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Référence pour ce cas: 9-jan-54-Damparis.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Dans son livre de 1956 "Alerte Dans Le Ciel", le journaliste et ufologue pionnier Charles Garreau interprétait ce qui était un passage de météore sur l'Est de la France le 9 janvier 1954 comme étant un survol par une soucoupe volantes.
Parmi les cas qu'il citait, il y avait celui de Mr. Bernard Mercier, ingénieur à la Société Générale de Fonderie, qui lui avait écrit de Damparis:
"... L'engin était nettement discoïde, semblant tourner sur lui-même, et progressant à une vitesse que j'évaluai à deux fois celle d'un avion à réaction. Il me semble à une hauteur angulaire de 30 à 40° au-dessus de l'horizon. Il avait un diamètre apparent légèrement inférieur à celui de la lune. J'en ai déduit que son diamètre pouvait être d'une cinquantaine de mètres, et sa hauteur de 2 000 mètres environ... Il disparut en direction de Lons-le-Saunier après avoir survolé le camp d'aviation de Tavaux. Son vol était absolument silencieux, et, sur le ciel encore sombre, il projetait une aveuglante lumière qui tirait sur le jaune, semblable à celle que produit le cuivre brûlant dans l'oxygène..."
[Ref. cgu2:] CHARLES GARREAU:
Le journaliste, auteur et ufologue pionnier indiquait que samedi le 9 janvier 1954 à l'aube, il y a eu une "incursion fulgurante" sur l'est de la France, qui selon lui "semble devoir faire date dans le volumineux dossier des 'soucoupes volantes'".
Garreau indiquait que de "tous les points" de la région, les renseignements ont afflué à sa rédaction, sur un objet qui "évolua pendant près de deux heures au-dessus de l'Est."
Il disait que les premiers rapports laissaient la porte ouverte à toutes les hypothèses, météore, ballon, avion à réaction, "ou soucoupe!", mais que les rapports qui lui sont parvenus par la suite élimineraient toutes les hypothèses sauf celle de la soucoupe volante.
Il rappelait que les météores ont toujours une trajectoire parfaitement rectiligne, une vitesse constante relativement élevée de 30 à 40000 km/h, et que les ballons, ont une vitesse apparente qui ne peut dépasser celle des courants stratosphériques les plus violents, de 3 à 400 km/h.
Il indiquait que Mr. Bernard Mercier, ingénieur à la Société générale de fonderie lui a écrit de Damparis:
"... L'engin était nettement discoïde, semblant tourner sur lui-même, et progressant à une vitesse que j'évaluai à deux fois celle d'un avion à réaction. Il me semble à une hauteur angulaire de 30 à 40° au-dessus de l'horizon. Il avait un diamètre apparent légèrement inférieur à celui de la lune. J'en ai déduit que son diamètre pouvait être d'une cinquantaine de mètres, et sa hauteur de 2 000 mètres environ... Il disparut en direction de Lons-le-Saunier après avoir survolé le camp d'aviation de Tavaux. Son vol était absolument silencieux, et, sur le ciel encore sombre, il projetait une aveuglante lumière qui tirait sur le jaune, semblable à celle que produit le cuivre brûlant dans l'oxygène..."
Il expliquait qu'aucun météore ou ballon n'aurait pu se livrer au "zigzag" montré selon lui par les observations de ce matin, et qu'aucun avion du moment n'aurait été capable "de s'immobiliser puis de foncer à plus de 3 000 à l'heure", performances qu'il déduit de certaine des observations et des distances entre points d'observations en se basant sur les heures d'observations rapportée.
Garreau ajoutait que "pour ne laisser subsister aucun doute", il avait interrogé les différentes stations de météo régionales, et qu'on lui avait dit qu'aucun ballon n'avait lâché.
A la base américaine de Semoutiers, près de Chaumont, on lui avait dit "Ce n'était ni un ballon, ni un avion, de chez nous."
Il ajoutait que l'observatoire de Besançon n'avait rien vu, et que les radars de Contrexéville et de Dijon ainsi que le goniomètre de Perrogney en Haute-Saône n'avaient rien vu, puisque leurs spécialistes ne prenaient leur service qu'à huit heures.
Il ajoutait que le "Bureau scientifique" avait hésité à prendre position, disant que la seule explication "naturelle" possible serait celle d'un météore, mais "le périple décrit par l'objet est tel qu'il ne pourrait s'agir d'un seul météore. Il faudrait donc admettre que c'est un essaim de météorites qui a traversé "(sous les nuages!!!)" le ciel de l'Est de la France en suivant des trajectoires différentes."
Le météore du 9 janvier 1954 à 07:48.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Damparis, Jura, Bernard Mercier, ingénieur, engin, disque, rotation, rapide, Lons-le-Saunier, silencieux, aveuglant, lumineux, jaune, combustion, cuivre
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
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1.0 | Patrick Gross | 5 février 2020 | Première publication. |