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Et ensuite [après le 22 décembre 1944] il y a eu l'expérience du lieutenant Samuel A. Krasney: un objet sans ailes en forme de cigare, rougeoyant, à quelques mètres du bout de l'aile de l'avion. Le lieutenant Krasney, à juste titre effrayé, a demandé au pilote de tenter des manœuvres d'évitement, mais l'objet lumineux est resté juste à côté de l'avion pendant plusieurs minutes avant de «s'envoler et de disparaître».

Tout d'abord, les observations ont eu lieu au-dessus de l'Europe occupée par les nazis, à une époque où la Luftwaffe allemande faisait d'énormes progrès. Tenir l'Allemagne nazie pour responsable des orbes lumineux volants n'est pas farfelu. Le spécialiste des fusées d'origine allemande Wernher von Braun, qui a été amené aux Etats-Unis pour travailler pour le Pilote de Chasse Américain s'est lancé dans un combat aérien avec un OVNI. Etait-ce l'œuvre d'astrophysiciens nazis? Il a effectivement exprimé l'opinion que beaucoup de choses pendant la guerre étaient restées secrètes.« Mais même s'il n'a jamais semblé enclin aux théories du complot, Krasney dit que son père était ouvert à une telle théorie: «Il avait l'idée que cela pourait être des progrès tardifs de la technologie allemande révolutionnaire. «Il était très pondéré, très analytique», dit Krasney à propos de son père, ajoutant qu'il tenait un cahier dans lequel il écrivait (et dessinait) son observation de foo-fighter. En fait, il n'a même jamais suggéré que l'objet brillant ressemblant à un cigare sans ailes qui volait à côté de son avion était d'origine extraterrestre. Le fils de Krasney, Keith Krasney, dit que son défunt père ne correspondait pas au profil stéréotypé d'un théoricien des OVNIS. Mais il y avait peu de preuves suggérant une psychose collective: le 415th avait par ailleurs un excellent bilan, et lorsqu'un journaliste de l'American Legion Magazine est allé faire un reportage sur l'escadron, il les a décrits comme «des aviateurs très normaux, dont l'intérêt principal était le combat, et après cela sont venus les pin-up, le poker, les beignets et les dérivés du raisin.» Il y avait aussi ceux qui affirmaient que les aviateurs souffraient de «fatigue de combat», une manière polie de dire que le stress de la guerre les rendait fous. Le feu de Saint-Elme et pouvait distinguer les deux. Les fusées éclairantes et les ballons météorologiques ne peuvent pas suivre les avions comme ces objets le pouvaient, et ils avaient vu St. Mais les membres du 415e ont rejeté toutes ces théories. Le feu de Saint-Elme: un phénomène où une lumière apparaît sur la pointe des objets par temps orageux.

LIRE PLUS: Quand des dizaines de GI de la guerre de Corée ont affirmé qu'un OVNI les avait rendus malades. L'explication de la «fatigue au combat». Dans des illustrations montrant des rencontres de Foo Fighters le 1er janvier 1945 et les théories sur leurs origines abondèrent rapidement: les observations étaient des fusées éclairantes, ou des ballons météorologiques ou St. Krasney, à juste titre effrayé, ordonna au pilote de tenter des manœuvres d'évitement, mais l'objet lumineux resta juste à côté de l'avion pendant plusieurs minutes avant qu'il «s'envole au loin et disparaisse». Fenalement [sic], les aviateurs ont nommé les lumières: foo fighters, inspiré de la bande dessinée «Smokey Stover», dans laquelle Smokey (un pompier) déclarait souvent: «Là où il y a du foo, il y a du feu.» L'expérience de Krasney: un objet sans ailes en forme de cigare, rougeoyant, à quelques mètres du bout de l'aile de l'avion. Ils semblent être sous contrôle parfait à tout moment», selon Strange Company: Military Encounters with UFOs in World War II de Keith Chester.

En décembre 1944, la rencontre du lieutenant Samuel A. Krasney intensifia le mystère des foofighters. Il a décrit un objet sans ailes, en forme de cigare, émettant une lumière rouge, situé à quelques mètres seulement du bout de l'aile de l'avion. Alarmé, le lieutenant Krasney a ordonné au pilote d'effectuer des manœuvres d'évitement, mais l'objet lumineux est resté près de leur avion pendant plusieurs minutes avant de s'envoler au loin et de disparaître.