Diverses sources ufologiques se font écho d'un rapport d'observation receuilli par l'ufologue brésilienne Irene Granchi, qui l'a raconté dans son livre de 1992. Le cas est survenu à Jacarepagua, maintenant un quartier de Rio de Janeiro, au Brésil, en 1930. L'endroit était à cette époque sans électricité et peu habité.
Le récit à été fait à Irene Granchi par une femme, Ruth (ou Rute) Veiga, après le décès de son mari Cesario, l'autre témoin, qui lui avait fait jurer de ne jamais en parler à personne. Ruth Veiga avait estimé que le décès de son mari la déilvrait de son serment. Alors âgée de 70 ans, elle a mis ses deux soeurs au courant de l'incident, et c'est par l'une d'elles qu'Irene Granchi a été informée.
La famille Veiga dormait à son domicile quand tout à coup, elle et son mari avaient été réveillés par une forte lumière bleu-jaune, traversant les mailles du filet ou les stores vénitiens de la fenêtre.
Terrifié, Cesario Veiga a ouvert la fenêtre, et a vu l'OVNI. Il a dit à sa femme ne ne pas s'approcher: "Ne regarde pas! Il y a une chose terrible dehors!". Mais elle a fini par regarder et a vu, abasourdie une énorme "roue", c'est-à dire un objet blanc, rond, avec deux "yeux" monstrueux et une colonne comme une sorte de "jambe" en-dessous.
L'objet s'est déplacé lentement au-dessus de leur pelouse, vers le haut et le bas, et après un certain temps, il s'est dirigé vers le réservoir de Camorim au barrage du même nom.
Pensant que c'était une mauvaise blague d'un voisin, Cesario a d'abord menacé de tirer avec son revolver, puis l'a fait, quatre fois en l'air, et deux fois au sol, afin de chasser le *monstre", mais sans succès. Ruth a dessiné l'objet observé en détail pour Irene Granchi, et a décrit les "yeux" comme étant des trous carrés, "sculptés sous la forme de briques". Elle a dit que l'OVNI était venu et revenu à son jardin à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'il a finalement disparu vers le barrage.
Finalement le couple s'est barricadé dans la maison et a tenté péniblement de retrouver le sommeil.
Le lendemain, Cesario Veiga avait demandé à ses voisins si quelqu'un avait vu quelque chose, mais personne n'avait vu le phénomène étrange. Il a remarqué que l'herbe dans son jardin, de la "capim veludo", était devenue grise, couleur cendre, comme atteinte par une maladie.
Son épouse a constaté qu'elle avait une éruption de petits boutons comme de l'urticaire ou des piqûres d'orties, type d'inflammation qu'elle n'avait eu jusqu'alors. Tout son corps était enflé, y compris ses doigts.
Cesario Veiga a alors décidé de se rendre au poste de police qui s'est chargé d'enquêter, aurait fait un rapport, et aurait délégué à l'affaire le le Dr Lucio Cardoso, qui a affecté deux soldats de la cavalerie pour les protéger au cas où ce "monstre" reviendrait. Mais au bout de 10 jours, comme il ne s'était eien passé, les soldats ont été rappelés.
Ce qui était un "OVNI", au sens d'un objet, a été considéré par un ufologue comme un robot, et comme il est question d'une "jambe" et "d'yeux", un autre ufologues ont considéré que le cas serait une RR3, ce qui revient à considérer l'OVNI comme une "entité", d'oùla présence de cette affaire dans ce catalogue.
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[Ref. ml1:] MARCOS MALVEZZI LEAL:
MEMOIRES DE L'UFOLOGIEDes souvenirs qui ont marqué l'époquepar Marcos Malvezzi Leal UN MONSTRE EFFRAYE UN COUPLE"Ne regarde pas! Il y a une chose terrible dehors!" Ce fut avec cette phrase que M. Cesario Veiga a essayé d'empêcher sa femme de regarder l'objet étrange qui, pour lui, serait un vrai monstre, comme le diront les notes de la police plus tard. L'ufologue Irene Granchi a enquêté sur l'affaire et l'a publiée plus tard dans son livre UFOs e Abduções no Brasil (Editora Novo Milênio, 1992). En 1930, le district de Jacarepaguá, à Rio de Janeiro, était un lieu pratiquement inhabité. Le couple Cesário et Rute Veiga habitaient à proximité, sans électricité. Une nuit, Cesario a été réveillé par une lumière qui a pénétré dans la pièce par les stores vénitiens. Quand il ouvrit la fenêtre, il eut peur et ne laissa pas Rute s'approcher, insistant sur le fait qu'il y avait une "chose horrible" dans la cour. Cependant, sa femme a marché jusqu'à la fenêtre et a vu une roue, comme elle l'avait révélé à Irene Granchi des décennies plus tard, alors que son mari était déjà mort. L'objet avait des ouvertures qui ressemblaient à des "yeux monstrueux" et une sorte de colonne lumineuse, qu'elle a décrite comme "une jambe." L'OVNI a avancé le long de la pelouse, très lentement et tranquillement, en montant et en descendant. Pensant que c'était une mauvaise blague d'un voisin, Cesario a menacé de tirer, et l'a même fait, tirant deux balles en l'air et deux vers le sol - qui nônt pas affecté les mouvements de l'OVNI, bien qu'il pensait avoir vu la jambe unique trembler. A un moment donné, l'objet s'est déplacé vers le barrage de Camorim, puis est revenu à la propriété du couple, encore une fois dans le jardin, en tournant et en montrant une nouvelle fois une ouverture lors de son mouvement vers le haut et vers le bas autour la maison. |
Version originale:
MEMÓRIAS DA UFOLOGIALembranças que Marcaram Épocapor Marcos Malvezzi Leal MONSTRO ASSUSTA CASAL“Não olhe! Há uma coisa pavorosa do lado de fora!” Foi com essa frase que o senhor Cesário Veiga tentou impedir que sua mulher visse o estranho objeto que, para ele, seria um verdadeiro monstro, como diria à polícia horas mais tarde. O caso foi pesquisado pela ufóloga Irene Granchi e posteriormente publicado em seu livro UFOs e Abduções no Brasil [Editora Novo Milênio, 1992]. Em 1930, o bairro de Jacarepaguá, no Rio de Janeiro, era um local praticamente desabitado. O casal Cesário e Rute Veiga morava em um sítio das redondezas, sem eletricidade. Certa noite, Cesário foi acordado por uma luz que penetrava o quarto através das aberturas da veneziana. Ao abrir a janela, ele se assustou e não quis deixar que Rute se aproximasse, insistindo que havia uma “coisa horrível” no quintal. Entretanto, a mulher caminhou até a janela e viu uma roda, como revelara à Irene Granchi, décadas mais tarde, quando seu marido já havia falecido. O objeto tinha aberturas que pareciam “olhos monstruosos” e um tipo de coluna luminosa, que ela descreveu como “uma perna. O UFO avançava pelo gramado, bem devagar e silencioso, movendo-se para cima e para baixo. Pensando tratar-se de uma brincadeira de mau gosto de algum vizinho, Cesário ameaçou atirar, e de fato o fez, disparando duas balas para o ar e duas para o chão – em nada afetando os movimentos do UFO, embora ele acreditasse ter visto a tal perna tremer. Em determinado momento, o objeto se deslocou em direção à represa de Camorim, para depois retornar à propriedade do casal, novamente atravessando o jardim, virando-se e mostrando mais uma vez as aberturas, em seu movimento de sobe-e-desce ao redor da casa. |
[Ref. uv1:] "UFOVIA":
LE CAS DE JACAREPAGUA - Le cas suivant est survenu à Jacarepagua, en 1930, il a été rapporté dans les pages numéros 22-25 du livre de la pionnière de l'ufologie Irene Granchi intitulé UFOs e Abduções no Brasil[OVNI et Enlèvements au Brésil] (Editora New Millennium). A cette époque, le quartier de Jacarepaguá avait peu d'habitations et il n'y avait pas d'électricité. La famille Veiga dormait à son domicile quand tout à coup Mme Ruth Veiga et son mari Cesario Veiga ont été réveillés par une forte lumière bleu-jaune, traversant les mailles du filet de la fenêtre. Terrifié, Mr. Cesario a ouvert la fenêtre et a vu l'OVNI. Au début, il dit à sa femme de ne pas regarder cette "chose terrible à l'extérieur", mais elle a fini par regarder et a vu abasourdie une énorme roue - un objet blanc, rond avec deux "yeux" monstrueux et une colonne comme une sorte de "jambe" en-dessous. L'objet s'est déplacé lentement vers le haut et le bas, et après un certain temps, il s'est dirigé vers le réservoir de Camorim au barrage de Camorim. M. Veiga a pris son revolver et a tiré quatre fois en l'air et deux fois au sol afin de chasser "le monstre", mais sans succès. Ruth a dessiné l'objet observé en détail pour l'ufologue de Rio et a décrit les "yeux" comme des trous carrés, "sculptés sous la forme de briques" et a dit que l'OVNI était venu et revenu à son jardin à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'il a finalement disparu vers le barrage. Le lendemain, M. Cesario Veiga a demandé à ses voisins si quelqu'un avait vu quelque chose, mais personne n'avait vu le phénomène étrange, et il a remarqué que l'herbe dans son jardin était grise. Il a alors décidé de se rendre au poste de police qui s'est chargé d'enquêter et de faire un rapport et de déléguer le Dr Lucio Cardoso, qui a affecté deux soldats de la cavalerie pour les protéger si l'OVNI revenait pour apparaître, mais le fait ne s'étant pas reproduit, ils ont été renvoyés. Si nous interprétons le cas dans l'optique des OVNIS, il est facile de comprendre que la "jambe" de l'objet était probablement un projecteur conçu pour projeter de la lumière vers le as, si commun dans les cas actuels, et les "yeux" seraient les fenêtres de l'OVNI. Croquis de l'observation qui a eu lieu à Jacarépagua-RJ, en 1930. |
Version originale:
O CASO DE JACAREPAGUÁ - O caso a seguir, acontecido em Jacarepaguá, em 1930, foi relatado pela primeira vez nas páginas números 22 a 25 do livro da ufóloga pioneira, Irene Granchi, intitulado UFOs e Abduções no Brasil (Editora Novo Milênio). Naquela época o bairro de Jacarepaguá tinha poucas habitações e não havia eletricidade. A família Veiga estava dormindo em seu sítio quando, subitamente, a Sra. Rute Veiga e seu marido Cesário Veiga foram despertados por uma forte luz azul-amarelada, que passava através das frestas da janela. Aterrorizado o Sr. Cesário abriu a janela e viu o UFO. A princípio disse a sua esposa que não olhasse para aquela “coisa pavorosa do lado de fora”, mas ela acabou olhando e viu estupefata uma enorme roda – um objeto branco e redondo com dois monstruosos “olhos” e uma “perna”, parecendo uma espécie de coluna por baixo. O objeto movia-se lentamente para cima e para baixo, sendo que, após algum tempo, rumou em direção ao reservatório de Camorim, na represa Camorim. O Sr. Veiga pegou seu revólver e disparou quatro vezes para o ar e duas vezes para o chão, no intuito de afastar “o monstro”, mas não obteve sucesso. Rute desenhou o objeto observado em detalhes para a pesquisadora carioca e escreveu os “olhos” como buracos quadrados, “talhados em forma de tijolos” e disse que o UFO foi e voltou ao seu jardim várias vezes, até que desapareceu definitivamente em direção à represa. No dia seguinte, o Sr. Cesário Veiga perguntou para os vizinhos se alguém viu alguma coisa, mas ninguém viu o estranho fenômeno e notou que a grama de seu jardim estava cinzenta. Resolveu então, dirigir-se a delegacia de polícia e relatar o caso ao delegado Dr. Lúcio Cardoso, que destacou dois soldados da cavalaria para protegê-los, caso o UFO voltasse a aparecer, mas como não voltou a ocorrer o fato, foram dispensados. Se interpretarmos o caso sob a ótica ufológica é fácil entendermos que a “perna” do objeto era provavelmente um foco de luz projetado para baixo, tão comum na casuística atual e os “olhos” mencionados seriam as janelas do UFO. Croqui do avistamento ocorrido em Jacarépagua-RJ, no ano de 1930. |
[Ref. js1:] JEAN SIDER:
L'auteur indique qu'en 1930 à une daze inconnue, de nuit, à Jacarepagna, Rio de Janeiro, Brésil, il y a eu une recontre rapprochée du troisième type.
Il indique que cet incident est totalement atypique des RR3 classiques, car il implique une entité extrêmement bizarre, de type robot. Si ce n'était pas la chercheuse brésilienne lrena Granchi, très bien cotée dans les milieux ufologiques brésiliens, qui avait recueilli ce compte rendu auprès d'un témoin de première main, jamais nous n'aurions choisi de le reprendre ici.
Il indique que Mme D. Rute de Veiga et son mari Cesario dormaient dans leur petit cottage situé sur un terrain recouvert d'une pelouse constituée d'une herbe spéciale appelée capim veludo, quand ils ont été réveillés par une puissante lumière bleue et jaunâtre qui filtrait dans la chambre à travers les persiennes.
Il indique qu'il n'y avait pas encore l'électricité, et les habitants utilisaient généralement des lampes à kérosène, alors qu'aujourd'hui, Jacarepagna possède un grand complexe industriel.
Im précise qu'en 1930 les époux de Veiga étaient de véritables pionniers.
Il cite: "Très alarmés par cette lumière anormale, le couple commence par éprouver de la peur. Toutefois, le mari se décide à ouvrir les volets d'une fenêtre pour voir ce qui se passe. Et le spectacle auquel assistent les deux témoins les cloue de stupeur. Ils voient un "monstre" qui se déplace en long et en large sur la pelouse de four propriété. C'est un énorme objet blanc rond comme une roue, avec deux gros "yeux", et une seule "jambe" (sorte de colonne qui fait saillie sous l'objet). Il n'émet aucun bruit, et lors qu'il passe devant la fenêtre où se tiennent les témoins, le "monstre" fixe le couple de ses deux énormes "yeux", comme s'il se moque d'eux, ce qui a pour résultat de les remplir d'épouvante. Dans son affolement, Cesario de Veiga s'arme d'un pistolet et tire plusieurs fois en l'air pour impressionner l'intrus et le faire fuir, mais sans résultat."
"Finalement le couple se barricade dans la maison et tente péniblement de retrouver le sommeil. Le lendemain matin, Mme Rute de Veiga constate qu'elle a une éruption de petits boutons comme de l'urticaire ou des piqûres d'orties, type d'inflammation qu'elle n'avait jusqu'alors jamais éprouvé. Tout son corps est enflé, y compris ses doigts. Quant à la magnifique capim veludo, elle est devenue affreuse, d'une couleur cendre, comme si elle a été aussi atteinte d'un mal inconnu."
Jean Sider cite que "M. C. de Veiga est allé faire une déposition à la police et a demandé une protection nocturne qu'il a obtenue. Mais les gardes qui sont restés dix jours n'ont rien constaté d'anormal, et depuis le 'monstre' n'a jamais été revu."
Le mari a fait jurer à son épouse de ne parler à personne de l'affaire. Bien plus tard, après le décès de son époux, cette femme qui avait alors 70 ans, a estimé être délivrée de son serment, et a mis ses deux soeurs au courant de l'incident, et c'est par l'une d'elles qu'Irene Granchi a été informée.
Il donne comme source: "Granchi, p. 10-14."
Jean Sider commente que c'est une très curieuse affaire, mais que la visibilité réduite, sans oublier la frayeur engendrée, sont probablement des éléments qui se sont conjugués pour l'empêcher de fournir une description plus claire.
[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:
1930. Nuit.JACAREPAGUA (RIO DE JANEIRO : BRESIL) Un couple endormi dans leur cottage isolé a été réveillé par une lumière qui coulait dans leur chambre à travers les lattes des stores. En ouvrant la fenêtre et en regardant dehors, ils virent une chose circulaire blanche avec deux ouvertures carrées qui ressemblaient à de grands yeux. De sa face inférieure venait une sorte de colonne. La chose traversa leur pelouse dans un mouvement de haut en bas qui donnait l'impression qu'il marchait. Il a ensuite décollé vers un barrage, mais est ensuite revenu et a fait plusieurs fois le tour. L'homme a tiré quelques coups de pistolet mais sans effet. La femme a développé une éruption cutanée le lendemain mais elle s'est éclaircie en quelques jours. L'herbe autrefois luxuriante ddans le secteur est devenue grise. Granchi 1995 p11 |
Irene Granchi a eu une éducation anglaise, a étudié et a vécu à Milan et, peu après son mariage, en 1938, a émigré au Brésil. Pendant des années, elle a enseigné au Centre Culturel Anglais de Rio de Janeiro. Elle est devenue citoyenne brésilienne naturalisée et mère de trois enfants. Elle est décédée à Rio de Janeiro en 2010 à l'âge de 97 ans.
Ufologue sud-américaine, Irene Granchi a mené des enquêtes sues des observation d'ovnis principalement au Brésil pendant plus de 50 ans. Elle avait été rédactrice en chef du magazine OVNI Documento, présidente et fondatrice du CISNE (Centre d’enquêtes sur la nature des extraterrestres) dont le siège est à Rio de Janeiro. Son livre "Les OVNIS et les enlèvements au Brésil" est composé de cas d'observations, d'atterrissages, de RR3, dont elle avait enquêté la grande majorité elle-même. Elle est parvenue à la conclusion que de nombreux visiteurs extratrerrestres sont très probablement des êtres tridimensionnels mais n'exclut pas la possibilité que certains soient "interdimensionnels".
A mon avis, cette affaire, interprétée comme une RR3 par l'ufologue "sceptique" Peter Rogerson, et comme un robot par Jean Sider, n'est pas une RR3. Ce qui est observé, à mon avis, n'est pas une entité vivante mais un "OVNI". Je suis d'accord avec l'interprétation selon laquelle la "jambe" n'est pas une jambe en soi et que les "yeux" sont des ouvertures d'une certaine sorte et non des yeux d'une entité biologique. Le cas n'a pas été signalé avant 1947, mais beaucoup plus tard. Le cas reste néanmoins intéressant, à moins de poser en principe que ce serait une invention, je n'y vois pas d'explication prosaïque.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 30 août 2018 | Patrick Gross | Patrick Gross | source primaire [ig1] non disponible | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Possibles visiteurs extraterrestres, pas une RR3.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 30 août 2018 | Création, [ml1], [uv1], [ar1], [js1]. |
1.0 | Patrick Gross | 30 août 2018 | Première publication. |