En août 1930, en début de matinée, par une belle journée, au hameau de montagne de Montebenichi, à l'ouest d'Arezzo, Italie, une jeune paysanne, alors âgée de 16 ans selon certaines sources, "âgée" selon d'autres, d'Arezzo, était allée près d'une rivière de la montagne à proximité d'Ambrella, pour laver son linge dans l’eau de la rivière, comme elle l’avait fait maintes fois auparavant.
Elle avait nettoyé deux paires de chaussettes en laine noire faites à la main et les avait accrochées à une corde à linge, quand elle a entendu un bruit inhabituel.
Elle a raconté "Tout à coup, j'ai entendu un sifflement dans l'air, et en même temps, j'ai senti un coup de vent par derrière. Pendant un moment, j'ai pensé que le temps avait soudainement tourné. Mais quand j'ai regardé par-dessus mon épaule, je me suis glacée d'effroi. A vingt pas à peine de moi se tenait une structure étrange et scintillante, qui ressemblait à un grande toupie, avec la pointe vers le haut."
"Deux petits hommes sont sortis de la partie inférieure à ce moment-là et ont parlé d'une manière qui semblait être un gazouillis. Ensuite, ils ont enlevé le linge encore humide de la corde à linge et sont remontés dans leur toupie. Ils étaient à peine entrés, que cela sifflait de nouveau très étrangement. Alors qu'un autre coup de vent me frappait, l'étrange toupie s'éleva incroyablement vite, disparaissant quelques instants plus tard."
Elle aurait galement dit que les petits hommes, de 1 mètre de haut environ, seraient sortis de la partie inférieure de l'objet par une porte qui s'était ouverte, d'où une échelle est descendue. Les êtres auraient tourné autour d'elle plusieurs fois. Ila auraient emené les chaussettes volées dans leur engin.
"Comme poussé par la fureur, je suis retourné dans notre village et j'ai raconté mon expérience inhabituelle. Tout le monde a ri de moi, personne ne voulait me croire. J'étais très en colère à ce sujet et je le suis encore aujourd'hui, car j'avais tout vu de mes propres yeux."
La femme aurait raconté cette histoire, en 1930, à un arpenteur des services immobiliers d'Arezzo, Edoardo Lavacchi, qui avait semble-t-il 20 ans à ce moment. Celui-ci aurait entendu parler de l'histoire par un autre habitant de Montebenichi.
Ce serait 53 ans après les faits allégués, en 1983, que Lavacchi ou quelqu'un d'autres aurait rapporté l'histoire à un groupe d'ufologie, suite à la publication d’un article sur un atterrissage d'OVNI similaire dans un journal - probablement La Nazione, le cas étant probablement celui de Cennina en 1954.
Un ufologue italien "sceptique" qui a réalisé un catalogue des RR3 de son pays précise que le témoin avait eu du mal à s'exprimer, que les détails qu'elle avait fournis étaient peu nombreux, et que l'homme n'ayant rapporté les faits que bien plus tard, les souvenirs pouvaient être altérés. De plus l'affaire ressemble beaucoup au cas très connu de 1954 de Cennina, qui est à quelques kilomètres de Montebenichi. L'homme a donc pu mélanger les souvenirs des deux incidents. Il note qu'outre l'altération possible des souvenirs, Il y a la crédibilité incertaine des déclarations de l'homme - Lavacchi sans doute - qui avait peut-être tout inventé,
De son côté le Centro Ufologic Nazionale (CUN) indique qu'il y a eu des recherches sur l'affaire par le S.U.F. de Florence, le C.R.U.V. de Figline Valdarno et le G.A.U. d'Arezzo, coordonnant une enquête de Massimo Beneduci. Ils confirment que les premières nouvelles de l'événement ont été reçu par les ufologues en 1983.
Malgré le silence maintenu sur la question par les habitants de Montebenichi au cours des enquêtes, il semble qu'un chercheur, en utilisant l'amitié de personnes ayant des liens avec la population locale, a reçu la confirmation des faits par certains anciens. De plus, une dame de Florence se souvient de quelque chose comme cela pour avoir lu un article publié à l'époque dans le journal La Nazione.
Telle est l'histoire telle que l'on peut la reconstituer en se basant sur les sources de sondes main sur l'Internet. Mais par chance, il y a eu un rapport écrit sur l'affaire, dont l'ufologue Bruno Mancusi a donné le contenu dans la revue ufologique "OVNIS-Présence" en septembre 1983, dont je dispose. Cette source est beaucoup plus proche des sources primaires et donnes des informations qui manquent dans les sources ultérieures, renforçant la crédibilié de l'affaire sur certain point, J'en donne le contenu donc ci-dessous, l'original complet étant plus bas dans ce dossier
Le 13 août 1983, le quotidien La Nazione de Florence avait publié un article de présentation d'un groupe ufologique local, le Centro Ricerche Ufologiche Caldarnese (CRUV), de Matassino, représentant de la Sezione Ufologica Fiorentina (S.U.F.) pour le Valdarno. Quelques jours plus tard, le CRUV a reçu une lettre d'un certain Edoardo Lavacchi, qui rapportait une rencontre du troisième type ressemblant à celle de Cennina en 1954, mais qui se serait déroulé en 1930.
L'enquête consécitive avait été rédigé par MM. Andrea Pasquini et Sauro Grilli du CRUV, MM. Solas Boncompagni et Roberto Ricci de la SUF, et le Gruppo Avvistamiento Ufo (GAU) d'Arezzo. Cette description de l'enquête par Bruno Mancusi est adaptée du rapport original de la S.U.F.
Le lieu est Montebenichi, Province d'Arezzo, Italie du Centre, la date était la mi-août 1930, l'heure était entre 6 et 8 heures du matin,l'observation avait duré environ Durée: 5 minutes, le témoin était une paysanne d'une quarantaine d'années.
En août - septembre 1930, Edoardo Lavacho, 21 ans, faisait partie d'une équipe effectuant le relèvement tachéométrique des plans cadastraux dans la commune de Bucine pour le compte du bureau du cadastre d'Arezzo. Pendant cette période, tous les gens de la contrée parlaient d'une "histoire" qui serait arrivée à une femme de la région, et se moquaient d'elle. Un des premiers jours de septembre, M. Lavacho put enfin entendre l'histoire de la bouche du témoin:
Elle était en train de faire la lessive dans un petit torrent, l'Ambrella, et venait de laver deux paires de bas de laine noire, tricotés à la main. Elle les a suspendus sur la berge, dans une petite clairière où elle avait tendu un fil de fer entre deux perches, et elle est retournéE au ruisseau. Soudain elle a entendu un fort sifflement et sentit un coup de vent. Elle est remontée sur la berge et a vu à environ 20 mètres "une espèce de toupie posée sur le sol". Cette "toupie" aurait eu un diamètre de cinq ou six mètres et était plus large que haute.
Elle s'en est approchée, intriguée, mais s'est vite arrêtée: de la partie inférieure de l'engin, une une sorte de trappe s'est ouverte, de laquelle est descendue une échelle. Deux petits êtres en sont descendust. Ils émettaient entre eux des sons bizarres. Ils tournèrent plusieurs fois autour de la femme pétrifiée par la peur, l'effleurèrent, toujours en "gazouillant" et, a-t-elle dit à Lavacchi, après "quelques minutes, ils me détachèrent mes bas du fil et les emmenèrent à l'intérieur de la toupie; et ensuite, un autre sifflement, un grand coup de vent, et tout s'éleva verticalement en un instant je ne vis plus rien".
Le témoin était une paysanne analphabète, de petite taille, apparemment saine d'esprit, qui avait été trèS énnervée parce que personne n'avait voulu la croire. M. Lavacchi ne se souvient plus de son nom, peut-être ne lui a-t-il même pas demandé.
Mancusi commente que l'histoire ressemble à une légende, puisqu'on ne connait ni le nom du témoin, ni la date exacte. Les enquêteurs ont cherché d'autres personnes dans la région qui auraient entendu parler de ce cas, ils ont exploré les archives du quotidien La Nazione, le tout sans résultat. Pourtant, indique Mancusi, certains éléments corroboraient le récit de M. Lavachi:
1) Les lieux étaient bien tels qu'il les avait décrits.
2) Des anciens de la région se souvenaient parfaitement qu'il y avait eu là une équipe de géomètres en été 1930.
3) En 1930, on ne parlait pas encore de "soucoupes volantes" ou d'"ovnis", on peut donc écarté l'idée que la femme aurait inventé l'histoire.
4) Il a fallu beaucoup d'insistance des enquêteurs auprès de M. Lavacchi, 75 ans au moment de l'enquête, pour qu'il accepte que son nom soit publié, ce qui rend bien improbable qu'il ait recherché une publicité personnelle. MM. Boncompagni et Ricci avaient été convaincus de sa sincérité.
Un élément très troublant est que 24 ans plus tard, le 1er novembre 1954, une observation presque identique a été rapportée, le lieu étant à seulement cinq ou six kilomètres de Montebenichi: le fameux atterrissage de Cennina. Les analogies sont:
1) Le témoin, Mme Rosa Lotti, tenait dans ses mains deux bas noirs, une paire de chaussure et un bouquet de fleurs. Les ufonautes lui prirent des fleurs et un bas.
2) Ls deux humanoïdes avaient environ un mètre de haut et ils parlaient un langage inconnu.
3) L'engin était aussi une sorte de toupie avec trappe, toutefois, plus haut que large (un "fuseau").
(Bruno Mancusi donne les références des sources correspondant aux deux affaires, je le ai infiquée plus bas dans ce dossier.)
Bruno Mancusi commente encore:
"Les curieuses analogies entre les cas Montebenicchi et Cennina, le fait que le premier événement remonte tout de même à cinquante quatre ans et qu'au cours d'une aussi longue période les souvenirs peuvent s'estomper et ne plus obligatoirement relater les faits originaux, tout cela peut donc permettre de formuler les deux hypothèses suivantes:"
"- M. Lavacchi aurait décrit le cas de Cennina mais en le situant par erreur en 1930 à Montebenichi."
"- M. Lavacchi a pu avoir connaissance du cas de Cennina et aurait pu confondre les caractéritiques de ce cas avec celle du cas dont il voulait parler et qui remonte à 1930."
Pour la première, il explique:
"La réponse (première hypothèse) figure dans les premières lignes de l'article de la SUF (GdM 152):
"'L'analogie entre les deux cas est telle qu'au moment où nous apprenions la nouvelle, nous étions presque certains que l'auteur de ce témoignage indirect se référait au cas de 54 et avait simplement confondu, de bonne foi, la date. Pourtant, après deux interrogatoires du témoin en question, nous avons dû nous convaincre qu'il ne s'agissait pas d'une méprise de date, mais bien d'un événement qui remontait à 1930...'"
"M. Lavacchi n'a donc pas confondu les deux cas.
Pour la deuxième hypothèse, celle que le cas de Cennina aurait "déteint" sur celui de Montebenichi, il l'estime plausible mais, "elle m'apparaît peu probable au vu de l'extrait suivant de la lettre de M. Lavacchi au CRUV:"
"'Un de mes collègues, le géom. Padelli aujourd'hui décédé, auquel je racontais tout de suite le fait parce qu'il faisait des relèvements justement à Cennina, était naturellement incrédule, mais lorsqu'en 1954 nous sûmes que dans cette localité il s'était passé un événement analogue, il revint un peu sur son opinion!'"
Il précise que M. Lavacchi aurait déjà fait le rapprochement en 1954. Il ajoute que les enquêteurs considèrent plutôt que le cas de Montebenichi ait influencé celui de Cennina, puisque Mme Lotti avait 16 ans en 1930, et qu'il est donc probable qu'elle ait entendu parler de l'histoire de 1930.
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[Ref. op1:] BRUNO MANCUSI, "OVNI PRESENCE":
Rencontre rapprochée du 3e type en 1930Le 13 août 1983, le quotidien florentin "La Nazione" publiait un article de présentation d'un groupe ufologique, le Centro Ricerche Ufologiche Caldarnese (CRUV) de Matassino (Figline Valdarano), représentant de la Sezione Ufologica Fiorentina (S.U.F.) pour le Valdarno. Quelques jours après, le CRUV reçut une lettre d'un certain Edoardo Lavacchi qui se référait à un cas d'atterrissage ressemblant à celui de Cennina en 1954 (1), mais qui se serait déroulé en 1930. L'enquête dont la description sui a été effectuée par MM. Andrea Pasquini et Sauro Grilli du CRUV, MM. Solas Boncompagni et Roberto Ricci de la SUF et le Gruppo Avvistamiento Ufo (GAU) d'Arezzo. La description de l'enquête est adaptée du rapport original de la S.U.F (2). Lieu: Montebenichi (Province d'Arezzo, Italie du Centre). LES FAITS En août - septembre 1930, M. Edoardo Lavacho, 21 ans, faisait partie d'une équipe effectuant le relèvement tachéométrique des plans cadastraux dans la commune de Bucine pour le compte du bureau du cadastre d'Arezzo. Pendant cette période, tous les gens de la contrée parlaient d'une "histoire" qui serait arrivée à une femme de la région et se moquaient d'elle. Un des premiers jours de septembre, M. Lavacho put enfin entendre "l'histoire" de la bouche du témoin. Cette femme était en train de faire la lessive dans un petit torrent, l'Ambrella, et venait de laver deux paires de bas de laine noire, tricotés à la main. Elle les suspendit sur la berge, dans une petite clairière où elle avait tendu un fil de fer entre deux perches et retourna au ruisseau. Soudain elle entendit un fort sifflement et sentit un coup de vent. Elle remonta sur la berge et vit à environ 20 mètres "une espèce de toupie posée sur le sol". La "toupie" devait avoir un diamètre de cinq ou six mètres et était plus large que haute. Elle s'approcha, intriguée, mais s'arrêta bien vite: de la partie inférieure s'ouvrit une sorte de trappe de laquelle descendit une échelle. Deux petits êtres en descendirent, ils émettaient entre eux des sons bizarres. Ils tournèrent plusieurs fois autour de la femme (naturellement pétrifiée par la peur), l'effleurèrent, toujours en "gazouillant" et après "quelques minutes, ils me détachèrent mes bas du fil et les emmenèrent à l'intérieur de la toupie; et ensuite, un autre sifflement, un grand coup de vent, et tout s'éleva verticalement en un instant je ne vis plus rien". Le témoin était une paysanne analphabète, de petite taille, apparemment saine d'esprit, qui s'énervait parce que person- |
ne ne voulait la croire. M. Lavacchi ne se souvient plus de son nom, peut-être ne lui a-t-il même pas demandé. COMMENTAIRE Cette histoire ressemble à une légende, en effet on ne connait ni le nom du témoin, ni la date exacte. Les enquêteurs ont cherché d'autres personnes dans la région qui auraient entendu parler de ce cas et fouillèrent les archives du quotidien La Nazione, le tout sans résultat. Pourtant, certains éléments corroborent le récit de M. Lavacchi: 1) Les lieux sont bien tels qu'ils ont été décrits. 2) Des anciens de la région se souviennent parfaitement qu'il y avait eu une équipe de géomètres en été 1930. 3) En 1930, on ne parlait pas encore de "soucoupes volantes" ou d'"ovnis". L'hypothèse d'un canular monté par la femme est donc à exclure. 4) M. Lavacchi est âgé maintenant de 75 ans, il y fallu beaucoup de persuasion de la part des enquêteurs pour lui faire accepter de publier son nom. Il ne recherche donc pas la publicité. MM. Boncompagni et Ricci sont convaincus de sa sincérité. Mais le plus troublant est que 24 ans plus tard, le 1er novembre 1954, une observation presque identique fut faite à seulement cinq ou six kilomètres de Montebenichi: le fameux atterrissage de Ceccina [Cennina]! On y trouve les analogies suivantes (1): a) Le témoin, Mme Rosa Lotti, tenait dans ses mains deux bas noirs, une paire de chaussure et un bouquet de fleurs. Les ufonautes lui prirent des fleurs et un bas. b) Ls deux humanoïdes avaient environ un mètre de haut et ils [Légende de la photo:] Il Giornale dei Misteri a consacré la "une" de son n° 152 à ce cas. |
parlaient un langage inconnu. C) L'engin était aussi une sorte de toupie avec trappe, mais il était plus haut que large ("fuseau"). Le cas de Montebenichi, s'il s'avère authentique, serait d'une grande importance pour l'ufologie italienne, en effet, non seulement il éclaire d'un jour nouveau le cas de Cennina, mais encore, c'est le premier cas conne de RR3 dans la Péninsule! Jusqu'ici la première observation d'humanoïdes en Italie au XXe siècle était celle de M. Luigi Rapuzzi à Ravéo (Frioul), le 14 août 1947 (3). A ma connaissance, il n'y a eu que neuf cas de RR 3 recensés dans le monde entre 1900 et 1946 (4). Bruno Mancusi BIBLIOGRAPHIE (1) S. Boncompagni, S. Conti, M. Coppetti, F. Lamperi. R. Ricci et P.L. Sani, UFO in Italia. Vol II, 191 U, Corrado Tedeschi, Florence, 1980. La description des faits est inexacte dans les livres suivants: M. Carrouges, Les Apparitions de Martiens, pp. 109, 120, Fayard, Paris, 1963; J. Guieu, Black-out sur les soucoupes volantes, p. 233, Omnium Littéraire, Paris 1972; R. Pacaut, Ils ont rencontré des extraterretres, p. 208, Alain Lefeuvre, Nice 1975; C. Garreau, Alerte dans le ciel, nouvelle éd. p., p. 256, Alain Lefeuvre, Nice 1981. (2) SUF, Il Giornale dei Misteri n° 152, 5 (1984). (3) S. Boncompagni, S. Conti, F. Lamperi, R. Ricci et P.L. Sani, UFO in Italia, Vol, 1, 17 Corrado Tedeschi, Florence 1974; G. Creighton dans En quête des humanoïdes, p. 227, C. Bowen (éd), J'Ai Lu, Paris 1974; P.L. Sani, Il Giornale dei Misteri, n° 56, 6 (1975). (4) M. Bougard, Histoire générale des O.V.N.I., tome, 1 pp 224-263, Encyclopédies et Connaissances, Paris 1978. ADDITIF Les curieuses analogies entre les cas Montebenicchi et Cennina, le fait que le premier événement remonte tout de même à cinquante quatre ans et qu'au cours d'une aussi longue période les souvenirs peuvent s'estomper et ne plus obligatoirement relater les faits originaux, tout cela peut donc permettre de formuler les deux hypothèses suivantes: - M. Lavacchi aurait décrit le cas de Cennina mais en le situant par erreur en 1930 à Montebenichi. - M. Lavacchi a pu avoir connaissance du cas de Cennina et aurait pu confondre les caractéritiques de ce cas avec celle du cas dont il voulait parler et qui remonte à 1930. C'est Bruno Mancusi qui répond: "La réponse (première hypothèse) figure dans les premières lignes de l'article de la SUF (GdM 152):
M. Lavacchi n'a donc pas confondu les deux cas, mais votre seconde hypothèse (le cas de Cennina aurait "déteint" sur celui de Montebenichi) est plausible. Toutefois, elle m'apparaît peu probable au vu de l'extrait suivant de la lettre de M. Lavacchi au CRUV:
M. Lavacchi aurait déjà fait le rapprochement en 1954. Les enquêteurs considPrent plutôt que le cas de Montebenichi ait influencé celui de Cennina (Mme Lotti avait 16 ans en 1930, il est donc probable qu'elle ait entendu parler de cette histoire")". |
[Ref. it1:] "ITACAT", MAURIZIO VERGA:
3001. AOÛT 1930 MATT. IR3 INS./N.AF.BUCINE (AR), Montebenichi - Une vieille fermière lavait le linge dans un ruisseau: elle venait de suspendre deux paires de chaussettes noires sur un fil tendu entre deux pôteaux, quand soudain elle entendit un sifflement fort et une rafale. A une vingtaine de mètres, elle vit une sorte de "toupie" posée au sol. Dans la partie inférieure de l'objet s'ouvrit une porte d'où descendit une échelle par laquelle deux êtres étranges sont descends, d'un mètre de haut environ. Ils ont tourné plusieurs fois autour de la tête, la touchant et émettant des "gazouillis". Après quelques minutes, ils ont tiré les chaussettes par-dessus le fil et les ont amenés à l'intérieur de l'objet, qui a décollé verticalement, produisant un sifflement et une rafale. (GdM 14, 152, 5-10)
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Version originale:
3001. AGOSTO 1930 MATT. IR3 INS./N.AF.BUCINE (AR), Montebenichi - Un’anziana contadina stava lavando dei panni in un torrente: aveva appena steso due paia di calze nere su un filo di ferro steso fra due pali, quando, improvvisamente, sentì un forte sibilo ed una ventata. A circa venti metri di distanza vide una specie di "trottola" appoggiata sul terreno. Nella parte inferiore dell’oggetto si aprì una porta, dalla quale calò una scala, tramite cui scesero due strani esseri, alti circa un metro. Girarono attorno alla teste più volte, sfiorandola ed emettendo dei "cinguettii". Dopo qualche minuto, staccarono le calze stese sul filo e le portarono all’interno dell’oggetto, che decollò verticalmente, producendo un fischio ed una ventata. (GdM 14, 152, 5-10)
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[Ref. cu1:] "CENTRO UFOLOGICO NAZIONALE":
1930 AR 01 - Août 1930 - Montebenichi - Entre 06h00 et 08h00 - RR-3Le cav. Edward Lavacchi, de Florence, raconte qu'alors qu'il était pour son travail dans la région de Montebenichi, à l'été 1930, il a pu entendre directement l'histoire d'une femme qui peu avant avait été témoin d'une rencontre rapprochée. Alors qu'elle lavait des vêtements au torrent Ambrella, entre 6 et 8 heures du matin, elle a entendu un sifflement fort et a senti une rafale; dressé sur le rivage, à une vingtaine de mètres, elle a vu "une sorte de toupie reposant sur le sol", dont la partie inférieure avait une sorte de trappe ouverte à partir de laquelle se trouvait une petite échelle. Deux petits êtres ont émergé, d'environ un mètre de haut, émettant des sons étranges. Ils ont tourné autour d'elle plusieurs fois, l'ont, "touchée", puis ont saisi une paire de bas de laine accrochés sur un un fil, revenant finaolement dans l'objet, qui "après un sifflement et un autre souffle" a décollé pour disparaître rapidement de vue. Malgré le silence maintenu sur la question par les habitants de Montebenichi au cours des enquêtes, il semble qu'un chercheur, en utilisant l'amitié de personnes ayant des liens avec la population locale, a reçu la confirmation des faits par certains anciens. De plus, une dame de Florence se souvient de quelque chose comme cela pour avoir lu un article publié à l'époque dans le journal "La Nazione". (Coordination des enquêtes menées par le S.U.F. de Florence, le C.R.U.V. de Figline Valdarno et le G.A.U. d'Arezzo. Enquête Massimo Beneduci. Premières nouvelles de l'événement reçu par les chercheurs en 1983- (37)) |
Version originale:
1930 AR 01 - Agosto 1930 - Montebenichi - Tra le 06:00 e le 08:00 - IR-3Il Cav. Edoardo Lavacchi, di Firenze, raccont• che, mentre si trovava per motivi di lavoro nella zona di Montebenichi, nell'estate del 1930, ebbe modo di ascoltare direttamente il racconto di una donna, testimone poco tempo prima di un incontro ravvicinato. Mentre stava lavando i panni presso il torrente Ambrella, tra le 6 e le 8 del mattino, ud un forte sibilo ed avvert una ventata; risalita sulla sponda vide, a circa venti metri, "una specie di trottola appoggiata al terreno", dalla cui parte inferiore si apr una specie di botola dalla quale cal• una scaletta. Ne uscirono due piccoli esseri, di altezza intorno al metro, che emettevano strani suoni. Le girarono attorno pi— volte, la "sfiorarono", e poi staccarono un paio di calze di lana appese ad un filo rientrando infine nell'oggetto che, "dopo un fischio e un'altra ventata" decoll• sparendo rapidamente di vista. Nonostante il silenzio mantenuto sulla vicenda dagli abitanti di Montebenichi durante le indagini, pare che un ricercatore, avvalendosi dell'amicizia di persone imparentate con gente del posto, abbia avuto conferma dei fatti da parte di alcuni anziani. Inoltre, una signora di Firenze afferma di ricordare un fatto del genere per averne letto su di un articolo pubblicato all'epoca nel quotidiano "La Nazione". (Inchieste coordinate, condotte dal S.U.F. di Firenze, dal C.R.U.V. di Figline Valdarno e dal G.A.U. di Arezzo. Inchiesta di Massimo Beneduci. Prima notizia del fatto ricevuta dai ricercatori nel 1983-(n.37)) |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Montebenichi, Italie, en août 1930, le matin, Une fermière âgée lavait quelques casseroles et de la blanchisserie dans un ruisseau quand elle a entendu un sifflement et a senti un fort jet de vent. Elle a alors vu, à 20 mètres d'un engin en forme de toupie sur le sol. Sur la partie inférieure de l'objet une trappe a été ouverte et une échelle a été abaissée au sol. Deux étranges petits êtres sont alors apparus. Ils ont tourné et ont marché vers le témoin en la frôlant comme ils marchaient près d'elle. Les deux émettaient des sons étranges de "pépillements". L'un d'eux a attrapé un bas que le témoin avait été laver et l'a ramené à l'intérieur de l'objet. L'objet a alors décollé en émettant un fort son de sifflement."
Albert Rosales indique que la source est "Maurizio Verga, Itacat".
[Ref. pf1:] PAOLO FIORINI:
Toutes les autres RR-III italiennes pour la période 1900-1950 ont été collectées par les ufologues seulement plusieurs années plus tard: [... autres cas ...]; le cas de Monte Benichi, Arezzo, d'août 1930, aussi tardivement que 1984. |
[Ref. js1:] JEAN SIDER:
L'auteur indique qu'en 1930, en été, au matin, à Montebenichi, Bucine, Arezzo, Italie, il y a eu une rencontre rapprochée du troisième type.
Il indique que cette observation a été recueillie de la bouche même du témoin par M. Edoardo Lavacchi, 21 ans, lequel en a communiqué les détails par lettre en 1983 à une association privée italienne, le CRUV, et que cela a été révélé dans le journal de Florence, La Nazione, du 13 août 1983.
Il indique que Mr. Lavacchi faisait partie d'une équipe de géomètres qui se trouvait à Montebenichi peu de temps après l'incident, et une contre-enquête de deux groupes privés italiens, le CRUV de Valdarno et le GAU d'Arezzo a confirmé son authenticité.
Le récit est qu'une fermière d'environ 40 ans lavait son linge dans un petit cours d'eau lorsqu'elle a entendu un bruit de sifflement et a éprouvé l'impression d'un puissant déplacement d'air. Puis, elle a vu à 20 mètres d'elle un objet en forme de toupie posé au sol. Dans la partie basse de l'objet, un panneau s'est ouvert, une échelle a été abaissée jusqu'au sol, et deux petits êtres étranges sont apparus.
Ils se sont mis à marcher, puis ont changé de direction pour se diriger vers la vieille femme, l'effleurent au passage, et la dépassant. Ils ont émis de curieux sons qui évoquaient des gazouillements. L'un d'eux s'est emparé d'un bas que la femme venait de laver, et les deux créatures ont alors fait demi-tour et regagné leur machine en emportant le bas.
Puis la "grosse toupie" a décollé en émettant le même bruit de sifflement déjà entendu au début de l'incident.
Jean Sider indique que les sources sont "UFO Notiziario, XXXVIII, 47, octobre-novembre 2003, p. 35; et Il Giornale dei Misteri, n° 152, p. 5, 1984."
Il commente qu'il est surprenant que le scénario de ce cas est presque identique à celui d'une autre RR3 italienne "post-arnoldienne" enregistrée le 1 novembre 1954 lors de la grande vague de soucoupes volantes sur l'Europe occidentale, à Cennina, dans la même province d'Arezzo. Le témoin était aussi une femme, Mme Rosa Lotti, qui se rendait au cimetière local fleurir une tombe, et en cours de route elle a enlevé ses chaussures et sa paire de bas pour traverser un ruisseau, puis deux petits êtres ont jailli d'un engin volant en forme de fuseau (comme une "carotte" de bureau de tabac), et lui ont volé quelques fleurs et un bas. Il indique que la source pour cet incident est "Sider 5, pp. 123-124, selon une enquête de Pier Luigi Sani et Roberto. Pinotti; voir aussi le texte de Roberto Conti dans FSR vol. 18, n° 5, 1972, p. 11, publié initialement dans "Giornale dei Misteri", n° 17, 1972."
[Ref. sc1:] "SOCIETA COOPARATIVA DRAMATICA FILARMONICA DI AMBRA":
1/8/1930 "Le Cav. Edward Lavacchi, de Florence, a déclaré qu'alors qu'il était en affaires dans le secteur de Montebenichi, à l'été 1930, il a eu l'occasion d'entendre directement l'histoire d'une femme, témoin peu avant d'une rencontre rapprochée. Alors qu'elle se lavait des vêtements à la rivière Ambrella, entre 6 heures et 8 heures, elle entendit un sifflement fort et sentit un coup de vent; elle a vu posé sur la rive à une vingtaine de mètres, "une sorte de toupie reposant sur le sol," à partir du fond de laquelle s'est ouvert une sorte de trappe d'où est descendue une échelle. Il en sortit deux petits êtres, d'environ un mètre de hauteur, émettant des sons étranges. Ils l'ont encerclée plusieurs fois, la "frolant", puis sont partis avec une paire de bas de laine suspendus par un fil retournant finalement à l'objet qui, "après un sifflement et une autre rafale" a décollé pour disparaître de la vue. Malgré le silence entretenu par les habitants de Montebenichi sur la question au cours de l'enquête, il semble qu'un chercheur, en utilisant l'amitié de personnes liées à la population locale, a reçu la confirmation des faits par certaines personnes âgées. En outre, une dame de Florence prétend se souvenir d'une d'avoir lu quelaue chose dans un article publié à l'époque dans le journal "La Nazione". (Coordonnées des enquêtes, menées par le S.U.F. de Florence, le C.R.U.V. Figline Valdarno et G.A.U. d'Arezzo. Enquête Massimo Beneduci. Premières nouvelles de l'incident reçu par les chercheurs en 1983 - (37))" (Cas 01 AR 1930-1930 Août - Montebenichi - Entre 06h00 et 08h00 - RR-3) |
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
En août 1930 - Montebenichi, ItalieEn août 1930 08:00 Montebenichi, Italie OVNI en forme de toupie atterrit, porte tombe, deux humanoïdes descendent échelle, volent Calze Steso. Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un objet en forme de toupie a été observé dans un secteur résidentiel pendant deux minutes. Deux êtres ont été vus. Classification Hynek: RR3 Classification Vallée: RR3 |
Les sources sont indiquées comme: "Verga, Maurizio, Italian UFO Catalogue" and "Hatch, Larry, *U* computer database, Auteuor, Redwood City, 2002".
[Ref. ud2:] SITE WEB "UFODNA":
Août 1930 - Montebenichi, ItalieAoût 1930 08:00 Montebenichi, Italie Une fermière âgée lavait quelques casseroles et de la blanchisserie dans un ruisseau quand... Une fermière âgée lavait quelques casseroles et de la blanchisserie dans un ruisseau quand elle a entendu un sifflement et a senti un fort jet de vent. Elle a alors vu, à 20 mètres d'un engin en forme de toupie sur le sol. Sur la partie inférieure de l'objet une trappe a été ouverte et une échelle a été abaissée au sol. Deux étranges petits êtres sont alors apparus. Ils ont tourné et ont marché vers le témoin en la frôlant comme ils marchaient près d'elle. Les deux émettaient des sons étranges de "pépillements". L'un d'eux a attrapé un bas que le témoin avait été laver et l'a ramené à l'intérieur de l'objet. L'objet a alors décollé en émettant un fort son de sifflement. Classification Hynek: RR3 |
La source est indiquée comme "Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database".
[Ref. ta1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT":
Date: Août 1930 Lieu: Montebenichi Italie Heure: matin Résumé: Une agricultrice âgée lavait des casseroles et du linge dans un ruisseau lorsqu'elle entendit un sifflement et sentit un fort jet de vent. Elle a ensuite vu, à 20 mètres de distance, un engin en forme de toupie sur le sol. Sur la partie inférieure de l'objet, une trappe était ouverte et une échelle était descendue au sol. Deux étranges êtres courts sont alors apparus. Ils se sont retournés et ont marché vers le témoin en la frôlant en passant. Les deux êtres ont émis des sons étranges de type "gazouillis". L'un d'entre eux a saisi un bas que le témoin avait lavé et l'a ramené à l'intérieur de l'objet. L'objet a ensuite décollé en émettant un fort sifflement. Source: Maurizio Verga, Itacat |
[Ref. hh1:] HARTWIG HAUSDORF:
L'auteur indique qu'alors que le mystère OVNI n'existait pas encore, une jeune paysanne, alors âgée de 16 ans, du hameau de montagne de Montebenichi, à l'ouest d'Arezzo, était allée en une belle journée d'août 1930 en début de matinée près d'une rivière à proximité d'Ambrella. Elle voulait laver son linge dans l’eau cristalline de la montagne, comme elle l’avait fait maintes fois auparavant.
La jeune femme avait nettoyé deux paires de chaussettes faites à la main en laine noire et les avait accroché à une corde à linge quand elle a entendu un bruit inhabituel.
Ce qui est arrivé ensuite, elle l'a décrit plusieurs années plus tard dans une interview avec l'arpenteur Edoardo Lavacchi du bureau d'enregistrement immobilier à Arezzo: "Tout à coup, j'ai entendu un sifflement dans l'air, et en même temps je sentais un coup de vent par derrière. Pendant un moment, je pensais que le temps avait soudainement tourné. Mais quand j'ai regardé par-dessus mon épaule, je me suis glacée d'effroi. A vingt pas à peine de moi se tenait une structure étrange et scintillante, qui ressemblait à un grande toupie, avec la pointe vers le haut. Deux petits hommes sont sortis de la partie inférieure à ce moment-là et ont parlé d'une manière qui semblait être un gazouillis. Ensuite, ils ont enlevé le linge encore humide de la corde à linge et sont remontés dans leur toupie. Ils étaient à peine entrés, que cela sifflait de nouveau très étrangement. Alors qu'un autre coup de vent me frappait, l'étrange toupie s'éleva incroyablement vite, disparaissant quelques instants plus tard. Comme poussé par la fureur, je suis retourné dans notre village et j'ai raconté mon expérience inhabituelle. Tout le monde a ri de moi, personne ne voulait me croire. J'étais très en colère à ce sujet et je le suis encore aujourd'hui, car j'avais tout vu de mes propres yeux."
En ce qui concerne l'expérience de la paysanne, comme elle l'avait signalé à l'expert d'Arezzo mentionné, il avait été mis au courant de l'histoire de la femme maintenant assez âgée par un autre habitant de ce village de montagne.
[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:
Août 1930.BUCINE (TOSCANE : ITALIE) A un endroit nommé Montebenichi, une vieille femme qui étendait du linge qu'elle avait lavée dans le ruisseau entendit un grand bruit et sentit un coup de vent. Quelque chose comme une toupie a atterri à 20 mètres, une ouverture est apparue dans la partie inférieure à partir de laquelle une échelle est descendue et deux êtres de 1 mètre de haut sont descendus. Ils ont fait le tour de la femme à plusieurs reprises, en prononçant des sons de "gazouillis". Ils ont ensuite pris des chaussettes de la corde où elles étaient suspendues et sont retournés dans leur vaisseau, qui a ensuite décollé avec un sifflement. Verga 2007 16 cas 3001 citant Il Picolo 27 mars 1990 + Fabrizio Massi dans Il Giornale dei Misteri 152 p5 + 165 p13 Ricci et Boncompagni dans OVNI Présence 31 p8 citant tous une lettre d'Edoardo Lavacchi qui prétendait avoir entendu l'histoire de la femme en 1930 Évaluation - Un peu plus qu'une rumeur au mieux; probablement un canular imitatif basé sur l'affaire Cennina de 1954 |
[Ref. ra1:] "RAI" TV:
Rencontre rapprochée du Troisième type en 1930. Un autre épisode il y a de nombreuses années, noté dans la casuistique du Centro ufologico nazionale, est aussi ce qu'on appelle "un cas précurseur de rencontre rapprochée du troisième type": la rencontre faite face à une soucoupe volante qui se serait produite à Montebenichi, dans la région d'Arezzo, dans les dix premiers jours d'août 1930. - Voir plus sur: http://www.rainews.it/dl/rainews/articoli/Ufo-oltre-12mila-avvistamenti-in-Italia -from-1900-center-UFO-national-b804081a-c91c-40d2-9339-f620070d67ae.html |
Note: le lien donné mène à une page inexistante.
Force est de constater que des "faiblesses" de crédibilité du cas avaient été envisagées dès le départ par les enquêteurs italiens, et qu'ils avaient trouvés quelques objections à ces possibles faiblesses, comme eplxiqué par Bruno Mancusi.
Force est de constater que des auteurs "sceptiques" rapportant l'affaire utlérieurement ont réitéré ces objections, en passant sous silence les éléments qui les afaiblissaient, et ce, en connaissance de cause parfois puisqu'ils citent la source contenant ces réponses à ces objections. Pourquoi?
Il ne reste à mon sens que deux explications possibles: où bien la paysanne a dit la vérité à Edoardo Lavachi qui a rapporté sensiPrement son histoire, et ce ne pourrait être qu'une renontre avec des extraterrestres, ou bien c'est Edoardo Lavachi qui avce un certain talent, puisqu'il a plutôt convaincu les enquêteurs, qui aurait tout inventé.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Moyenne | 2 octobre 2018 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque de sources primaires (GdM, SUF...). | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 2 octobre 2018 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pratiquement aucune description des entités. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 2 octobre 2018 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique rapporté indirecement. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres ou canular.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 2 octobre 2018 | Création, [op1], [it1], [cu1], [ar1], [pf1], [ud1], [ud2], [sc1], [js1], [ta1], [hh1], [pr1], [ra1]. |
1.0 | Patrick Gross | 2 octobre 2018 | Première publication. |