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Airshipcat:
Date: | 29 juillet 1878
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Heure: | Inconnue
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Lieu: | Separation, Wyoming, Denver, Colorado, N/A, astronomique
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Récits: |
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1878:
29 juillet: Pendant l'éclipse solaire, Watson (Michigan) et Swift, à l'observatoire
Warner, observent des disques rouges de 800 m de diamètre à 32000 km de la Terre [Fort]. [1]
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Mais Vulcain n'a pas disparu entièrement. Comme la prétendue lune de vénus (rapportée
jusqu'en 1791) et la planète Neith de Houzeau (une découverte étonnante par un astronome
qui n'arrivait pas à reconnaître Mercure), Vulcain à continué à exister dans les journaux et
les manuels scientifiques, sinon dans les cieux. Le 29 juillet 1878, une éclipse totale
du soleil a eu lieu.
Le Professeur James C. Watson était intéressé à découvrir Vulcain pendant cette éclipse.
Si Vulcain ne se révélait pas en traversant le disque du soleil, quand LeVerrier l'avait
prévu, elle pourrait être vu près du soleil éclipsé. Watson a appris par coeur les positions
de toutes les étoiles qui seraient autour du soleil pendant l'éclipse. S'il y avait un
autre objet lumineux, il pourrait l'identifier comme Vulcain. Watson a informé le professeur
Asaph Hall [découvreur des lunes de Mars] de l'Observatoire Naval des Etats-Unis à Washington
qu'il avait vu un objet inconnu tandis qu'il avait observé l'éclipse à Separation, dans le Wyoming:
"J'ai l'honneur de rapporter qu'au moment de l'éclipse totale, j'ai observé une étoile
de quatre à quatre et demi de magnitude dans R.A. 8h. 26m. déc. 18 nord, qui est, j'en suis
convaincu, une planète intra-Mercuriale... Il n'y a aucune étoile connue à la position observée..."
Prof. Lewis Swift de l'observatoire de Dearborn a observé cette éclipse près de Denver et
a dit qu'il a vu deux objets inconnus. Comme personne d'autre observant l'éclipse n'a remarqué
le moindre Vulcain, la double observation Swift et celle de Watson ont été en interrogées
de manière critique et vite critiquées. Selon l'astronome français Flammarion, les objets
inconnus étaient les étoiles Thêta et Zeta dans la constellation du Cancer; mais cette
explication est incomplète. Les positions données par Watson et Swift n'étaient pas
conformes ni à l'une ni a l'autre, signifiant qu'au moins trois objets inconnus aussi
lumineux que des planètes avaient été rapportées par ces professeurs.
Avec Vulcain n'ayant pas traversé le disque solaire comme prévu, et vu seulement pendant
les éclipses du soleil par les astronomes dont les réputations ont été ridiculisées,
les avances de Mercure sont resté une énigme - jusqu'à Einstein. [2]
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[27.01] James Craig Watson, Premier Directeur de l'Observatoire de Washburn: Son Obsession de la Planète Intra-Mercurielle Vulcain
W. Sheehan (Hutchinson, MN)
Le premier directeur de l'observatoire de Washburn, Watson, a commencé sa carrière à l'université
du Michigan, où il a découvert plus d'une vingtaine d'astéroïdes et prévue (mais n'a pas vécu
assez longtemps pour terminer) la première recherche pour une planète au-delà de Neptune.
Il est devenu un défenseur acharné de l'hypothèse de Le Verrier d'une planète plus près du soleil
que Mercure (Vulcain) qui causerait l'avance anormale de 38" d'arc par siècle de la périhélie
de Mercure, et a monté une recherche spéciale de Vulcain lors de l'éclipse totale du 29 juillet
1878, à Separation, Wyoming, enregistrant deux étoiles rougeâtres étranges près du soleil dont
il a assumé que c'étaient des corps intra-Mercuriels. Excepté Lewis Swift à Denver, Colorado,
personne d'autre n'a confirmé ses observations, et elles ont été vivement critiqués par
l'astronome C. H. F. Peters de Clinton College (New York). Néanmoins, Watson est resté absolument
convaincu de ce qu'il avait vu, et son déménagement d'Ann Arbor vers Madison en 1879 a été
en partie motivé par les perspectives d'obtenir de meilleurs instruments avec lesquels
poursuivre la recherche de Vulcain, qui est devenu la hantise de ses vielles années.
Il était en train de construire un observatoire solaire souterrain depuis lequel il a espéré
voir des étoiles près du soleil en plein jour quand il est décédé inopinément, en 1880. Bien
qu'on sache maintenant que Vulcain n'existe pas, les observations de Watson de l'éclipse
du 29 juillet 1878 demeurent problématiques; il est probable qu'il ait observé au moins
une et probablement deux petites comètes dans le voisinage du soleil. [3]
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Il y avait eu beaucoup de bruit après l'éclipse solaire totale du 29 juillet 1878, quand
deux observateurs ont prétendu avoir vu à proximité du soleil de petits disques lumineux
qui pourraient seulement être de petites planètes à l'intérieur de l'orbite de Mercure:
J.C Watson (professeur d'astronomie à l'Université du Michigan) a cru avoir trouvé
DEUX planètes intra-Mercurielles! Lewis Swift (le co-découvreur de la comète Swift-Tuttle,
qui est revenue en 1992), a également vu une 'étoile' qu'il a considéré être Vulcain -
mais à une position différente de l'un et l'autre intra-Mercuriens de Watson.
En outre, ni le Vulcain de Watson ni celui de Swift ne pouvaient correspondre
avec le Vulcain de Le Verrier ou Lescarbault.
Après ceci, personne n'a jamais revu Vulcain, malgré plusieurs recherches lors de différentes éclipses
solaires totales. Et en 1916, Albert Einstein a publié sa théorie de la relativité générale, qui a
expliqué les déviations dans les mouvements de Mercure sans nécessité d'invoquer
une planète inconnue intra-Mercurielle. En mai 1929, Erwin Freundlich, de Potsdam, a
photographié toute l'éclipse solaire depuis Sumatra, et a plus tard a soigneusement
examiné les plaques qui ont montré une profusion d'images d'étoiles. Des plaques
de comparaison ont été prises six mois plus tard. Aucun objet inconnu
plus lumineux que la 9ème magnitude n'a été trouvé près du soleil.
Mais qu'ont vraiment vu ces gens? Lescarbault n'avait eu aucune raison de raconter des histoires
à dormir debout, et même Le Verrier l'a cru. Il est possible que Lescarbault se soit avéré
justement voir un petit astéroïde passer très près de la terre, juste dans l'orbite de la
terre. De tels astéroïdes étaient inconnus à ce moment-là, ainsi l'idée de Lescarbault
était uniquement qu'il a vu une planète intra-Mercurielle. Swift et Watson ont pu,
dans la hâte à obtenir des observations pendant l'éclipse totale, avoir interprété
mal quelques étoiles, croyant avoir vu Vulcain. [4]
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Sources: |
- [1] Charles Fort, 1934
- [1] "RR0", site Internet par Jérôme Beau, se référant à Charles Fort, www.rr0.org/AstronomieInexpliquee.html et www.rr0.org/1878.html
- [1] Was also reported in "The intramercurial planet", in "Mysterious Universe - A handbook of astronomical anomalies", livre par William R. Corliss, Sourcebook Project éditeur, pp 82-84,45-71, 1979.
- [2] "Heavenly ghost", article dans The Whig-Standard Magazine, Kingston, Ontario, N.24, 30 mars 1991.
- [3] Sur l'Internet à www.aas.org/publications/baas/v28n2/aas188/abs/S027001.html
- [4] Article par Paul Schlyter, à plusieurs adresses Internet.
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Notes: | Voir discussion.
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Explication: | Observations astronomiques sans évidence de lien avec le phénomène OVNI.
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Discussion:
A ce moment-là, les lois de l'attraction universelle de Newton régnaient sans discussion.
Mais dans l'état du moment des connaissances sur les planètes du système solaire, il y avait
un problème parce qu'on avait observé que Mercure se déplaçait plus rapidement que ce que
les lois de Newton ont prévu. Elle avait une avance anormale de 38" de l'arc par siècle.
Il n'y avait aucun doute que Newton avait raison, et l'explication la plus simple était
donc que l'avance anormale devait être provoquée par une planète non encore découverte
situér entre Mercure et le soleil. Beaucoup d'observateurs ont essayé de trouver la planète
hypothétique, qui avait été déjà reçu le nom de Vulcain. De fausses alertes ont été
causées par des observations de taches solaires rondes qui ont ressemblé à des planètes
en transit. Pendant des éclipses solaires, des étoiles près du soleil ont été également
souvent confondues avec la planète Vulcain. A un moment, pour rendre compatibles
différentes observations, au moins deux planètes intra-Mercurielles ont été recherchées.
Plus tard naturellement une autre possibilité l'a emporté: le mouvement anormal de
Mercure n'était pas dû à une planète non découverte, mais à des limitations dans les
lois de Newton qui ont été avérées ne s'appliquer qu'approximativement en de telles
conditions et qui ont été abandonnés après qu'Albert Einstein ait publié
la théorie de la relativité générale en 1916, expliquant la déviation de Mercure
sans le moindre besoin de nouvelles planètes intra-mercurielles que personne
n'avait trouvé avant ni depuis.
C'était dans ce contexte de recherche de la nouvelle planète, pendant les
conditions favorables de l'éclipse solaire totale du 29 juillet 1878, que deux
astronomes d'espérience, le professeur James Craig Watson, directeur de l'observatoire
d'Ann Arbor, Michigan, et Lewis Swift, un amateur de Rochester, New York, ont
rapporté indépendamment avoir vu ce qu'ils ont pensé pour être une ou deux planètes intra-Mercurielles.
Watson, observant depuis Separation, Wyoming, a placé la planète à environ 2,5 degrés
au sud-ouest du soleil, et a estimé sa magnitude à 4,5, et a dit qu'elle était rouge.
Watson a rapporté qu'il a eu un disque bien défini, à la différence des étoiles
qui apparaissent dans les télescopes sulement comme des points de lumière, et
que sa phase a indiqué qu'elle approchait la conjonction supérieure.
Swift, qui observait l'éclipse depuis un endroit près de Denver, Colorado, a
dit que c'était à 0,3 degrés au sud-ouest du soleil et a estimé son éclat
comme identique à celui de Thêta du Cancer, une étoile de cinquième magnitude
qui était également visible durant l'éclipse totale, à environ 6 ou
7 minutes de la "planète."
Tous les deux étaient d'excellents observateurs. Watson avait déjà découvert plus de
vingt astéroïdes. Swift a fait baptiser plusieurs comètes de son nom. Cependant, une
explication probable de leur observation était celle d'erreurs dans leur hâte
à découvrir la nouvelle planète, des erreurs de calcul ou des manques à identifier
des étoiles ordinaires.
L'autre possibilité, si on se rappelle que Watson a dit que l'objet rouge était un disque
et pas un point comme une étoile, est qu'ils ont observé un petit astéroïde passant
très près de la terre, juste dans l'orbite intérieure de la terre. Ceci nous réconcilierait
plus ou moins avec l'histoire de Charles Fort, bien que ce dernier aurait pu
simplement se baser sur des rapports erronnés des journaux qu'il avait l'habitude
de compulser, quand il dit que les disques rouges qui ont été observés avaient
"800 mètres de diamètre à 32000 kilomètres" de la terre. Il est plus probable que
ces chiffres soient inventées, car il n'y a aucune manière de faire des telles
mesures en utilisant un télescope et aucune documentation ne vient appuyer que
Watson ou Swift aient jamais avancé de tels chiffres.
Les astronomes savent que de tels astéroïdes étaient inconnus à cette époque-là.
Naturellement il reste la possibilité qu'ils aient vu un vaisseau spatial extraterrestre
mais il n'y a pas la moindre évidence pour penser cela. Case closed.
Comptages:
Type de rapport: | Seconde main probablement depuis un journal.
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Nombre de témoins: | 2.
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Nombre de témoins nommés: | 2.
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Professions des témoins: | Astronomes.
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Type de lieu: | N/A.
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Coordonnées: | N/A.
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Précision coordonnée:N/A. |
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Description de "l'OVNI": | Rouge. Disques. Etoile.
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Description de "manoeuvres": | Non indiqué.
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Réactions: | Annonce scientifique.
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Occupants: | Aucun.
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Mots clés occupants: | N/A
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Communication: | N/A
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Langage: | N/A
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Contenu: | N/A
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Diurne/nocturne: | Durant éclipse.
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Météo: | Non indiqué.
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Equipement d'observation: | Télescope.
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Etrangeté: | Aucune.
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Fiabilité: | Haute.
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Explication(s) de l'époque: | Découverte d'une nouvelle planète.
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