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La vague française de 1954:

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Automne 1954?, Bezancourt, Seine-Maritime:

Référence pour ce cas: Automne-54-Bezancourt.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Résumé:

Un article titré "le cas Charles" rédigé par Gérard Deforge a partir de documentation fournie par Georges Metz et "Charles P." se présente comme un compilation incomplète d'expériences répétitives de Charles P. "dans le domaine du paranormal" sur lesquelles il veut garder une certaine réserve, et sur ses observation d'OVNIS.

Les informations proviendraient "d'articles parus dans LDLN".

Charles P. est présenté comme un homme "que l'on peut classer sans aucun doute dans la catégorie des 'contactés'", d'une soixantaine d'années avec lequel "je [Georges Metz?] partage une amitié sincère bien que récente". Ses "expériences" ayant eu lieu tout au long de sa vie sont présentées, la première étant dite de "1954, probablement" et le résumé apparemment rédigé par le témoin de mémoire le 28 février 2006, raconte ceci:

A 7 ou 8 ans, à Bézancourt au hameau de La Héronde, dans le 76, a lieu son premier "souvenir ufologique" quand un soir d'automne à la nuit tombante, il jouait à la balançoire avec un de mes camarades d'école, Joël C. qui devait avoir un an de plus.

Les deux enfants étaient chez les grands-parents de Joêl C., tous deux avaient été élevés chez leurs grands-parents respectifs, Charles P. faisant remarquer qu'il lui semble que beaucoup de "témoins" ont été élevés en dehors de leur famille naturelle, ou bien ont eu une enfance particulièrement perturbée par leur environnement éducatif.

Ils étaient chez le grand-père de Joël, Mr. H., quand au-dessus de la plaine devant eux, ils ont vu "cette chose magnifique: LE CHARIOT DE FEU" qu'aujourd'hui il appelle un cigare, mais qui pour lui sera toujours "le chariot de feu": c'était de forme oblongue.

Ce "cigare" était très lumineux, de toute beauté, comme s'il se trouvait dans un "feu". Il était assez bas, à une altitude d'environ 200/250m. Il est resté à une distance constante des enfants, il a avancé par déplacements irréguliers, il stationnait dans le ciel et les enfants se sentaient observés.

Ils ont arrêté de jouer et étaient "les yeux collés à cette chose magnifique. Quand elle avançait, une grande gerbe de feu sortait de l'arrière, avec plein d'étincelles."

"Le 'cigare' a arrêté, oui je dis bien ARRÊTÉ plusieurs fois et est reparti autant de fois avec le même phénomène, il crachait du feu lors de ses déplacements. Je me souviens : le ciel était dégagé et il faisait assez frais. Je me vois encore à la balançoire ce jour, je m'en rappellerai toute ma vie, c'était magnifique."

"La chose était longue, très longue, la longueur du majeur à bout de bras peut-être."

"Au bout d'une période assez longue, plusieurs minutes, 15/20 peut-être, la chose est partie à une vitesse fulgurante dans une grande gerbe de FEU."

En rentrant à la maison, il en a parlé à son grand-père qui lui a dit, "ça, c'est encore une connerie des Russes", une réponse dont il se souvient textuellement sans savoir pourquoi. Pour lui l'affaire était close, mai il a "toujours pensé à cette observation."

Il dit être né en 1946, et que cela a donc dû se passer en 1954 lors de la vague d'OVNIS, quand on commençait à parler des "Martiens".

En 1976, il voit le "buisson ardent"... "à 300 ou 400 m de l'engin, une sensation de paralysie montait en moi, et plus j'approchais, plus j'étais pétrifié. Impossible de dire un mot à mon passager. Impossible de remuer, ne serait-ce que le petit doigt..." "En passant devant cette chose, je n'avais qu'une pensée, d'ailleurs, ce n'était pas une pensée, c'était une voix qui me parlait mentalement et avec insistance; "ce sont des extraterrestres."

"Mes mains étaient posées sur le volant, comme soudées, impossible de ralentir ou d'accélérer."

En 1984, il avait voulu retrouver Joêl C. mais "il s'est suicidé d'un coup de fusil, il est enseveli à Songeons (Oise)."

Le 4 avril 1986, son épouse maintenant décédée l'avait appelé parce qu'elle voyait une soucoupe volante face à la baie vitrée de leur appartement, à Forges les Eaux.

Un matin en 1996, il trouve une pierre ronde dans un tuya de son jardin, qu'il fera analyser par une "Union Européenne de Chercheurs pour le Droit de Savoir" d'où:

"L'Union Européenne de Chercheurs pour le Droit de Savoir a bien reçu votre lettre du 24 Juillet dernier, accompagnée d'une boîte plastique, dont l'intérieur contenait une pierre arrondie de teinte ivoire (souligné par G.D.) tombée dans votre jardin. Cette pierre, passée à la loupe recèle des marques gravées en forme de croissant simple ou double, comme deux ailes d'oiseaux. Le pourtour est parsemé d'une croûte jaunâtre, qui une fois grattée, donne à la poudre obtenue, une effluve rappelant l'intérieur d'une chambre de moteur électrique. Ce caillou, de la grosseur d'une agate, n'est pas commun, il est excessivement poli, comme un objet d'antiquité ayant supporté plusieurs siècles. Autre particularité, nous avons demandé à notre photographe de réaliser quelques clichés agrandis pour essayer de décrypter si possible le symbolisme, s'il existe."

En 1996, il est allé "chez Dany Dan, accompagné du Cdt. J.G., faire une régression hypnotique." D'où entre autres: "L'être qui m'a accueilli dans la lumière était sombre, plutôt noir, comme s'il était habillé d'une combinaison, de la tête au pied. Il était de proportion humaine, bras, jambes, corps, mais je n'ai pu voir ses membres, mains …. etc., à cause de cette combinaison. Je me souviens des jambes, mais pas des pieds. D'ailleurs, je ne lui regardai pas les pieds, mais bien de face, je n'avais aucune crainte. La tête semblait de proportion normale, sauf que les oreilles étaient grandes. Elles arrivaient à hauteur du sommet du crâne environ, elles étaient fines et pointues, noires comme le corps, comme si la combinaison avait des oreilles."

Un matin du printemps 1995, en faisant sa toilette et en se lavant les dents, il a ressenti un picotement sur la langue. A sa grande stupéfaction, il a vu un trou au fond de sa langue, une plaie cicatrisée, comme si elle l'avait été par cautérisation, comme sur les animaux. [Etc...]

Rapports:

[Ref. lru1:] "LES REPAS UFOLOGIQUES":

Un article titré "le cas Charles" rédigé par Gérard Deforge a partir de documentation fournie par Georges Metz et "Charles P." se présente comme un compilation incomplète d'expériences répétitives de Charles P. "dans le domaine du paranormal" sur lesquelles il veut garder une certaine réserve, et sur ses observation d'OVNIS.

Les informations proviendraient "d'articles parus dans LDLN".

Charles P. est présenté comme un homme "que l'on peut classer sans aucun doute dans la catégorie des 'contactés'", d'une soixantaine d'années avec lequel "je [Georges Metz?] partage une amitié sincère bien que récente". Ses "expériences" ayant eu lieu tout au long de sa vie sont présentées, la première étant dite de "1954, probablement" et le résumé apparemment rédigé par le témoin de mémoire le 28 février 2006, raconte ceci:

A 7 ou 8 ans, à Bézancourt au hameau de La Héronde, dans le 76, a lieu son premier "souvenir ufologique" quand un soir d'automne à la nuit tombante, il jouait à la balançoire avec un de mes camarades d'école, Joël C. qui devait avoir un an de plus.

Les deux enfants étaient chez les grands-parents de Joêl C., tous deux avaient été élevés chez leurs grands-parents respectifs, Charles P. faisant remarquer qu'il lui semble que beaucoup de "témoins" ont été élevés en dehors de leur famille naturelle, ou bien ont eu une enfance particulièrement perturbée par leur environnement éducatif.

Ils étaient chez le grand-père de Joël, Mr. H., quand au-dessus de la plaine devant eux, ils ont vu "cette chose magnifique: LE CHARIOT DE FEU" qu'aujourd'hui il appelle un cigare, mais qui pour lui sera toujours "le chariot de feu": c'était de forme oblongue.

Ce "cigare" était très lumineux, de toute beauté, comme s'il se trouvait dans un "feu". Il était assez bas, à une altitude d'environ 200/250m. Il est resté à une distance constante des enfants, il a avancé par déplacements irréguliers, il stationnait dans le ciel et les enfants se sentaient observés.

Ils ont arrêté de jouer et étaient "les yeux collés à cette chose magnifique. Quand elle avançait, une grande gerbe de feu sortait de l'arrière, avec plein d'étincelles."

"Le 'cigare' a arrêté, oui je dis bien ARRÊTÉ plusieurs fois et est reparti autant de fois avec le même phénomène, il crachait du feu lors de ses déplacements. Je me souviens : le ciel était dégagé et il faisait assez frais. Je me vois encore à la balançoire ce jour, je m'en rappellerai toute ma vie, c'était magnifique."

"La chose était longue, très longue, la longueur du majeur à bout de bras peut-être."

"Au bout d'une période assez longue, plusieurs minutes, 15/20 peut-être, la chose est partie à une vitesse fulgurante dans une grande gerbe de FEU."

En rentrant à la maison, il en a parlé à son grand-père qui lui a dit, "ça, c'est encore une connerie des Russes", une réponse dont il se souvient textuellement sans savoir pourquoi. Pour lui l'affaire était close, mai il a "toujours pensé à cette observation."

Il dit être né en 1946, et que cela a donc dû se passer en 1954 lors de la vague d'OVNIS, quand on commençait à parler des "Martiens".

En 1976, il voit le "buisson ardent"... "à 300 ou 400 m de l'engin, une sensation de paralysie montait en moi, et plus j'approchais, plus j'étais pétrifié. Impossible de dire un mot à mon passager. Impossible de remuer, ne serait-ce que le petit doigt..." "En passant devant cette chose, je n'avais qu'une pensée, d'ailleurs, ce n'était pas une pensée, c'était une voix qui me parlait mentalement et avec insistance; "ce sont des extraterrestres."

"Mes mains étaient posées sur le volant, comme soudées, impossible de ralentir ou d'accélérer."

En 1984, il avait voulu retrouver Joêl C. mais "il s'est suicidé d'un coup de fusil, il est enseveli à Songeons (Oise)."

Le 4 avril 1986, son épouse maintenant décédée l'avait appelé parce qu'elle voyait une soucoupe volante face à la baie vitrée de leur appartement, à Forges les Eaux.

Un matin en 1996, il trouve une pierre ronde dans un tuya de son jardin, qu'il fera analyser par une "Union Européenne de Chercheurs pour le Droit de Savoir" d'où:

"L'Union Européenne de Chercheurs pour le Droit de Savoir a bien reçu votre lettre du 24 Juillet dernier, accompagnée d'une boîte plastique, dont l'intérieur contenait une pierre arrondie de teinte ivoire (souligné par G.D.) tombée dans votre jardin. Cette pierre, passée à la loupe recèle des marques gravées en forme de croissant simple ou double, comme deux ailes d'oiseaux. Le pourtour est parsemé d'une croûte jaunâtre, qui une fois grattée, donne à la poudre obtenue, une effluve rappelant l'intérieur d'une chambre de moteur électrique. Ce caillou, de la grosseur d'une agate, n'est pas commun, il est excessivement poli, comme un objet d'antiquité ayant supporté plusieurs siècles. Autre particularité, nous avons demandé à notre photographe de réaliser quelques clichés agrandis pour essayer de décrypter si possible le symbolisme, s'il existe."

En 1996, il est allé "chez Dany Dan, accompagné du Cdt. J.G., faire une régression hypnotique." D'où entre autres: "L'être qui m'a accueilli dans la lumière était sombre, plutôt noir, comme s'il était habillé d'une combinaison, de la tête au pied. Il était de proportion humaine, bras, jambes, corps, mais je n'ai pu voir ses membres, mains …. etc., à cause de cette combinaison. Je me souviens des jambes, mais pas des pieds. D'ailleurs, je ne lui regardai pas les pieds, mais bien de face, je n'avais aucune crainte. La tête semblait de proportion normale, sauf que les oreilles étaient grandes. Elles arrivaient à hauteur du sommet du crâne environ, elles étaient fines et pointues, noires comme le corps, comme si la combinaison avait des oreilles."

Un matin du printemps 1995, en faisant sa toilette et en se lavant les dents, il a ressenti un picotement sur la langue. A sa grande stupéfaction, il a vu un trou au fond de sa langue, une plaie cicatrisée, comme si elle l'avait été par cautérisation, comme sur les animaux. [Etc...]

Explications:

Carte.

Fables de type "contacté".

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Bezancourt, Seine-Maritime, Charles, contacté, paranormal, répétitif, cigare, brillant, traînée, arrêt, durée, feu, enfants, anonyme

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
1.0 Patrick Gross 27 octobre 2016 Première publication.
1.1 Patrick Gross 20 décembre 2019 Addition du Résumé. Explications changées, étaient "Non encore recherchée."

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Cette page a été mise à jour le 20 décembre 2019.