Un article sur les apparitions du "Jersey Devil" dans le journal Trenton Evening Times, de Trenton, New Jersey, USA, en page 1 et 3, le 22 janvier 1909, a rapporté ceci:
"A Burlington, à 6 heures ce matin, Mme Michael Ryan, de la rue Penn, a vu la créature sur la barrière dans son arrière-cour. Elle a dit qu'il est large au niveau des épaules, a des ailes, et de petites jambes, et quand il a été vu, était accroupi comme s'il allait sauter à sa fenêtre. Elle s'est hâtée de tirer les rideaux et a sauté de nouveau dans son lit, mais n'a pas réussi à tirer les couvertures sur sa tête avant qu'il n'y ait eu trois coups distincts sur les volets. Le fils de Mme Ryan, Edward, a été appelé depuis une autre partie de la maison, mais une recherche approfondie sur les lieux n'a pas réussi à découvrir une autre preuve de la visite des 'Sabots Volants' au-delà des empreintes étranges, bizarres, vues dans de si nombreux endroits. Mme Ryan dit que 'le truc' est d'environ trois pieds de long."
Dans la littérature moderne sur le Jersey Devil, il est dit que cela s'est passé le 21 janvier 1909, un matin ordinaire, froid et neigeux, que Mme Ryan s'est figée d'effroi, que la créature avait une tête comme celle d'un cheval, ses courtes ailes semblaient être en partie étendues, que Mme Ryan s'est effondré sur une chaise, pas son lit, et qu'elle a dit:
"Pendant quelques minutes, j'étais tellement effrayé que j'étais incapable de crier. Mon mari et mon fils étaient déjà partis travailler, et j'ai finalement été en mesure de réveiller mon plus jeune fils, Edward, qui dormait à l'étage."
Edward n'a trouvé aucune créature dans la ruelle, et est parti pour prendre le train. Dès que la lumière a été suffisante, les voisins ont fouillé la place et observé de petites traces comme celles d'un poney conduisant à une clôture. Mme Ryan et de nombreux voisins ont été bouleversé pendant un temps considérable par la suite.
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[Ref. te1:] JOURNAL "TRENTON EVENING TIMES":
A Burlington, à 6 heures ce matin, Mme Michael Ryan, de la rue Penn, a vu la créature sur la barrière dans son arrière-cour. Elle a dit qu'il est large au niveau des épaules, a des ailes, et de petites jambes, et quand il a été vu, était accroupi comme s'il allait sauter à sa fenêtre. Elle s'est hâtée de tirer les rideaux et a sauté de nouveau dans son lit, mais n'a pas réussi à tirer les couvertures sur sa tête avant qu'il n'y ait eu trois coups distincts sur les volets. Le fils de Mme Ryan, Edward, a été appelé depuis une autre partie de la maison, mais (Suite en Page Trois.) |
une recherche approfondie sur les lieux n'a pas réussi à découvrir une autre preuve de la visite des "Sabots Volants" au-delà des empreintes étranges, bizarres, vues dans de si nombreux endroits. Mme Ryan dit que "le truc" est d'environ trois pieds de long. |
[Ref. mm1:] JAMES MCCLOY ET RAY MILLER:
L'auteur affirme que le 21 janvier 1909, par un matin normal, froid, et neigeux, Mme Michael Ryan de Penn Street près de York à Burlington a ouvert les volets, à six heures du matin, a entendu un bruit dans la ruelle à côté de la maison, et a regardé dehors pour voir ce qui se passait. Elle se figea d'effroi.
Il avait un corps de forme particulière et de longues pattes d'oiseaux comme jambes, tandis que sa tête ressemblait à un cheval. Ses ailes courtes semblait être en partie écartées, et il était penché comme s'il allait bondir.
Mme Ryan a violemment fermé les fenêtres et s'est effondrée sur une chaise. Comme elle l'a racontée, "pendant quelques minutes j'étais tellement effrayé que j'étais incapable de crier. Mon mari et mon fils étaient déjà partis travailler, et j'ai finalement été en mesure de réveiller mon plus jeune fils, Edward, qui dormait à l'étage."
Edward n'a trouvé aucune créature dans la ruelle, et est parti pour prendre le train. Dès que la lumière a été assez bonne, les voisins ont fouillé les lieux et observé des traces comme de petits poneys conduisant à une clôture. Mme Ryan et de nombreux voisins ont été bouleversés pendant un temps considérable par la suite.
Un journal de Philadelphie a rapporté que C. Rue Taylor, maire de Burlington, est devenu tellement préoccupé par cette affaire de diable dans sa ville qu'il a ordonné à la police de "maintenir une veille attentive pour la créature et de tirer à vue sur elle."
[Ref. jc1:] JEROME CLARK:
Jerome Clark dit que le 19 janvier 1909, à 6 heures du matin à Burlington, le "Jersey Devil" rôdait dans une ruelle, vu par Mme Michael Ryan, qui a dit qu'il avait de longues pattes d'oiseau, une tête de cheval, et des ailes courtes.
[Ref. dh1:] "NEW JERSEY DEVILS HUNTERS":
Jeud. 21/1 Burlington, NJ Une femme a entendu un bruit dans l'allée près de sa maison à 6 heures du matin. Après enquête, elle a trouvé une créature avec des caractéristiques comme un oiseau et la tête d'un cheval. La créature a semblé comme si elle était sur?le point de sauter. La femme a immédiatement fermé la fenêtre, et s'est effondrée de peur. Elle a dit "pendant quelques minutes, j'avais tellement peur que je ne pouvais pas crier. Mon mari et fils étaient déjà partis au travail, et j'ai finalement été en mesure de réveiller mon plus jeune fils, qui dormait à l'étage." Bien que personne n'ait vu la créature dans l'allée de nouveau, il y avait des traces de petits sabots recouvrant le sol. La rumeur courait que le maire de Burlington a ordonné à la police de tirer à vue sur la créature. |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique qu'à Burlington, New Jersey, le 19 janvier 1909, à 06h00, "Mme Michael Ryan a vu une créature étrange rôder dans une ruelle. Elle la décrit comme ayant de longues jambes comme des oiseaux, une tête de cheval, et des ailes courtes. Réputé avoir été le "Jersey Devil."
Albert Rosales indique que la source est "Jerome Clark, Unexplained!".
[Ref. ya1:] BLOG "100 YEARS AGO":
CERTAINS DANS LE SUD DU NEW JERSEY RAPPORTENT VOIR UN BETE QUI EST UN CROISEMENT ENTRE UN KANGOUROU, UNE CHAUVE-SOURIS ET UN CHIEN - OU UN CHEVAL: Beaucoup sont mis en état de frénésie dans le sud du New Jersey, selon le Globe. De toute évidence, il y a eu de nombreux rapports de la soi-disant "Terreur du Sus Jersey" ou "diable kangourou volant" dans la région. A Burlington, une Mme Michael Ryan a dit qu'elle a entendu une commotion tôt dans la journée, le 21 janvier, et a passé la tête par la fenêtre pour regarder dans une ruelle. Un article paru dans le Globe dit qu'elle pensait "qu'il avait un corps de forme particulière et de longues jambes comme les oiseaux, tandis que sa tête ressemblait à celle d'un cheval." Le maire de la ville a ordonné à la police de tirer sur la bête à vue. L'histoire a pris racine. L'article dit: "Les efforts de certains humoristes amateurs pour jeter le discrédit sur le visiteur étrange ne sont pas tous appréciés par les gens sobres du sud Jersey. Ceux qui ont vu les empreintes des pieds de la terreur, et ils sont légion aujourd'hui, sont parmi les meilleurs et les plus pieux casaniers, des résidents pratiquant la religion, des Etats-Unis." |
Avant de discuter de ce cas en particulier, je dois faire quelques remarques générales concernant ce que l'on a appelé le "Jersey Devil", le "Diable du New Jersey".
En Pennsylvanie, Virginie occidentale, Maryland, New Jersey, depuis près de deux siècles au moins, surgissent des "vagues" de récits de la rencontre d'une "créature" dont les descriptions ont suggéré qu'il s'agissait d'une sorte de "diable", mais qui dans mon opinion a le plus souvent été un grand oiseau de passage, la grue des sables.
Ufologiquement, ces récits ne sont la plupart du temps pas considérés comme ayant le moindre rapport avec les OVNIS, ou les occupants d'OVNIS; ils ne devraient à mon avis également pas faire partie de quelque catalogue de "rencontres rapprochées du troisième type" que ce soit.
Pourtant, certains ufologues incluent de tels récits dans de tels catalogues, pensant pour une raison ou une autre que cela a bien quelque chose à voir avec la question des OVNIS. La plupart du temps, ils n'incluent pas tous les récits du Jersey Devil, mais seulement quelques-uns, que ce soit par manque de documentation ou par quelque chois dont la raison m'échappe.
Je dois donc inclure tous les récits, car si quelque source considère, à tort ou à raison, que ceci à un rapport avec les OVNIS, alors il m'incombe de ne pas écarter d'emblée, arbitrairement, cette idée, mais de l'évaluer, et donc de rassembler la documentation et les commentaires qui s'y rapportent. Et donc, il m'incombe également de documenter tous les cas, pas seulement ceux arbitrairement sélectionnés par ceux qui considèrent qu'il s'agit bien là de matériel ufologique. C'est pourquoi vous trouverez que certain de mes dossiers discutent de tel récit d'observation du Jersey Devil alors qu'aucun ufologue ne semble l'avoir rapproché de la question des observations d'OVNIS.
Je dois signaler que la plupart des récits sont fragmentaires, souvent parce que les sources présentent plusieurs observations d'affilées et que ce sui est dit sur une observation est considéré implicitement également vrai pour d'autres. Je ne procède pas ainsi, je présente chaque dossier individuellement et en discute ses mérites ou problèmes propres, et en fait une évaluation spécifique. Mais bien entendu, il y a souvent dans ces récits des généralités à signaler. Comme je ne veux pas les omettre, je les résume ici.
Je veux tout d'abord lister les diverses explications données au "Jersey Devil" et à son équivalent plus tardif, le "Mothman" dont on a tant parlé dans les années 1960 en Virginie Occidentale particulièrement:
Voyons donc celle-ci.
Notons que cela se passe dans des conditions de visibilité qui étaient mauvaises: les voisins ont attendu des conditions acceptables avant de chercher des traces.
Excepté pour la "tête comme un cheval", la femme décrit un oiseau. La tête de cheval n'est pas indiquée dans toutes les sources.
Il n'y a là aucun OVNI, rien d'extraterrestre, rien de diabolique, rien d'autrement "paranormal". Rien qui ne puisse s'opposer à l'idée que la femme a peut-être vu d'un peu loin, dans de mauvaises conditions, une grue des dunes, dont la tête étrange l'a effrayée.
Il n'y a pas assez d'informations pour faire de cette explication une certitude, mais il n'y a pas la moindre information qui pourrait évacuer cette explication, pas la moindre raison d'aller chercher quelque vrai diable, extraterrestre, ptérodactyle, "Bigfoot" ou autre.
La grue des dunes, "Sandhill Crane" (Grus canadensis) - photos ci-dessus - est une espèce de grande grue vivant en Amérique du Nord, au Canada, et dans l'extrême Nord-Est de la Sibérie. Certaines sont résidentes, d'autres sont migratrices, passant parfois bien sur les états où l'on a rapporté le "Diable du New Jersey".
Son cri tient à la fois du son "r" roulé, du coassement de grenouille et du son de la trompette. Mâles et femelles s'engageant en véritables concerts de cris complexes.
Son envergure peut dépasser les 2 mètres.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 6 avril 2013 | Patrick Gross | Patrick Gross | Certaines sources de presse non disponibles. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 6 avril 2013 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas de faibles étrangeté, seulement "tête de cheval". | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 6 avril 2013 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque de description, forme, couleur, taille... | Aide nécessaire. | Ouvert. |
4 | Ufologie | Grave | 6 avril 2013 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique - mais nombreux récits similaires à cette date-là dans le secteur. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
5 | Ufologie | Grave | 6 avril 2013 | Patrick Gross | Patrick Gross | Aucune trace d'enquête ou vérification. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Possible confusion, oiseau, grue des dunes.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 6 avril 2013 | Création, [te1], [jc1], [mm1], [ar1], [dh1], [ya1]. |
1.0 | Patrick Gross | 6 avril 2013 | Première publication. |