L et Damase Landry d'origine Métis. Les deux hommes épuisé ont coupé quelque branche de sapin pour s'asseoir dans la neige. Ils ont vu sortir du sapinage un loup énorme tout blanc qui semblait cherché quelque chose. le loup s'est arrêté et il s'est assis dans la neige Tout à coup, des petits hommes tout habillés en vert avec des costumes gonflés sortirent de la forêt. il y avait au moins six créatures et devait mesurer deux pieds et demi. Ils avaient des petits yeux bridés et la peau jaune comme les Asiatiques. Ils étaient tous identiques comme des poupées fabriquées dans le même moule. Et des tout-petits, mentons avec la tête large et quasiment plate! Leurs oreilles étaient comme des petits triangles tombant. Leurs membres étaient chétifs et des doigts sans jointures et courts. Il ne sortait pas de vapeur de leur bouche. A leur vu le loup est devenu agressif en montrant les crocs. Le petit groupe ce sont arrêtés et leurs regards s'est orienté, vers les deux bûcherons. Mais sans vraiment les voir. Et puis ils se retournés en direction de l 'animal et ils ce l'ont montré dans un geste de doigts. Et au même moment la bande se mit à se parler entre eux dans une langue qui ressemblait à de l 'Algonquin. Ils parlaient très vite. Il y en a un qui s'est placé en avant du groupe vers le loup. Le bonhomme ne calait pas dans la neige dans ses petits pieds chassés serrés. La Créature s ' est rendue à quelques pieds du loup et il a levé la main en formulant des mots. Le loup enragé saute et se livra à un véritable boucherie sur le petit homme. Il l ' à déchirer en morceaux, les bras, les jambes et aussi les entrailles qui tomba dans la neige. Elle ne dégageait aucune vapeur. Damase a cassé une branche et là projeté en gueulant après le loup. Il a fait un saut et s'est mis à courir. Les êtres ont passé un bon cinq minutes à regarder les restes de leurs amis. L'un des petits hommes a tirer un sac de son vêtement et s'est mis à ramasser les morceaux éparpillés. Hamidas s'est mis à vomir. Quand la créature a eu fini de recueillir les membres de la victime. Il s'est relevé et a commencé à marcher vers le sapinage et les autres l'ont suivi pour dîsparaitre dans le sous-bois. Mais les humanoïdes marchaient trop vite. Ils étaient devant nos observateurs à une bonne distance on pouvait les déceler à travers les branches. Ils laissaient des traces dans la neige. Tout à coup on ne les apercevait plus. Les deux hommes arrivèrent où finissaient les pistes. Elles se terminèrent dans un grand cercle circulaire. La neige avait été éjectée autour. ¨Ca formait comme une cuvette creuse, jusqu' au sol. Les témoins se sont arrêtés au bord du trou. C'est à ce moment-là qu'Ils entendirent comme une explosion. De retour sur les lieux du drame, un morceau de tissu du vêtement de la créature fut trouvé avec du sang brun dans la neige. Source: Jean Ferguson |
Concernant la date, elle est diversement donnée comme en 1939 ou 1940, un dimanche après-midi entre le 8 et le 10 janvier. Pour janvier 1940, le 8 est un lundi. Pour 1939, le 8 est bien un dimanche; il est donc possible que la date soit plutôt le dimanche 8 janvier 1939 qu'une autre. J'ai cependant gardé la date habituellement donnée, et donnée par la source première Jean Ferguson, afin que les lecteurs cherchant le dossier de ce cas le trouvent à l'année qu'ils chercheront le plus probablement.
Jean Ferguson est né en 1939 et décédé le 13 avril 2003. Ecrivain, poète, conteur, essayiste, pamphlétaire, éditeur, et défenseur de la langue française, avec de lointaines origines amérindienne en Gaspésie, il a été le fondateur du Regroupement des Ecrivains de l'Abitibi-Témiscamingue (1984-1999) - il connaît fort bien la région. Il était détenteur d'un baccalauréat en philosophie de l'Université Saint-Paul d'Ottawa, d'un baccalauréat en pédagogie de l'Université de Montréal et d'un certificat en enseignement du français de l'Université du Québec, et sera longtemps enseignant dans le secondaire.
Outre "Enigmes du temps présent", Jean Ferguson a rédigé d'autres livres, particulièrement sur le sujet des OVNIS, tels que "Tout sur les soucoupes volantes" 1972, "Les humanoïdes: les cerveaux qui dirigent les soucoupes volantes", 1977.
Malheureusement pour la crédibilité de l'histoire, ses livres sur les OVNIS ne montrent pas un ufologue très regardant lorsqu'il cite des affaires de sources parfois frauduleuse sans vraiment chercher à faire la part du vrai et du faux. Hors du domaine OVNI, il a écrit une "L'Algonquin Gabriel Commandant - Biographie Romancée D'un Pionnier De L'Abitibi" en 2003, et dans ce domaine aussi on note des critiques telles que "Entre les mains d'un fabulateur aussi doué que Jean Ferguson, Gabriel Commandant sort de la légende auréolé de mystère. Est-ce que tout est vrai ? Oui, répond l'auteur, tout en concédant que la vie de son héros 'tient plus de la fiction que de la réalité'."
Cela ne suffit évidemment pas à démontrer que l'histoire serait purement inventée, mais telle que l'affaire se présente, je ne sais pas ce que je dois en penser et j'applaudirais volontiers toute personne qui pourrait me montrer avec quelque fait précis pourquoi elle est vraie, ou pourquoi elle est fausse.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 6 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Source primaire non disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 6 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Crédibilité de l'auteur de la source primaire souvent mise en cause. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 6 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Seulement un récit, faits allégués anciens, pas d'indication d'une enquête. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres. Faible crédibilité.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 6 décembre 2007 | Création, [ar1], [go1], [dc1]. |
1.0 | Patrick Gross | 6 décembre 2007 | Première publication. |