ACUFO:

Un autre Anglais, Eric Myring, avait alors vingt-six ans. Il a également tenté d'échapper à l'action d'une étrange «lumière» dans le ciel de notre pays. Il était officier pilote du 272e Escadron Côtier de la RAF équipé de Beaufighter Mk.X, surtout employé pour des attaques de navires et d'objectifs portuaires, mais en cette occasion spécifique - la nuit du 2, du 5 ou du 8 juin 1944 - il effectuait une sortie sur l'intérieur des terres. Il était peut-être minuit et Myring volait sur une route de liaison entre Florence et Rome, en tout cas au sud-ouest de Florence. C'était probablement à trois ou quatre mille pieds, dans le ciel clair et éclairé par la lune. Il était parti avec d'autres d'Alghero et, avec ses compagnons, il devait attaquer tout véhicule venant du nord sur les routes menant à la capitale.

Soudain, mille mètres en dessous d'eux, Myring et son navigateur, Tom Corlett, aperçurent une lumière rouge très brillante, qui lui a fait d'abord penser que c'était un autre avion. Pendant un temps qui parut interminable à Myring - en réalité pendant cinq ou peut-être dix minutes - la lumière les suivit dans n'importe quelle direction qu'ils prenaient et quelle que soit l'action d'évitement qu'ils tentaient. La poursuite (la lumière restait toujours à une distance constante de l'avion, un autre détail qui reviendrait souvent dans les futurs cas d'OVNI-avion) ​​était si persistante que les deux hommes pensèrent qu'il s'agissait d'un avion équipé d'un système radar avancé. Le Beaufighter, cependant, était un avion très maniable et l'équipage était expert en vol à basse altitude. Ils se sont cachés entre les montagnes et les collines et ont réussi à s'en débarrasser.

De retour à Alghero, ils rapportèrent ce qu'ils avaient vu, non pas à leur officier de Renseignement, qui était en permission, mais à un jeune officier qui, lorsqu'on lui raconta qu'ils avaient été suivis par un avion avec un feu rouge, objecta: «Vous aviez vu cela c'était un avion? Est-ce qu'il se découpait sur la Lune, par exemple?» Ils ont dit non et l'officier a répondu: «Alors, comment savez-vous que c'était un avion?» Il a conclu qu'il ne pouvait pas l'enregistrer comme «un avion» et a décidé de déposer un rapport indiquant qu'ils avaient été suivis par «une lumière rouge volante». Puis, la pression des événements de guerre les détourna de la pensée de cette rencontre nocturne.

Un autre Anglais, Eric Myring, avait alors vingt-six ans. Il a également tenté d'échapper à l'action d'une étrange «lumière» dans le ciel de notre pays. Il était officier pilote du 272e Escadron côtier de la RAF équipé de Beaufighter Mk.X, surtout empo9yé pour des attaques de navires et d'objectifs portuaires, mais en cette occasion spécifique - la nuit du 2, du 5 ou du 8 juin 1944 - il effectuait une sortie sur l'intérieur des terres. Il était peut-être minuit et Myring volait sur une route de liaison entre Florence et Rome, en tout cas au sud-ouest de Florence. C'était probablement à trois ou quatre mille pieds, dans le ciel clair et éclairé par la lune. Il était parti avec d'autres d'Alghero et, avec ses compagnons, il devait attaquer tout véhicule venant du nord sur les routes menant à la capitale.

Soudain, mille mètres en dessous d'eux, Myring et son navigateur, Tom Corlett, aperçurent une lumière rouge très brillante, qui lui a fait d'abord penser que c'était un autre avion. Pendant un temps qui parut interminable à Myring - en réalité pendant cinq ou peut-être dix minutes - la lumière les suivit dans n'importe quelle direction qu'ils prenaient et quelle que soit l'action d'évitement qu'ils tentaient. La poursuite (la lumière restait toujours à une distance constante de l'avion, un autre détail qui reviendrait souvent dans les futurs cas d'OVNI-avion) ​​était si persistante que les deux hommes pensèrent qu'il s'agissait d'un avion équipé d'un système radar avancé. Le Beaufighter, cependant, était un avion très maniable et l'équipage était expert en vol à basse altitude. Ils se sont cachés entre les montagnes et les collines et ont réussi à s'en débarrasser.

De retour à Alghero, ils rapportèrent ce qu'ils avaient vu, non pas à leur officier du Renseignement, qui était en permission, mais à un jeune officier qui, lorsqu'on lui raconta qu'ils avaient été suivis par un avion avec une lumière rouge, objecta: «Vous aviez vu cela c'était un avion? Est-ce qu'il se découpait sur la Lune, par exemple?» Ils ont dit non et l'officier a répondu: «Alors, comment savez-vous que c'était un avion ? Il a conclu qu'il ne pouvait pas l'enregistrer comme "un avion" et a décidé de déposer un rapport indiquant qu'ils avaient été suivis par «une lumière rouge volante». Puis, la pression des événements de guerre les détourna de la pensée de cette rencontre nocturne.

N-1944.06. (le 2, le 5 ou le 8 pas sûr de la date exacte),

Vers 0000 heures, en Italie, au sud-ouest de Florence, sur la route Florence/Rome, un Beaufighter Mk X a vu une lumière rouge vif qui les a suivis pendant environ 5 à 10 minutes. Les mesures d'évitement n'ont pas fonctionné. (Lettres et formulaires de rapport, Collection Andy Roberts)

1944, juin

Italie, sud-ouest de Florence, le pilote d'un Beaufighter de la RAF voit une lumière rouge suivre son appareil ; ses manœuvres évasives ne servent à rien. (PROJECT ACUFOE, Catalogue 1999, Dominique Weinstein)(vog: double emploi avec le cas du 30 avril ?)

Cas 41

Juin (2, 5 ou 8) 1944

Sud-ouest de Florence, Italie

A minuit, le pilote d'un Bristol Beaufighter de la RAF survolant la route Florence - Rome a observé une lumière rouge vif qui suivait son avion. Le pilote a effectué plusieurs actions d'évitement sans résultat.

Source: Liste des cas antérieurs à 1947, Jan Aldrich

Eric Myring a vu une "lumière rouge volante" au-dessus de la zone de Florence, au début de juin 1944.

Flying Officer Eric Gordon MYRING (133790),
R.A.F.V.R., 272 Sqn.

Cet officier a effectué un grand nombre de sorties, notamment des attaques contre des navires ennemis, des installations radio et des aérodromes. En septembre 1944, le Flying Officer Myring participa à une attaque réussie contre un navire de transport dans les eaux ennemies. Dans cette opération, il fit preuve d'une habileté et d'un courage louables, participant dignement au succès obtenu. C'est un pilote très compétent et intrépide.

PAS POUR LA PUBLICATION, LA DIFFUSION DANS LES BULLETINS A L'ETRANGER OU L'UTILISATION SUR LES BANDES DE CLUB AVANT 2350 B.S.T. LE DIMANCHE 5 NOVEMBRE (c'est-à-dire POUR LES JOURNAUX DU LUNDI MATIN). NE PAS DIFFUSER DANS LE NWS DE MINUIT DU 5/6 NOVEMBRE. CET EMBARGO DOIT ETRE RESPECTE A L'ETRANGER EN PREFACE TOUT MESSAGE DEPOSE AVEC L'EMBARGO.

Service de presse du ministère de l'Air, Ministère de l'Air. Bulletin N° 16252.

RAIDERS DU «REX» DECORES

Quatre pilotes de l'escadron de Beaufighters de tir de roquettes de la Force Aérienne Alliée Côtière de la Méditerranée, qui a lancé l'attaque initiale contre le navire de ligne italien de 51.000 tonnes «Rex» dans l'Adriatique, ont reçu des récompenses immédiates. LE DISTINGUISHED SERVICE ORDER a été décerné au chef de l'attaque S/Ldr, Roderick Harry ROSE, de Charing Hill, Ashford, Kent. La DISTINGUISHED FLYING CROSS a été décernée à: F/O Eric Gordon MYRING, de 2, Robson Terrace, Shincliffe, Co. Durham; Lieutenant. [...] Lorsque l'escadron a quitté la côte Adriatique pour attaquer le paquebot, les équipages considéraient cela comme leur mission la plus importante et la plus difficile. C'était leur plus gros projet, mais aussi le plus simple. Depuis plus de deux mois, ils avaient mené de nuit des attaques à la roquette difficiles contre l'ennemi qui glissait le long de la côte entre Gênes et Spezia. Ensuite, on leur a dit d'attaquer «la plus grande cible de la guerre». [...] le F/O Myring a réussi six attaques contre six navires en un mois et a également détruit deux ponts lors d'opérations d'intrusion.