Luis Anglada Font, auteur défendant des théories du genre "anciens astronautes", aurait rapporté dans son livre de 1979 "La Realidad de los Ovni a traves de los Siglos" ("La réalité des OVNIS à travers les siècles") qu'à Céret, près de Perpignan, en France, en 1932, un après-midi, un tailleur de bois espagnol, Martin Cabrills, qui vivait dans une cabane avec plusieurs autres hommes vérifiait ses pièges à animaux avec son chien.
Un homme, que Cabrills na'avait jamais vu avant et ne verra plus par la suite, manifestement un chasseur, qui portait un fusil sur l'épaule et plusieurs oiseaux qu'il avait dû abattre, s'est "soudain" approché de lui, 10 minutes avant que le coucher du soleil. Ils ont parlé des meilleurs endroits pour la chasse et d'autres choses banales, puis l'homme a fait ses adieux et Cabrills est retourné dans sa cabine.
Mais il a "soudain" entendu des cris terrifiants. Il a constaté que son chien avait les oreilles dressés et découvrait ses dents, puis le chien s'est mis à hurler. Cabrills ne savait pas trop quoi faire, quand il a entendu "soudain" un cri terrifiant. Il a immédiatement couru vers l'endroit d'où provenait le cri, son chien restant sur place avec sa queue entre ses jambes, manifestement terrifié.
Cabrills est arrivé "à 20 mètres de l'endroit où il a entendu les cris" et a entendu l'homme avec qui il avait discuté précédémment crier en catalan "Deuxeume-estar!" ("Laissez-moi tranquille"), sa voix semblant provenir de quelque part au-dessus et derrière des arbres.
Cabrills a regardé en l'ai mais n'a rien vu, alors qu'il entendait encore la voix de l'homme qui semblait provenir de quelque part dans les airs. Terrifié, incapable de bouger, Cabrills s'est signé à plusieurs reprises. Il a encore entendu trois fois les cris terrifiés de l'homme demander de l'aide, mais sa voix semblait venir d'un point de plus en plus loin et devenait de plus en plus faible. Puis tout a été silencieux.
Le lendemain, Cabrills est allé inspecter les lieux sans son chien qui restait tremblant sous le lit, et a trouvé des traces de pas qui semblaient soudain disparaître à mi-parcours.
Avant cet incident, Martin avait vu d'étranges "boules de feu" se déplacer au-dessus des arbres dans la même zone.
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[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Céret, près de Perpignan, en France, en 1932, dans l'après-midi, "un tailleur de bois espagnol, Martin Cabrills qui vivait dans une cabane avec plusieurs autres hommes vérifiait un jour ses pièges à animaux avec son chien. Un homme, manifestement un chasseur, portait un fusil sur l'épaule et s'est soudain approché de lui. L'homme portait aussi plusieurs oiseaux qu'il avait abattus. Martin rapporte qu'il ne l'avait jamais vu avant ou après. 10 minutes avant que le soleil commence à se coucher, ils ont parlé des meilleurs endroits pour la chasse et d'autres choses banales. Bientôt, l'homme a fait ses adieux et Martin est retourné dans sa cabine quand soudain il a entendu des cris terrifiants. Il se retourna et remarqua que son chien avait les oreilles dressés et découvrait ses dents, le chien commença alors à hurler de panique. Martin était d'abord hésitant et ne savait pas trop quoi faire, quand il entendit soudain un cri terrifiant. Il a immédiatement couru vers l'endroit d'où provenait le cri, son chien est resté derrière lui avec sa queue entre ses jambes, manifestement terrifié pour une raison inconnue. Finalement, il est arrivé à 20 mètres de l'endroit où il a entendu les cris et a entendu l'homme crier en catalan "Deuxeume-estar!" (Laissez-moi tranquille) mais sa voix semblait provenir de quelque part au-dessus et derrière des arbres. Martin leva les yeux et ne put rien voir, mais il pouvait encore entendre la voix de l'homme qui semblait provenir de quelque part dans les airs. Martin se tenait là terrifié incapable de bouger et s'est signé à plusieurs reprises. Son chien était aussi terrifié. Trois autres fois, il entendit les cris terrifiés de l'homme demander de l'aide, mais sa voix semblait provenir d'un point de plus en plus loin et devenait de plus en plus faible. Tout à coup, tout était silencieux. Le lendemain, il alla vérifier la zone (sans son chien qui restait tremblant sous le lit) et trouva des traces de pas qui semblaient soudain disparaître à mi-parcours, apparemment du malheureux étranger. Avant cet incident, Martin avait vu d'étranges "boules de feu" se déplacer au-dessus des arbres dans la même zone."
Albert Rosales indique que la souces rst "Luis Anglada Font, 'La Realidad de los Ovni a traves de los Siglos'".
Il commente: "Une abduction permanente? Traduit par Albert S. Rosales".
Une affaire sans entités vues, avec des "OVNIS" bien vagues, provenant d'un auteur plus féru de "mystères" que de science rigoureuse...
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 11 août 2018 | Patrick Gross | Patrick Gross | Source primaire non disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Crédibilité inconnue.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 11 août 2018 | Création, [ar1]. |
1.0 | Patrick Gross | 11 août 2018 | Première publication. |