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La vague française de 1954:

La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.

2 juillet 1954, Vielmanay, Nièvre:

Référence pour ce cas: 2-jul-54-Vielmanay.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Résumé:

Dans son livre de 1997 sur la vague française de 1954, l'auteur Jean Sider rapportait que le 2 juillet 1954, à midi, à Châteauneuf-Val-de-Bargis dans la Nièvre, Justin Creux, épicier à Vielmanay, roulait en voiture quand au lieu du "Le Château", il a été soudainement ébloui par une lueur intense.

Il a ensuite perçu une détonation et son pare-brise a volé en éclat. Il est parvenu, difficilement, à arrêter son véhicule.

Jean Sider indiquait que sa source est un article en page 2 et 4 du journal Le Régional de Cosne du 3 juillet 1954.

Rapports:

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

Jean Sider rapporte que le 2 juillet 1954, à midi, à Châteauneuf-Val-de-Bargis dans la Nièvre, Justin Creux, épicier à Vielmanay, roulait en voiture, quand, au lieu du "Le Château", il a été soudainement ébloui par une lueur intense.

Il a ensuite perçu une détonation et son pare-brise a volé en éclat.

Il est parvenu, difficilement, à arrêter son véhicule.

Jean Sider indique que sa source est un article en page 2 et 4 du journal "Le Régional de Cosne" du 3 juillet 1954.

[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:

1954

[...]

2 juillet

[...]

Au lieu-dit Le Château (Nièvre), Justin Creux, épicier à Vielmanay, roule en voiture. Il est soudain ébloui par une lueur intense. Puis il perçoit une détonation et son pare-brise vole en éclat. Il parvient néanmoins à arrêter difficilement son véhicule (Le Regional de Cosne, 3 juillet 1954, p. 2 et 4).

[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:

Luc chastan indique que dans la "Nièvres" à Vielmanay le 2 juillet 1954 à une heure non connue, "Au lieu-dit Le Château, le témoin roule en voiture. Il est soudain ébloui par une lueur intense. Puis il perçoit une détonation et son pare-brise vole en éclat. Il parvient néanmoins à arrêter difficilement son véhicule."

La source est indiqué comme "RR0 ** http://www.rr0.org".

[Ref. ema1:] SITE WEB "LES EMANENTS, MESSAGERS DE LA NATURE":

La région du Sud de la France est soumis à de mystérieuses vibrations d'origines inconnues, d'autres régions de la France aussi, ce phénomène est connu dans d'autres pays.

[... autre cas...]

- Le 02/07/1954 à Vielmanay dans la Nièvre ou le conducteur d’un véhicule est surpris par une intense lueur suivie d’une forte explosion qui brisera le pare-brise de sa voiture.

[... autre cas...]

Explications:

Carte.

L'épidémie de dommages sur les pare-brises en 1954, appelée "cancer des vitres" ou "parebrisite" est devenue un exemple souvent cité "d'illusion collective" ou "hystérie de masse". Sociologues et psychologues font référence à ces incidents en France, aux Etats-Unis, pour assurer que les "foules" peuvent facilement être la proie de mythes collectifs sans fondements.

Et bien entendu, certains ufologues "sceptiques" expliquent que la "parebrisite" qui a précédé la vague des "soucoupes volantes" de 1954 prouve que les soucoupes aussi ne sont qu'illusions.

Aucun ne met en avant le point suivant: "l'hystérie collective" ici ne concernerait de toute façon que l'interprétation des faits, pas les faits eux-mêmes. Et les interprétations n'étaient pas réellement "hystériques", elles étaient des tentatives de rationalisation tout à fait compréhensibles et sensées dans le contexte de l'époque.

Toutes sortes d'explications avaient été avancées à l'époque pour le "cancer des vitres", celle de "vandales", celle de défats de conceptions des vitres, etc. Aux Etats-Unis, la police avait constaté que l'épidémie touchait surtout les anciennes voitures, et on a pensé que les vitres explosaient donc par la suite de leur usure.

Cet incident-là n'a probablement rien à voir avec des extraterrestres. On pourrait alors penser à une explosion de la vitre heurtée par un cailloux de la chaussée, par exemple. Ou bien un choc thermique - il était midi en juillet, la voiture avait peut-être été à l'ombre avant. La lueur qui l'a aveuglé pourrait être liée à la fragmentation soudaine de la vitre réfléchissant aussi soudaienemtn la lumière du soleil vers ses yeux. La détonation n'a rien d'étonnant non plus.

Dans le récit donné par Jean Sider, on a l'impression que le témoin a d'abord vu la lumière, puis entendu une détonation, puis son pare-brise a volé en éclaot; comme s'il s'agissait d'événements successifs. Mais c'est ssans doute une fiction purement dûe à la narration, ilest parfaitement vraisemblable que tout ceci se soit produit en même temps.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Vielmanay, Châteauneuf-Val-de-Bargis, Nièvre, Le Château, Justin Creux, épicier, voiture, route, automobile, ébloui, lumière, effet, son

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 31 décembre 2004 Première publication.
1.0 Patrick Gross 25 décembre 2009 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Addition [lcn1].
1.1 Patrick Gross 2 juillet 2019 Additions [ema1], Résumé. Explications changées, étaient "Non encore recherchée."

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Cette page a été mise à jour le 2 juillet 2019.