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Référence pour ce cas: 20-nov-54-Blaison.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Des journalistes du journal régional Le Courrier de l'Ouest ont informé sur une rencontre qui est arrivée à Mme Besnier, une fermière dans la soixantaine, à sa ferme de Le Petit Cotillon, Blaison, Maine-et-Loire, France, le 20 novembre 1954, au milieu de l'après-midi autour de 15:00 et pas plus tard que 15:30.
Après avoir cherché des oignons et quelques clous de girofle ou ail dans son grenier, elle se tenait au bas de l'escalier en pierre qu'elle avait juste descendu, quand elle a vu un objet circulaire de la taille "d'une table ronde respectable" dans la cour. Elle a eu des difficultés à trouver des mots pour décrire le matériel dont la chose était faite, disant qu'elle serait incapable de dire si c'était fait de bois, ou aluminium, ou toute autre chose.
Puis, au moment où elle est descendait la dernière marche, un petit "mannequin" de la taille d'un enfant s'est précipité sur elle et a pris les oignons qu'elle tenait dans un pan de son tablier. Ella a également vu un nombre non spécifié d'autres tels êtres dans la cour. Ils avaient une apparence humaine mais leur peau était jaune et ils avaient de petits yeux noirs perçants. Ils étaient entièrement enveloppés d'une tenue brune, avec un certain genre de "sac à dos", décrit comme similaire à une sorte de petite sulfateuse, et sur leur bouche, une sorte de tuyau était fixé, qui provenait d'une sorte de capuche.
Pendant que l'être se précipitait sur elle et lui prenait des oignons, et pendant qu'elle voyait les autres êtres, elle est tombée en arrière et s'est fait mal, de sorte qu'elle n'a pas pu les voir entrer dans leur soucoupe; mais quand elle s'est relevée et a regardé dans le ciel, elle a vu, très haut, une "étoile brillante" qui a jailli dans le ciel.
Le journaliste ou les journalistes indiquent qu'ils ont rencontré Mme Besnier et lui ont demandé des détails sur son témoignage. Elle leur a répondu sans la moindre hésitation. Ils ont noté qu'elle est une femme calme qui n'a peur de rien et n'avait entendu parler de soucoupes volantes que par des bribes de conversations.
Le journaliste ou les journalistes indiquent que les voisins, et le maire de Blaison, à qui ils ont demandé leur avis, étaient unanimes à déclarer que Mme Besnier est une femme calme qui n'avait jamais causé d'histoires, et qu'elle n'a pas inventé ce qu'elle raconte.
Après la rencontre, Mme Besnier n'a pas mangé pendant 48 heures, et est restée alité un certain temps, tremblante, avec des symptômes de saisissement.
[Ref. nbm1:] JOURNAL "LES NOUVELLES DE BRETAGNE ET DU MAINE":
Notre confrère "Le Courrier de l'Ouest" raconte l'étrange aventure qui vient d'arriver à une fermière de Blaison (Maine-et-Loire), Mme Besnier. Voici le récit de notre confrère:
Mme Besnier revenait de quérir des oignons et quelques gousses d'ail dans son grenier lorsqu'au bas de l'escalier de pierre qu'elle venait de descendre elle fut mise en présence de visiteurs de l'espace. Mystification? Hallucination? Nous ne saurions le dire et pour cette raison il nous a paru utile de nous rendre au lieu de cette brève rencontre et de faire préciser à Mme Besnier son témoignage. C'est une femme tranquille d'une soixantaine d'années qui n'a peur de rien et n'a entendu parler de soucoupe volante que par des bribes de conversation.
- A quelle heure "la chose" s'est-elle produite? Lui avons-nous demandé.
- En plein après-midi, vers 15h, 15h30 tout au plus.
- Comment avez-vous vu l'engin?
- En sortant du grenier, j'ai vu dans la cour un objet circulaire de la taille d'une bonne table ronde. Etait-il en bois, en aluminium ou autre, je n'en sais rien.
- Et alors?
- Alors, au moment où je descendais la dernière marche, un petit "mannequin" de la taille d'un enfant s'est précipité sur moi et a pris les oignons que je tenais dans un pan de mon tablier.
- Avait-il l'apparence humaine?
- Oui. Ils étaient habillés d'un costume marron qui les enveloppait entièrement. Sur leur bouche, une sorte de tuyau était fixé qui prenait naissance dans une sorte de hotte, comme une petite sulfateuse qu'ils avaient sur le dos.
- Comment était leur visage?
- Leur peau était jaune et leurs yeux petits, noirs et perçants.
Sans aucune hésitation, Mme Besnier a répondu aux questions que nous lui posions sans relâche. Elle ne vit pas les étranges "mannequins," comme elle les appelle, remonter dans leur soucoupe; mais "arrivée dans la cour après m'être relevée - j'étais en effet tombée à la renverse en les voyant et souffrais des reins - j'ai regardé en l'air dans le ciel et j'ai vu très haut une étoile brillante qui s'élançait dans le ciel."
Les voisins, le maire de Blaison, auxquels nous avons demandé leur avis sur l'étrange rapport, ont été unanimes. "Ce n'est pas une histoire. Cette personne est des plus calmes et n'a jamais fait parler d'elle." Et comme preuve ultime qu'elle a bien vu quelque chose, Mme Besnier n'a pas mangé pendant 48 heures, et tremblante, transie de froid et de saisissement, elle est restée alitée quelque temps.
[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:
L'ufologue français Jean Sider est celui qui a retrouvé le cas dans la presse régionale. Il fournit une synthèse fidèle à la source de ce cas dans son livre "Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste."
Dans la partie "catalogue" de son livre, il écrivait:
100 - 20 novembre, 15h00, Le Petit-Cotillon, Blaison, Maine-et-Loire.
Mme Besnier, 60 ans.
Mme Besnier, qui a une soixantaine d'années, était montée dans son grenier (par un escalier extérieur), pour chercher des oignons et quelques gousses d'ail. En redescendant elle aperçut dans la cour de sa ferme un objet étrange, une sorte de champi¬gnon géant, de la hauteur d'une bonne table ronde (sic), faite d'une matière qu'elle ne put identifier. De cet appareil surgirent deux petits "mannequins", personnages de taille réduite, faisant environ lmlO. Ils étaient vêtus d'un costume marron qui les enveloppait entièrement. Sur leur bouche, une sorte de tuyau était fixé, qui prenait naissance dans un genre de hotte, comme un petit réservoir de sulfateuse, qu'ils portaient sur le dos. Leur peau était jaune et ils avaient de petits yeux noirs perçants. Ils s'approchèrent de Mme Besnier, laquelle se sentit incapable de bouger, comme paralysée par une étrange force. L'un des petits hommes s'empara des oignons que la fermière tenait dans le pan de son tablier. Puis, à en croire Mme Besnier, les êtres se démasquèrent (sic) et prononcèrent quelques paroles qu'elle ne comprit pas. Il semble que le témoin ait perdu la notion du temps écoulé ou qu'elle soit tombée sans connaissance (point mal éclairci par mes sources). Quoi qu'il en soit, lorsque la brave dame reprit ses esprits, ce fut pour apercevoir un point lumineux qui montait dans le ciel avec une traînée brillante derrière lui.
Les journalistes ayant rencontré Mme Besnier la présentent comme une femme tranquille ne lisant pas les journaux et n'ayant entendu parler des soucoupes volantes que par des bribes de conversation. Le Maire et les voisins interrogés ont certifié que Mme Besnier est une personne des plus calmes qui n'a jamais fait parler d'elle. Ma seconde source précise qu'à la suite de cet incident, Mme Besnier ne mangea pas pendant 48 heures et que "transie de froid et de saisissement, elle est restée alitée quelque-temps".
Sources locales: Le Courrier de l'Ouest, Angers, 24 novembre, p. 2, et 28 novembre 1954, p. 4; Les Nouvelles de Bretagne et du Maine, Rennes, 26 novembre 1954, p. 4.
Nota: Il s'agit là d'une synthèse de mes deux premières sources (Le Courrier de l'Ouest) car des reporters vinrent sur place pour questionner le témoin et faire l'enquête de voisinage. Une contre-enquête faite en 1989 par Mr. Roger Chéreau (membre de LDLN à l'époque), a établi que Mme Besnier était décédée quelques années après l'incident et que sa descendance était éparpillée dans la région angevine. Quelques habitants se sou¬venaient vaguement de l'affaire et avaient toujours cru à un canular journalistique. Lorsqu'ils furent mis au courant de la réalité et de l'ampleur de la vague de 1954, ils s'en étonnèrent et reconsidérèrent leur jugement initial.
Ce cas est l'un des plus extraordinaires et des plus sûrs que nous possédions, la personnalité du témoin écartant toute idée de plaisanterie. Une fermière de 60 ans a en effet d'autres préoccupations que l'envie de mystifier son prochain, surtout avec une histoire aussi "invraisemblable". Enfin, cette RR3 ressemble un peu à celle de Cennina, Italie, qui se produisit vingt jours plus tôt (voir Annexe I, le dossier sur la vague de 1954 en Italie).
En fin de catalogue, Jean Sider explique qu'il ne peut pas exclure qu'il y ait dans son catalogue deux ou trois méprises ou de canulars. Il explique ensuite que la teneur "absurde" des récits "renforce" sa théorie: il ne s'agit pas d'extraterrestres mais de "leurres", qu'une "intelligence supérieure nous distille pour abuser notre jugement". Dans ce cas, par exemple, il se demande pourquoi des etxraterrestres auraient aterri en plein jour dans la cour d'une ferme pour voler les ognons d'une vielle dame, alors qu'il auraient pu en ramasser dans les champs la nuit sans se faire voir.
[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":
4408: 1954/11/20 15:00 60 0:22:00 O 47:24:00 N 3333 WEU FRN M&L 9:6
BLAISON,FR:SCR ^/FERME:2 OIDS SORTENT:1 PREND ONIONS fm PRLZD OBS!:MST?:/LDLN#325
Ref#217 Jean SIDER: Le DOSSIER 1954 (2 vol.) Page No. 226 : PAYS DE FERMES
[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:
233.
Lieu. Blaison Maine Et Loire France
Date: 20 novembre 1954
Heure: 1500
Une Mme Besnier retournait de chercher des oignons et quelques gousses d'ail dans son grenier au fond de l'escalier en pierre et pendant qu'elle marchait hors du grenier elle a vu un objet métallique circulaire apparemment sur la terre dans sa cour. Il a semblé être fait en aluminium. Quand elle a descendu la dernière marche, un petit personnage de la taille d'un enfant s'est précipité sur elle et a pris les oignons, qu'elle tenait dans un pan de son tablier. D'autres humanoïdes sont maintenant devenus visibles. Les humanoïdes étaient d'aspect humains et étaient totalement enveloppés dans un costume brun. Sur leurs bouches, ils portaient un genre de tuyau qui était relié à une sorte de capuche et appareil fixés à leurs dos. Leur peau était jaune et ils avaient de petits yeux noirs perçants. Le témoin a couru et n'a apparemment pas vu les humanoïdes retourner à leur "soucoupe". Mme Besnier n'a pas mangé pendant 48 heures après l'incident et est restée confinée au lit pendant un certain temps.
Addition HC # 2398
Source: LDLN # 325
Type: B?
[Ref. edr1:] EMMANUEL DEHLINGER:
L'auteur indique qu'à Le Petit-Cotillon, à Blaison dans le Maine-et-Loire, le 20 novembre 1954, un objet en forme de champignon et deux petits mannequins costumés de 1.10 mètreS ont surgit, et qu'une fermière qui en est témoin est paralysée. Un des êtres s'est emparé des oignons qu'elle tient à la main et elle perd la notion du temps écoulé, ce qui évoque pour l'auteur une période de "missing time". Quand elle reprend ses esprits, elle observe un point lumineux avec une traînée dans le ciel, et elle a eu un malaise durant 48 heure. L'auteur ajoute qu'une enquête semble permettre d'exclure l'idée d'un canular et que des cas similaires en Italie excluent une hallucination, et que ce sont donc des militaires qui ont tiré secrètement sur le témoin avec des rayons micro-ondes ou maser pour lui faire avoir ces hallucinations. L'auteur n'indique pas de sources.
[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan indique que dans le Maine et Loire à Blaison le 20 novembre 1954 à 15:00 heures, "Une femme agée monte dans son grenier par un escalier extérieur au lieu dit le Petit Cotillon, pour chercher des oignons et de l'ail. En redescendant elle voit dans la cour de sa ferme un objet de la forme d'un champignon de la hauteur d'une table. De l'objet surgissent deux entités de taille d'environ 1 m 10. Ils sont vétus d'un costume marron les enveloppant entièrement un tuyau est fixé sur leur bouche qui prend naissance dans une sorte de petit réservoir qu'ils portent sur le dos. Leur peau est jaune et ils ont de petits yeux noirs. Il s s'approchent de la vieille femme qui est paralysée par une étrange force. L'un d'entre eux s'emparent des oignons que la femme tenait dans le pan de son tablier. Puis ils enlèvent leur tuyaux (se démasquent d'après le témoin) et prononcent quelques paroles qu'elle ne comprend pas. La femme perd connaissance. Quand elle reprend ses esprits elle observe alors un point lumineux qui monte dans le ciel avec une trainée derrière lui. La femme resta 48 heures sans manger et transie de froid elle resta au lit pendant quelque temps."
La source est indiquée comme "Lumières dans la Nuit".
[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 20 novembre 1954 à 15:00 à Blaison, France, "disque atterrit à ferme, deux petits humanoïdes sortent. L'un prend des oignons du témoin étonné. Missing time possible."
Le site web ajoute: "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. On a observé un disque à une ferme pendant plus de 60 minutes. Deux nains ont été vus."
Et: "Un objet métallique en forme de champignon a atterri dans une basse-cour, deux petits humanoïdes portant des combinaisons et des casques argentés sortent l'objet, et l'un prend quelques oignons du témoin paralysé. Les êtres disent plusieurs mots inintelligible. Possible missing time."
Les sources sont indiquées comme "Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002" et "Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database".
[Ref. dfk1:] FABRICE ET DANIEL KIRCHER:
Les auteurs indiquent que le 20 novembre 1954 dans le Maine-et-Loire, Mme Besnier, 60 ans, était montée dans son grenier par un escalier extérieur pour chercher quelques oignons et des gousses d'ail quand en redescendant elle a vu dans la cour de sa ferme un objet ressemblant à un champignon géant. Deux êtres en scaphandre avec des appareils respiratoires, hauts d'environ 1.10 mètres, en sont sortis et se sont approché de la vieille dame qui a constaté qu'elle ne pouvait pas bouger. Un des êtres lui a pris ses oignons. La seule chose que Mme Besnier se rappelle ensuite est un point lumineux dans le ciel avec une traînée brillante derrière lui.
Le témoin a été incapable de manger pendant 48 heures et transie de froid et de saisissement elle est restée alité quelque temps.
Les auteurs indiquent comme source "Jean Sider, 'Le Dossier 1954', Ramuel, 1997".
[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":
*20 nov. 1954 - A trois heures de l'après-midi Mme Besnier revenait d'aller chercher quelques oignons et des gousses d'ail stockées à Blaison, Maine-et-Loire, France. Alors qu'elle sortait de la cave, elle a vu un objet métallique circulaire qui avait atterri dans la cour de sa ferme. Il a semblé être fait en aluminium. Un petit être, de la taille d'un enfant, se précipita sur elle et lui prit les oignons, qu'elle tenait dans un pli de son tablier. D'autres petits humanoïdes sont maintenant devenus visibles. Les humanoïdes avaient une apparence humaine et étaient totalement enveloppéa dans un costume brun. Dans leur bouche ils portaient une sorte de tuyau qui était connecté à une sorte de capuche et un appareil respiratoire attaché à leur dos. Leur peau était jaune et ils avaient de petits yeux noirs perçants. Mme Besnier s'est enfuie et n'a pas vu les humanoïdes revenir à leur "soucoupe". Mme Besnier n'a pas pu manger pendant 48 heures après l'incident et est restée alitée pendant un certain temps. (Sources: Jean Sider, Dossier 1954 et l'Imposture Rationaliste, p. 226; Lumieres dans la Nuit, numéro n° 325; Albert S. Rosales, Humanoid Contact Database n° 2398, citant LDLN).
[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"
Lieu: Blaison Maine Et Loire France
Date: 20 novembre 1954
Heure: 1500
Une Mme Besnier revenait de chercher des oignons et quelques gousses d'ail dans son grenier au bas de l'escalier en pierre et pendant qu'elle marchait hors du grenier elle a vu un objet métallique circulaire apparemment atterrissant dans sa cour. Il a semblé être fait en aluminium. Comme elle descendait la dernière marche un petit personnage de la taille d'un enfant s'est précipité sur elle et a pris les oignons, qu'elle tenait dans un côté de son tablier. D'autres humanoïdes sont maintenant devenus visibles. Les humanoïdes étaient d'aspect humain et ont été totalement enveloppés dans un costume brun. Sur leurs bouches ils portaient un genre de tuyau qui était relié à une sorte de capuche et d'appareil fixés à leurs dos. Leur peau était jaune et ils avaient de petits yeux noirs perçants. Le témoin a couru et apparemment n'a pas vu les humanoïdes retourner à leur “soucoupe”. Mme Besnier n'a pas mangé pendant 48 heures après l'incident et est restée confinée au lit pendant un certain temps.
Source: LDLN N° 325?
[Ref. jgz1:] JULIEN GONZALEZ:
L'auteur indique qu'il y a eu une rencontre rapprochée du troisième type à Blaison-Gohier, au hameau "Le Petit-Cotillon", dans le Maine-et-Loire, le 20 novembre 1954, à 15 h 00:
Mme Besnier, 60 ans, montait dans son grenier par un escalier extérieur pour chercher des oignons et quelques gousses d'ail. En redescendant elle a aperçu dans la cour de sa ferme un objet étrange, une sorte de champignon géant de la hauteur d'une bonne table ronde, fait d'une matière qu'elle n'a pas pu identifier.
De l'engin ont surgit deux petits personnages de taille réduite d'environ 1.10 m de haut, vêtus d'un costume marron qui les enveloppait entièrement. Une sorte de tuyau était fixé sur leur bouche, qui prenait naissance dans une sorte de hotte comme un petit réservoir de sulfateuse qu'ils portaient sur le dos. Leur peau était jaune et ils avaient des petits yeux noirs perçants.
Ils se sont approchés de Mme Besnier qui se sentait incapable de bouger, comme paralysée par une étrange force. L'un des petits êtres s'est emparé des oignons que la fermière tenait dans le pan de son tablier. Puis les êtres se sont démasqués (?) et ont prononcé quelques paroles qu'elle n'a pas compris. Il semble alors qu'elle ait perdu la notion du temps écoulé ou qu'elle soit tombée sans connaissance. En tout cas lorsquêlle a repris ses esprits, elle n'a alors plus vu qu'un point lumineux qui montait dans le ciel avec une traînée brillante derrière lui.
Julien Gonzalez fait remarquer que les journalistes ayant rencontré Mme Besnier la présentaient comme une femme tranquille ne lisant pas les journaux et n'ayant entendu parler des soucoupes volantes que par des bribes de conversation. Le Maire et les voisins interrogés ont certifié que Mme Besnier est une personne des plus calmes qui n'a jamais fait parler d'elle. L'un des articles précise qu'à la suite de cet incident, elle n'a pas mangé pendant 48 heures et que "transie de froid et de saisissement, elle est restée alitée quelque temps."
Les sources sont indiquées comme Le Courrier de l'Ouest du 24 novembre 1954 et du 28 novembre 1954; Les Nouvelles de Bretagne et du Maine du 26 novembre 1954; Jean Sider, "Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste", pages 226-227.
[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":
20 novembre 1954. 1515 BLAISON (MAINE ET LOIRE : FRANCE)
Madame Bernier de "Le Petit Cotillon" descendait de son grenier quand elle vit un objet circulaire de la taille d'une table de bonne taille, posé dans la cour de la ferme faite d'un matériau indescriptible. Quand elle atteignit la dernière marche, un petit être se précipita sur elle et lui prit des oignons. Elle a également vu un certain nombre d'autres êtres dans la cour. Ils avaient l’air humain, mais ils avaient la peau jaune, de petits yeux sombres et perçants, et ils étaient vêtus de combinaisons brunes, à capuche, avec une sorte de sac à dos et une sorte de tuyau dans la bouche. Le choc de la chose qui la saisit la renversa et, au moment où elle se leva, l'objet n'était plus qu'un point lointain dans le ciel. Elle était tellement secouée qu'elle a passé deux jours au lit, froide, tremblante et sans nourriture. (URECAT citant Les Nouvells du Bretagne et du Maine 26 novembre 1954. p4 + Jean Sider in Lumieres dans le [sic] Nuit 325 et Sider 1997 p271)
Note: La référence de source "URECAT" est mon dossier tel qu'il apparaît dans mon catalogue des RR3 URECAT; le contenu du dossier est sensiblement le même que pour le dossier de mon catalogue France 1954.
Non encore recherchée.
Il est malheureux qu'aucune trace ne semble exister des nombreuses questions posées par les journalistes au témoin, avec apparemment seulement des parties ayant été publiées en leur journal.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Blaison, Maine-et-Loire, Le Petit-Cotillon, Besnier, soucoupe, objet, humanoïdes, oignons, scaphandre, hotte, tuyaux, brun, occupants, journée, rond, petit, bouche, yeux, jaune, noir, lumineux, rapide, ascencion
[----] indique des sources que je n'ai pas encore lues.
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 6 septembre 2007 | Première publication. |
1.0 | Patrick Gross | 11 juin 2009 | Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [lcn1], [uda1], [dfk1]. |
1.1 | Patrick Gross | 19 octobre 2014 | Addition [nip1]. |
1.2 | Patrick Gross | 22 novembre 2016 | Addition [tai1]. |
1.3 | Patrick Gross | 21 février 2017 | Addition [jgz1]. |
1.4 | Patrick Gross | 26 novembre 2018 | Additions [lhh1], [prn2]. |