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La vague belge:

29 novembre 1989 - Observations en Belgique dans la région d'Eupen

(Informations sur les observations de cette nuit-là ici.)

Un premier rapport:

Le rapport qui suit a été rédigé très tôt après les observations les plus connues, celles des deux gendarmes Nicoll et von Montigny, par un ufologue qui, si j'ai bien compris, a hésité avant de le laisser circuler en 2006, parce qu'il n'avait pas eu l'occasion de compléter son enquête, et a recueilli les témoignages au cours d'une conférence de presse au milieu des bruits des interventions nombreuses de la presse.

Ce rapport ne constitue nullement une documentation portant sur l'ensemble des observations de la soirée du ni même l'ensemble des observations des gendarmes.

Mais outre qu'il est une partie du dossier pour ce cas, trois points d'intérêt en ressortent pour moi:

Des «OVNIS-sceptiques» ont affirmé que si les deux gendarmes avaient dit que le gros engin qu'ils ont vu était silencieux, un autre témoignage aurait indiqué qu'il faisait un bruit de moteur, et que c'était donc un dirigeable ou un ULM ou un hélicoptère ou (ces explications ont été données successivement par des «sceptiques»). Ce rapport montre tout d'abord qu'en réalité il est question seulement d'un léger bourdonnement, que le même témoin a parlé de ce bourdonnement, qu'il s'agit de l'un des deux mêmes témoins, qui sont restés ensemble pendant l'observation, que ce bourdonnement ne pouvait qu'être loin d'être assourdissant puisqu'il est juste une impression d'un des deux témoins tandis qu'il est trop faible pour avoir été perçu par l'autre, et ce lors des deux occasions.

Des «OVNIS-sceptiques» affirment que pour la partie de l'observation ou ces deux gendarmes regardent le phénomène qui est au-dessus du lac de la Gileppe, leur rapport initial était que le phénomène envoyait des rayons dans toutes les directions, et que cela est en grave contradiction avec leur description dans d'autres interviews par la suite dans lesquels le phénomène envoie un rayon de chaque côté. Il s'avère ici que cette première description n'a pas été très détaillée, et que la formulation employée dans le rapport, «ils ont encore tous les deux eu l'impression imprécise que parfois des rayons lumineux partaient dans toutes directions des côtés du phénomène» pourrait n'être qu'une contradiction superficielle liée à une formulation simplifiée par rapport aux formulations «un rayon partait de chaque côté latéralement» ultérieures. Par contre, il est noté dans ce rapport qu'il y a là une impression «imprécise», qui deviendra effectivement nettement plus précise lors d'interviews ultérieures. Ce point fait l'objet de longues controverses, pour la raison que selon certain, ces rayons partant de tout côté plutôt que de chacun des deux côtés donneraient du poids à la thèse que ce phénomène était Vénus (voir le reste de la section à ce sujet). Ce qui ressort surtout est que cette question des rayons, dans ce rapport, est juste survolée, mentionnée, recueillie dans des conditions peu favorables au cours d'une conférence de presse, tandis que cette même question est creusée plus tard par un autre enquêteur dans des conditions plus favorables, avec un ensemble de questions et réponses à ce sujet.

Des «OVNI-sceptiques» affirment encore qu'un seul enquêteur a interrogé ces témoins, et il a été également affirmé que cet enquêteur prétendument unique aurait comme «confisqué les témoins», ce qui est encore inexact. Ce document constitue donc une partie de la preuve du contraire, puisqu'il émane de l'un parmi plusieurs autres enquêteurs qui ont écouté ces témoins.

Des «OVNIS-sceptiques» ont fait comme si tous les événements de cette soirée là en ce lieu se ramenaient à Vénus pris pour un OVNI au-dessus du lac de la Gileppe et à un hélicoptère ou ULM ou dirigeable vu par deux gendarmes et pris pour un engin extraterrestre. Même en limitant l'affaire à ce seul rapport, il est déjà relativement patent que ces explications ne rendent pas compte des événements de cette soirée.

Le rapport du 9 décembre 1989 traduit:

Page 1:

INTERVIEW DES DEUX GENDARMES ET DE LEUR CHEF

Eupen 9-12-1989.

Lieux:

- point A (photo 1): sur la route de Eupen vers Eynatten environ 3km à l'extérieur de Eupen.

- point B (photo 2): direction Ouest. uitkijkplaats (altitude 260m) Kortenbach à la bourgade Membach à l'ouest d'Eupen,

- point C: uitkijkplaats de Henri-Chapelle où les gendarmes
de Kelmis ont également pu observer un phénomène étrange.

(Photo 3):
1st wachtmeister Heinrich Nicoll
[J'ai retiré l'adresse]

(Photo 4):
1st wachtmeister Hubert von Montigny
[J'ai retiré l'adresse]

- Point B (photo 5): Direction S avec mirador éclairé du sol (tour à gauche sur la photo).

Leur récit au sujet de leur observation le 29-11-1989:

Au point (A), vers 17:45, les deux gendarmes ont remarqué pour la première fois une forte luminosité dans l'air. Le phénomène se trouvait à leur droite (N-NE) en l'air (30°) pendant qu'ils conduisaient en direction d'Eynatten. Ils ont décidé tout de suite de se garer le long du côté de la route pour pouvoir mieux observer le phénomène. Il se déplaçait en une ligne oblique, très lentement et à la faible altitude, vers eux, et a volé alors au loin presque perpendiculairement par rapport à eux. Ils ont qu'ils ont été presque ébloui à ce moment par trois sources lumineuses [fontaine lumineuses] et ont même dû a ce moment détourner leur regard pour éviter ceci. Etant très [stable?], le vol lent et silencieux leur a laissé l'impression qu'ils avaient là affaire à un «engin» avec une très grande inertie et des dimensions considérables. La relation entre sa longueur et sa vitesse a été assez petite pour que le phénomène leur ait paru comme très imposant et ils n'ont pas douté qu'ils avaient bel et bien affaire ici avec un «engin» solide. Ils ont été profondément impressionnés et n'ont pas eu de gêne à montrer qu'ils n'ont pas pu comprendre du tout ce à quoi ou à qui ils avaient affaire ici. Au cours du survol, ils ont remarqué que dans le centre de «l'engin», formé par les trois lumières, une bizarre lueur rouge leur ont fait d'abord penser à une sorte de gyrophare.

Page 2:

Ils l'ont décrit plus tard comme étant un complexe jeu d'ensemble d'une lumière s'écoulant, tournante (verticalement et horizontalement), augmentant et s'éteignant légèrement comme si il avait été en déplacement dans un enroulement transparent et pulsant (staccato). A ce moment, ils ont aussi vu clairement que le phénomène en question était réellement un triangle sombre obscur avec sur chaque coin une forte lumière blanche qui était dirigée vers le bas. (Contrairement à ce qui est paru dans la presse ils ne m'ont expliqué à moi à aucun moment l'impression avoir pu voir des séries de lumières se voir par des reflets au sol ou sur des objets). A ce moment-là le phénomène très lent, presque au pas, et presque silencieux (l'un d'eux a soupçonné avoir entendu un bourdonnement léger) a été vu ensuite évoluer dans la direction Eupen et les a décidé, à cause du caractère inhabituel occurrence, de lui suivre avec leur camionnette de patrouille (combi). Pour faire ceci tranquillement et facilement ils ont pris un itinéraire de patrouille connue d'Eupen et ceci uniquement pour éviter le flot des voitures habituelles vers Eupen et pour éviter de risque de perdre le phénomène de vue, mais aussi parce que cet itinéraire les a amené vers des endroits considérablement plus haut que ceux d'Eupen et de son proche voisinage. Après s'être d'abord encore arrêté brièvement en plusieurs autres endroits pour observer le phénomène, ils sont arrivée (Photo 2 arrivée là & 5 - point B) ils ont encore pu le voir restant sur place quelque-part au-dessus du lac artificiel de la Gileppe et [par booven un verclichte uitkijtoren] (1*). Il était à ce moment-là déjà autour de 18:30 et ils n'ont pas eu l'impression que le phénomène a volé en ligne droite vers ce point qui se trouve seulement à environ 10 km du premier point d'observation, et pour lequel en fait seulement environ 30 à 45 minutes sont nécessaire pour aller. Pendant qu'ils ont regardé le phénomène apparemment inerte aller au-dessus de la tour, du moins vu à partir de cet endroit (point B), ils ont encore tous les deux eu l'impression imprécise que parfois des rayons lumineux partaient dans toutes directions des côtés du phénomène. Un peu après ils ont vu soudainement quelque chose, vers 18:45, des lumières qui apparaissaient entre d'un petit groupe d'arbres alignés sur [à] environ 250 mètres à leur droite d'eux (Ouest - photo 2). Leur première impression a été que ces lumières devaient venir d'un tracteur, sur la colline derrière cette rangée d'arbre, d'un agriculteur qu'ils avaient déjà vu là plus tôt dans leur journée de travail. Toutefois, soudainement, à leur immense étonnement, ils ont vu ces lumières décoller presque perpendiculairement en un ensemble et survoler cette rangée d'arbres jusqu'à une altitude d'une nouvelle rangée d'arbre, pour tourner brutalement, arrivées là, vers le N-NO (2 *). Cette fois aussi cette manoeuvre s'est produite presque dans le silence total (l'un d'eux à de nouveau soupçonné avoir entendu un léger bourdonnement). Selon eux, tout paraissait comme si le phénomène avait suivi le relief du paysage jusqu'à derrière à cette rangée d'arbre pour rester ainsi toujours à la même altitude par rapport au paysage. Au cours de ce virage brutal, tous deux ont soudain eu l'impression qu'ils regardaient le profil de «quelque chose» qu'ils ont décrit comme étant une structure sombre très plate (ils ont soupçonné des réflexions vertes) avec au-dessus quelque chose comme une bosse avec des [hublots?]. Ils l'ont comparé avec l'impression que l'on pourrait acquérir si on regardait dans les ténèbres le côté d'un wagon de train qui aurait des fenêtres éclairées.

Page 3:

Cette impression n'a pas selon eux durée très longuement toutefois était bien assez forte pour ne pas les faire douter tous deux douter de la réalité physique de ce détail perçu. Le phénomène est venu se trouver stationnaire après cette manoeuvre et a bougé régulièrement et lentement vers le NE pour commencer une sorte «d'exploration» des environs. Cette manoeuvre a consisté en ce que le phénomène a commencé à faire des cercles en spiralant, toujours à la même altitude, au-dessus d'un certain territoire à leur Nord Nord-Ouest. Le centre fictif de ce territoire se trouvait à seulement 7 km des deux témoins. Pendant que lui cette manoeuvre se faisait ils se sont encore déplacés vers un endroit plus haut (Walhornerfeld) pour pouvoir le poursuivre dans ses manoeuvres qui le portait plus loin.

Une partie de ces manoeuvres a été remarquée par maintes autres patrouilles, et aussi les citoyens, parmi lesquels se trouvait une partie de la brigade de Kelmis au point (C), à Henri-Chapelle à la bordure du secteur toujours survolé par le phénomène.

Une fois arrivés au centre du territoire couvert, le phénomène a volé soudainement et cette fois en ligne droite vers le N-NE pour disparaître derrière l'horizon, dans la direction des Pays-Bas/Allemagne, et à ceci à l'heure exacte (minutée) de 20:39. Pendant toute la durée de l'observation le contact radio était maintenu avec leur chef Creutz é leur caserne dans Eupen qui depuis là a aussi vu le phénomène quelques fois le phénomène venir dans le lointain. Cette personne m'a dit qu'à ce moment il était en contact avec encore d'autres patrouilles qui ont vu le même phénomène évoluer, et il a pris à ce moment-là aussi à nouveau contact avec différents instances (militaire et aéroports civils) pour obtenir des renseignements au sujet de ce qu'ils pensaient voir. Il a décrit le phénomène, vu à partir du deuxième niveau [de la caserne], comme quelque chose de grand comme une pièce (?) avec [?] de petites lumières blanches et à chaque coin une grande lumière blanche brillante.

1*) Le mirador vitré du belvédère moderne est nouveau, les travaux ont commencé en 1981, et il devrait être ouvert au public à partir de pâques 1990.

2*) Lors d'une conversation téléphonique ultérieure (29-19-1989) [sic], les deux gendarmes ont pu me confirmer qu'ils ont remarqué bel et bien deux phénomènes simultanément et il ne s'agissait pas d'un seul phénomène. (Avec les observations simultanées à Luik, voir le rapport SOBEPS, ceci fait alors trois phénomènes similaires).

A-B-C: voir carte.

Texte original:

Je ne pratique couramment que le français, l'anglais, l'allemand et le dialecte alsacien. Le rapport original est en néerlandais et j'ai utilisé traducteur automatique et corrections à partir des similitudes de cette langue avec l'allemand pour obtenir la traduction française qui précède. Toute erreur est involontaire, j'apprécie toute amélioration ou correction.

Page 1:

INTERVIEW MET DE BEIDE RIJKSWACHTERS EN HUN CHEF

Eupen 9-12-1989.

Lokaties:

- punt A (foto 1): op de weg van Eupen naar Eynatten ongeveer 3km buiten Eupen.

- punt B (foto 2): richting W. uitkijkplaats (260m hoogte) Kortenbach bij dorpje Membach ten westen van Eupen,

- punt C: uitkijkplaats bij Henri-Chapelle waar ook rijkwachters van Kelmis een vreemd fenomeen konden observeren.

(foto 3):
1st wachtmeister Heinrich Nicoll
[Retiré]

(foto 4):
1st wachtmeister Hubert von Montigny
[Retiré]

- punt B (foto 5): kijkrichting Z met van af de grond verlichte
uitkijktoren (toren links op foto).

Hun verhaal over hun waarneming ven 29-11-1989:

Op punt (A), omstreeks 17u 45', merkten beide rijkswachters voor het eerst een sterk lichtschijnsel op in de lucht. Het fenomeen bevond zich aan hun rechterkant (N-NO) in de lucht (30°) terwijl ze in de richting van Eynatten reden. Ze besloten direct daarna even halt te houden langs de kant van de weg om het verschijnsel beter te kunnen observeren. Het bewoog zich in een schuine lijn, zeer langzaam en op lage hoogte, naar hen toe en vloog dan bijna loodrecht over hen heen. Ze verklaarden op dit moment bijna verblind tte zijn geweest door drie felle lichtbronnen en moesten OP dit moment zelfs hun blik afwenden om dit te voorkomen. Zijn zeer stadige, langzame en geruisloze vlucht wekten de indruk dat ze hier te doen te hadden met een «tuig» met een zeer grote inertie en aanzienlijke dimensies. De verhouding snelheidlengte was zeer klein zodat het fenomeen bij hen als zeer imposant overkwam en ze twijfelden er niet aan dat ze hier wel degelijk te doen hadden met een «solied tuig». Ze waren diep onder de indruk en voelden zelf een zekere ongemak opkomen daar ze totaal niet konden begrijpen met wat of wie ze hier te doen hadden. Tijdens het overvliegen merkten ze in het centrum van het «tuig», gevormd door de drie lichten, een bizar roodgeelachtig schijnsel op dat ze in eerste instantie vergeleken met een soort zwaailicht.

Page 2:

Later beschreven ze het als zijnde een komplex samenspel van wegvloeiend, ronddraaiend (horizontaal en vertikaal), oplichtend en uitdovend licht alsof het in pulsen (stakato) door een doorzichtige darm werd gestuwd. Nu zagen ze ook duidelijk dat het fenomeen eigenlijk een enorme sombere donkere driehoek betrof met op iedere hoek een sterk wit licht dat naar beneden was gericht. (In tegendeel met wat in de pers verscheen hebben ze aan mij verklaard OP geen enkel moment de indruk te hebben gehad lichtbundels te kunnen zien van deze lichtbronnen of verlichting of reflekties ervan OP de grond of voorwerpen). Toen ze het fenomeen zeer langzaam, bijna stapvoets, en bijna geruisloos (een van hen vermoedde een licht gezoem te hebben gehoord) verder zagen evolueren richting Eupen besloten ze, wegens het ongewone karakter van deze verschijning, het te volgen met hun patrouille wagen (combi). Om dit ongestoord en gemakkelijker te kunnen doen namen ze een door hen gekende patrouille route rond Eupen en dit niet enkel en alleen om de drukke verkeersstroom op de gewone weg naar Eupen te vermijden, en zodoende het risico te lopen het fenomeen uit het oog te verliezen, maar ook omdat deze route hen op plaatsen bracht die aanzienlijk hoger liggen dan Eupen en nabije omgeving. Daar aangekomen (foto 2 & 5 - punt B), na eerst nog OP nog een paar andere plaatsen kort te hebben gestopt om het fenomeen te observeren, konden ze het reeds stil zien hangen ergens bij het stuwmeer van de Gileppe en [par booven een verclichte uitkijtoren] (1*) aldaar. Het was toen reeds rond 18u 30' en ze hadden toen ook de indruk dat het fenomeen niet in rechte lijn naar dit punt was gevlogen, dat slechts op ongeveer 10 km van het eerste waarnemingspunt ligt, en waarvoor het toen ongeveer 30 à 45 minuten nodig zou hebben gehad. Terwijl ze naar het fenomeen keken, dat ogenschijnlijk bewegingsloos ging boven de uitkijktoren, althans gezien vanaf deze plaats (punt B), hadden ze beide nog de, zij het onduidelijke, indruk dat er soms lichtstralen in alle richtingen schoten uit de zijkanten van het fenomeen. Iets later zag een van hen plots, omstreeks 18u 45', lichten verschijnen van tussen een klein langerekt groepje bomen op ongeveer 250 meter rechts van hen (W - foto 2). Hun eerste indruk was dat dit de lichten van de traktor moesten zijn, OP de heuvel achter deze bomenrij, van een landbouwer die ze daar reeds vroeger op de dag aan het werk hadden gezien. Echter zagen ze plots, tot hun opperste verbazing, dat deze lichten als een geheel traag en bijna loodrecht opstegen vanachter deze bomenrij tot een hoogte nogmaals deze van de bewuste bomenrij om, daar aangekomen, scherp te draaien naar het N-NW (2*). Ook dit maneuver gebeurde bijna in alle stilte (een van hen vermoedde ook ditmaal weer een licht gezoem te hebben gehoord). Volgens hen had er bijna alle schijn van weg dat het fenomeen het reliëf van het landschap had gevolgd tot achter deze bomenrij om zodoende altijd OP dezelfde hoogte te blijven tenopzichte van het landschap. Tijdens deze scherpe bocht hadden ze de plots beide de indruk dat ze tegen de zijkant van het «iets» konden aankijken dat ze beschreven als zijnde een zeer platte donkere struktuur (ze vermoedden een dondergroene reflektie) met er bovenop iets als een verhoging met raampjes. Ze vergeleken het met de indruk die men zou kunnen opdoen als men in de duisternis keek naar de zijkant van een treinwagon die binnenin is verlicht.

Page 3:

Deze indruk was volgens hen echter van zeer korte duur maar wel sterk genoeg om hen beide niet te doen twijfelen aan de fysische realiteit van dit bewust detail. Het fenomeen kwam na dit maneuver vlak te liggen en bewoog stadig en traag naar het NO om aan een soort «verkenning» te beginnen van de omgeving. Dit maneuver bestond erin dat het fenomeen spiraalsgewijs begon rond te cirkelen, steeds op dezelfde hoogte, boven een bepaald gebied te N-NW van hen. Het fiktieve centrum van dit gebied bevond zich op slechts slechts 7 km van de beide getuigen. Terwijl het dit maneuver volbracht hebben ze zich nog naar een hoger gelegen plaats beheven (Walhornerfeld) om het te kunnen vervolgen in zijn maneuvers die het steeds verder brachten.

Een gedeelte van dit maneuver werd opgemerkt door menig andere patrouilles, en ook burgers, waaronder één die deel uitmaakte van de brigade van Kelmis en zich bevond op punt (C) bij Henri-Chapelle aan de rand van het gebieddat steeds weer werd overvlogen door het fenomeen.

Eenmaal aangekomen bij het centrum van het bestreken gebied vloog het fenomeen plots versnellend en in dit maal in rechte lijn naar het N-NO om aldaar te verdwijnen aan de horizon, richting Nederland/Duitsland, en dit om exakt (getimed) 20u 39'. Tijdens de volledige waarneming bleven de rijkswachters radiografisch in kontakt met hun chef Creutz van hun kazerne in Eupen die het fenomeen ook aldaar een paar maal in de verte had zien voorbij komen. Deze persoon vertelde me dat hij op dit moment kontakt had met nog andere patrouilles, die hetzelfde fenomeen hadden zien evolueren, en nam toen ook nog kontakt op met verschillende instanties (militaire en civiele luchthavens) om inlichtingen in te winnen over was ze meenden te zien. Hijzelf beschreef het fenomeen, gezien vanaf het tweede verdiep, als iets zo groot als een kamerruimte (?) met een wirwar van kleine witte lichtjes erop en OP elke hoek een groot fel wit licht.

1*) De uitkijktoren met bovenaan een moderne glazen belvedere is brandnieuw, de werken begonnnen in 1981, en het zou moeten open zijn voor publiek met pasen 1990.

2*) In een later telefoongesprek (29-19-1989) konden de beide rijkswachters me bevestigen dat ze wel degelijk twee fenomenen simultaan hadden opgemerkt en het zeker geen enkelvoudig fenomeen betrof. (Samen met gelijktijdige waarnemingen in Luik, zie verslag SOBEPS, zou dit dan drie gelijkaardige fenomenen kunnen betreffen).

A-B-C: zie kaart.

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Cette page a été mise à jour le 5 octobre 2007.