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Référence pour ce cas: Déb-oct-54-Saint-Nazaire.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Le magazine d'ufologie Lumières Dans la Nuit (LDLN) N° 273-274 de mars - avril 1987 relatait une observation à partir du récit fait à un enquêteur de LDLN en décembre 1978 à Rennes, qui l'avait enregistrée au magnétophone.
Dans la première quinzaine d'octobre 1954, aux environs de 10 h 45 du matin, M. T., alors âgé de 18 ans. élève de 1re B au lycée Aristide-Briand à Saint-Nazaire, venait de sortir dans la cour de ce lycée après un cours de math, avec 5 ou 6 camarades de classe. Ils étaient les premiers sortis, il n'y avait personne d'autre dans la cour à ce moment. Il faisait beau temps, le ciel était sans nuage.
Soudain, l'un des camarades de T. poussa une exclamation, en montrant quelque chose dans le ciel. T. a alors vu, en direction du Nord, au-dessus des toits des maisons qui avoisinaient le lycée, quelque chose de très brillant, qui avançait lentement et silencieusement. La "chose" brillait d'un tel éclat qu'on voyait mal sa forme, qui semblait plus ou moins ronde. Elle avançait du Nord-Ouest vers le Sud-Est.
T. pensa que cela ressemblait au cockpit vitré d'un hélicoptère sur lequel le soleil se serait reflété, ce qui empêchait d'en distinguer les contours. L'altitude de la "chose" semblait être celle d'un hélicoptère volant à basse altitude.
Un des camarades de T. s'est écrié: "Ce n'est pas une soucoupe volante, tout de même!" Mais T. a eu l'impression que chacun de ses camarades se posait cette question, comme lui-même.
La "chose" fut visible pendant environ minute, puis a été cachée par un toit de maison. Pendant l'observation, la trajectoire n'a pas variée ni en direction ni en vitesse.
Ce qui avait impresionna le plus T. a été le silence total de la "chose", malgré sa proximité.
En décembre 1979, T. est retourné sur les lieux exacts de l'observation, sur le parking de la Sécurité Sociale qui a été construit à l'emplacement de l'ex-collège Aristide-Briand d'après-guerre. M. T. voulait vérifier à quelle distance il avait vu la "chose" de 1954, en se basant sur les toits des maisons. Il a alors estimé cette distance entre 100 et 150 mètres.
M. T. se souvenait très bien de cette observation, plus de 30 ans après, et ne trouvait toujours aucune explication à ce qu'il a vu. L'auteur de l'article note que d'après la dimension et la vitesse, on pourrait penser à un hélicoptère, mais à moins de 150 mètres, il y aurait eu du bruit, alors que cela avait été le silence total...
[Ref. ldl1:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "LUMIERES DANS LA NUIT":
1re OBSERVATION
Date: 1re quinzaine d'octobre 1954
Heure: aux environs de 10 h 45
Durée: 1 minute environ
Météo: beau temps, ciel sans nuage.
Témoins: M. T. et une demi-douzaine de lycéens
Lieu: Saint-Nazaire (L.-A.)
Ce matin-là, M .T. - alors âgé de 18 ans - était élève de 1re B au lycée Aristide-Briand à Saint-Nazaire (44).
Il venait de sortir dans la cour, après un cours de math, avec ses camarades de classe (5 ou 6). Il devait être aux environs de 10 h 45 du matin; c'était l'inter-cours, mais ils étaient les premiers sortis: il n'y avait personne d'autres dans la cour du collège.
Soudain, l'un des camarades de T. poussa une exclamation, en montrant quelque chose dans le ciel. T. vit alors, en direction du Nord, au-dessus des toits des maisons qui avoisinaient le collège, quelque chose de très brillant, qui avançait lentement et silencieusement. La "chose" brillait d'un tel éclat qu'on voyait mal sa forme, qui semblait plus ou moins ronde. Elle avançait du Nord-Ouest vers le Sud-Est.
T. pensa que cela ressemblait au cockpit vitré d'un hélicoptère sur lequel le soleil se serait reflété, ce qui empêchait d'en distinguer les contours. L'altitude de la "chose" semblait être celle d'un hélicoptère volant à basse altitude.
Un des camarades de T. s'écria: "Ce n'est pas une soucoupe volante, tout de même!" Mais T. eut l'impression que chacun de ses camarades, se posait cette question, comme lui-même.
La "chose" fut visible pendant environ minute, puis fut cachée par un toit de maison. Pendant l'observation, la trajectoire ne varia pas de direction, ni de vitesse.
Ce qui impresionna le plus T. fut le silence total de la "chose", malgré sa proximité.
NB. En décembre 1979, T. est retourné sur les lieux exacts de l'observation de 1954, c'est-à-dire sur le parking de la Sécurité Sociale (qui était construite à l'emplacement de l'ex-collège Aristide-Briand d'après-guerre). M. T. voulait vérifier à quelle distance il avait vu la "chose" de 1954, en se basant sur les toits des maisons. Il estima cette distance entre 100 et 1 50 mètres.
Cette observation fut relatée à un enquêteur de LDLN, en décembre 1978 à Rennes, qui l'enregistra au magnétophone.
M. T. se souvient très bien de cette observation, plus de 30 ans après. Il ne trouve toujours aucune explication à ce qu'il a vu (d'après la dimension et la vitesse, on peut penser à un hélico, mais à moins de 150 m cela aurait fait du bruit! Or, c'était le silence total...)
La description peut effectivement faire penser à un hélicoptère illuminé par un reflet du soleil, mais le silence, comme le signale le témoin, n'y correspond pas.
Par prudence tout de même, je note le cas comme "non identifié."
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Saint-Nazaire, Loire-Atlantique, Dominique de Tarragon, matin, lycéens, collège, lycée, lycée Aristide-Briand, cour, brillant, lent, silencieux, rond, cockpit, vitre, hélicoptère, reflet, bas, soucoupe volante, durée
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
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1.0 | Patrick Gross | 20 juillet 2022 | Première publication. |