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La vague française de 1954:

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17 octobre 1954, Cier-de-Rivière, Haute-Garonne:

Référence pour ce cas: 17-oct-54-Cier.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. jve1:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique que le 16 octobre 1954, à Cier-de-Rivière, un petit village à 10 kilomètres de Saint Gaudens et 7 kilomètres de Montrejeau, en Haute-Garonne, le fermier Guy Puyfourcat revenait des champs avec une jument qu'il tenait par la rêne, quand soudainement, l'animal a semblé devenir très effrayé tandis qu'en même temps une sorte de machine avec un diamètre de cinq pieds, d'une couleur grise et de la forme d'une grande casserole, décollait par derrière quelques arbres et buissons.

La machine est montée à une altitude d'environ 50 mètres et est venue vers eux, puis la jument a été soudainement enlevée dans le ciel à environ 3 mètres au-dessus de la terre et le témoin a dû lâcher la rêne.

La jument est retombée comme une masse inerte et est restée immobile pendant 10 minutes, et elle a pu se lever plus tard, mais trébuchait et tremblait de crainte.

La machine avait disparu à une très grande vitesse et le témoin lui-même n'avait senti rien.

Jacques Vallée indique que sa source est le journal Sud-Ouest en novembre 1954.

[Ref. jve2:] JACQUES VALLEE:

Scan.

272) 16 octobre 1954. Cier de Rivière (France):

Guy Puyfourcat (22 ans), qui revenait des champs, conduisant une jument par la bride, fut surpris de constater que l'animal était nerveux. Emergeant du bas-côté de la route un objet gris, d'environ 1,5 m de diamètre, les survola, la jument s'éleva à une hauteur de 3 mètres et le témoin dut lâcher la bride. Puis l'animal tomba comme une masse et fut incapable de se mouvoir pendant 10 minutes. Enfin elle se leva et essaya de marcher, mais elle était toute tremblante de peur. L'objet s'était envolé, depuis longtemps à grande vitesse. Le témoin lui-même n'a strictement rien senti. (Personnel).

[Ref. gcn1:] GORDON CREIGHTON:

Cier-de-Rivière, France (16 octobre 1954)

Guy Puyfourcat, âgé de 22 ans, revenait des champs, menant une jument par la bride, quand il a été surpris de voir l'animal soudainement devenir agité. Montant du côté de la route, un objet gris d'environ 1,5 m de diamètre a volé au-dessus d'eux. La jument s'est élevée d'environ 3 m. dans l'air, et il a dû lâcher la bride. Ensuite la jument est tombée dans un fumier, et pendant dix minutes ne pouvait pas se déplacer. Ensuite elle s'est relevé, et a essayé de marcher, mais elle est encore restée tremblante et trébuchante de crainte. Le témoin lui-même n'avait pas été affecté.

Jacques Vallée (Communication presonnelle): Cas N° 272 de A century of Landings, dans Lumières Dans la Nuit, N° 102 (Octobre 1969) et Passport to Magonia.

[Ref. fle1:] FRANCOIS LAGARDE:

UNE JUMENT S'ENVOLE AU DEPART D'UN M.O.C.

CONTRE-ENQUETE EFFECTUEE PAR M. DELPHIEUX
CAS N. 272 de "UN SIECLE D'ATTRRRISSAGES"

Notre réseau d'enquêteurs, qui en compte maintenant plus de 600, a pu mener à de bonnes fins d'assez nombreuses contre-enquêtes sur la vague de 1954. Voici l'une d'elles.

Cela s'est passé le dimanche 17 octobre 1954 et maintenant, en juin 1970, les habitants de Cier-de-Rivière (Haute Garonne) se rappellent encore l'aventure arrivée au jeune Puyfourcat Guy, âgé à l'époque de 22 ans, et fraîchement libéré du service militaire.

M. Verdier, vieux secrétaire de la Mairie, m'a fait savoir qu'il avait difficilement admis, il y a 16 ans, les dires de Guy Puyfourcat, mais ce dernier était un jeune homme sobre, intelligent, qui n'avait rien d'un hâbleur, ni d'un farfelu. Actuellement, M. Verdier pense qu'effectivement il s'est passé quelque chose et qu'on ne peut mettre en doute les dires de Guy.

Ce dernier à quitté la commune il y a cinq ans pour aller exploiter à Pau un restaurant.

J'ai rencontré son père, installé à Cier-de-Rivière, et il m'a dit avoir en mémoire ce qui s'était passé le 17 octobre 1954 vers 9 h 30. Son fils avait amené sa jument, âgée de quatre ans, pour aller chercher un râteau-faneur laissé la veille dans un pré situé de l'autre côté de la vallée à environ 2 km.

Pour arriver à ce pré il fallait emprunter un chemin de terre creux, bordé de taillis, se dirigeant vers le sommet de la colline. Ce chemin était très peu fréquenté.

Donc le fils Guy Puyfourcat marchait à gauche de sa bête tout en la tenant par la bride.

Presqu'en arrivant au sommet de l'espèce de col par lequel le chemin franchit la colline, se trouve un terrain assez plat de 300 mètres carrés environs. En arrivant au bordure de ce terrain, et débouchant des taillis avec sa bête, le jeune Guy vit cette dernière apeurée, regardant vers la droite. A ce moment trois cris perçants, comme des cris d'oiseaux sauvages, se firent entendre, et en même temps, un engin s'éleva derrière un rideau d'arbres en direction de l'Est, avec un sifflement.

Un important déplacement d'ait eut lieu, et à sa grande stupéfaction, teintée de peur, Guy vit sa jument comme aspirée verticalement à 3 m environ de hauteur. Il avait du lâcher la bride pour ne pas être soulevée en même temps. La jument retomba sur le sol comme une masse, avec un bruit sourd car c'est son corps qui avait heurté la terre et non ses membres. Il est tombé sur les flancs.

Pendant ce temps, l'engin était monté à 50 m de hauteur au-dessus de cette scène, marquant une espèce d'arrêt avant de foncer vers l'est. D'après le père du témoin, son fils, en lui faisant connaître ces faits, lui a dit que c'était un engin circulaire de couleur grise, d'un diamètre de 1,30 m.

Pendant une dizaine de minutes, la jument resta inanimée sur le sol, puis elle se releva, couverte de sueur et de boue.

Guy et sa bête rentrèrent alors à leur domicile, sans aller chercher le râteau-faneur, but essentiel du déplacement.

En arrivant chez lui, Guy confia à son père ce qu'il avait vu, et ce qui s'était passé. Le père ne voulait pas le croire bien que le sachant très pondéré mais après avoir vu dans quel état était la jument et sentant que son fils avait encore peur, il a bien compris que la vérité sortait de la bouche de son fils.

Avec ce dernier, dans l'après-midi, il est allé sur les lieux afin de chercher des traces pouvant avoir été laissées par l'engin. L'emplacement exact de ce dernier n'était pas bien situé par suite du rideau d'arbres, ils bornèrent leurs recherches sur le terrain dégagé près du col et ne trouvèrent rien.

La jument a été vendue cinq ans après, mais comme elle n'était pas utilisée à la reproduction rien n'a été remarqué à ce sujet.

Une enquête de gendarmerie a été effectuée à l'époque d'après le secrétaire de Mairie, mais elle n'a pas recuelli plus de renseignement que ceux fourni par M. Puyfourcat.

D'autres faits analogues n'ont pas été remarqués depuis 1954 dans cette région.

En conclusion, la personnalité du témoin, considéré comme intelligent, sobre, réfléchi, puis le scepticisme du père, transformé ensuite en certitude bien ancrée, prouvent que les faits qui précèdent sont bien le reflet de la vérité, et qu'un engin inconnu, peut-être un peu plus grand que les dimensions indiquées, a bien survolé et attiré dans les airs la jument de M. Guy Puyfourcat, laquelle était bien ferrée.

N.D.L.R.: devant des faits aussi extraordinaires, nous nous excusons non pas d'affirmer leur réalité, mais de souligner la très haute compétence de M. Delphieux en matière d'enquête, sa modestie dut-elle en souffrir.

Dans sa carrière, sa compétence et ses succès lui ont valu le grade le plus élevé de sa spécialité. Il sait estimer la sincérité des témoins, et pour lui, nous a-t-il déclaré au retour de sa visite, leur sincérité ne fait aucun doute.

Nous n'avions hélas que cette pièce à verser au dossier de cette enquête qui n'a eu qu'un unique témoin mais qui rappelle des faits où des animaux étaient en cause.

Le dessin de M. Tallé a été réalisé d'après les photos des lieux prises par M. Delphieux, qui s'était rendu sur le terrain où s'était produit l'incident.

F.L.

[Ref. amn1:] AUGUSTE MEESSEN:

L’observation la plus intéressante est celle d’un cheval soulevé A 3 m du sol au-dessous d’un engin surgissant brusquement de derrière une rangée d’arbres et s’élevant à cet endroit à environ 50 m, pour partir ensuite à une vitesse foudroyante. Le jeune homme qui menait la jument entendit un sifflement et ressentit un important déplacement d’air, mais il ne fut pas soulevé. Il a seulement dû lâcher la bride, pour ne pas être entraîné avec lui (17.10.1954, France: 14, cas 272 et 16, déc. 1965, 17-18). La zone d’aspiration semble donc être nettement limitée.

La source "14" est détaillée dans les références comme "J. Vallée, Chronique des Apparitions Extraterrestres, Denoël, 1972."

La source "16" est détaillée dans les références comme "Lumières dans la Nuit, Les Pins, 43 400 Le Chambon sur Lignon, France."

[Ref. gcn2:] GORDON CREIGHTON:

Scan.

47. Cier-de-Rivière, France - 16 octobre 1954.

M. Guy Puyfourcat revenait des champs, menant une jument par la bride, lorsqu'il fut surpris de voir l'animal s'arrêter brusquement. Il vit alors un engin grisâtre qui s'élevait du bord de la route et qui se mit à le survoler. L'objet devait avoir environ 1,50 m de diamètre. Le témoin nota des détails apparaissant sous l'objet. La jument fit un tel bond qu'il dut lâcher la bride, puis elle retomba lourdement sur le sol où elie demeura immobile un moment, tremblant de tous ses membres. Le témoin lui-même ne fut pas affecté.

Réf.: J. Vallée (communication personnelle): Cas n° 272 dans "Un siècle d'atterrissages", LDLN et "Passport to Magonia".

[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:

Les deux auteurs indiquent que selon le catalogue de Jacques Vallée, à Cier-de-Rivière en Haute-Garonne, le 16 octobre 1954, un cultivateur de 22 ans, Guy Puyfourcat, qui revenait des champs, conduisait sa jument par la bride. Contrairement à l'habitude l'animal se montrait de plus en plus nerveuse. Brusquement à quelques mètres devant le cultivateur un objet gris d'environ 1,50 mètres de diamètre a décollé et est passé au-dessus de la jument. L'animal s'est élevé à une hauteur d'environ 3 mètres, obligeant Guy Puyfourcat à lui lâcher la bride. La jument est retombée comme une masse.

Pendant dix minutes, le cultivateur tenta vainement de la faire relever et y réussit finalement. L'animal remis sur pattes tremblait de peur et ne reprit la route qu'avec hésitation. Guy Puyfourcat lui-même n'avait strictement rien ressenti. Les auteurs pensent qu’il s'était vraisemblablement trouvé, à quelques dizaines de centimètres près, hors du champ attractif de l'engin.

[Ref. hia1:] MAGAZINE "HISTORIA":

Scan.

Le magazine indique brièvement que Jacques Vallée a relaté un extraordinaire événement survenu le 16 octobre 1954 à Cier-de-rivière en Haute-Garonne, dans lequel Guy P., 22 ans, aurait vu sa jument qu'il tenait par la bride aspirée à une hauteur de 3 mètres par un objet gris d'environ 1.50 mètres de diamètre. Selon lui, au départ presque instantané de l'objet, l'animal est retombé au sol et resté incapable de se mouvoir pendant dix minutes. Le magazine commente que l' "on est tenté d'être sceptique!"

[Ref. hjn1:] HENRI JULIEN:

L'auteur indique qu'en France à Gier-de-Rivière une jument s'élève de quelques mètres sous un disque de 1.50 mètres de diamètre et retombe paralysée.

[Ref. uin1:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "UFO INFORMATIONS":

Scan

UNE JUMENT ASPIREE PAR UN OVNI

Le 17 octobre 1954, à Cier de Rivière, M. Guy Puyfourcat, âgé de 22 ans à l'époque, vit bel et bien, cette fois, un Ovni aspirer sa jument.

Le témoin marchait à gauche de sa bête en la tenant par la bride, alors qu'ils débouchaient des taillis, il vit cette dernière apeurée, regardant vers la droite. A ce moment, trois cris perçants, comme des cris d'oiseaux sauvages se firent entendre, et, en même temps, un engin

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circulaire, de couleur grise, d'environ l m 50 de diamètre s'éleva derrière un rideau d'arbres en direction de l'est, avec un sifflement. Un important déplacement d'air eut lieu, et à sa grande stupéfaction, le jeune homme vit sa jument comme aspirée verticalement à 3 mètres environ de hauteur.

Il dut chercher abri pour ne pas être aspiré en même temps. La jument tomba sur le sol comme une masse, avec un bruit sourd.

Pendant ce temps, l'appareil monta à 50 mètres d'altitude au-dessus de cette scène, marquant une sorte d'arrêt avant de partir vers l'est à grande vitesse.

La jument resta inanimée pendant une dizaine de minutes, puis elle se releva, couverte de sueur et de boue.

CATALOGUE VALLEE - cas n° 272, L.D.L.N. 109 p. l7-18.

[Ref. ldl1:] "LUMIERES DANS LA NUIT":

Pour comparaison avec un autre cas le magazine mentionne que le 17 octobre 1954 à Cier de Rivière en Haute Garonne le jeune Guy Puyfourcat qui menait une jument par la bride a eu la stupeur de voir son animal décoller du sol et léviter jusqu'à trois mètres de hauteur alors qu'un OVNI décollait à quelques mètres de là.

La source est notée "LDLN n. 109 p.17".

[Ref. gab1:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

"Impossible" n'est pas "Martien"

Il est des rapports concernant les observations de "Soucoupes Volantes" qui sont tout à fait incroyables. Mais lorsque les faits se reproduisent, aussi impossibles qu'ils nous paraissent, force nous est de devoir en tenir compte et de voir s'ils ne s'intègrent pas au sein des théories envisagées.

17/10/1954 Cier de Rivière (Haute Garonne)

Ce dimanche-là, vers 9h30, le jeune Guy Puyfourcat conduisait sa jument. Dans un chemin encaissé, la bête donna des signes d'inquiétude, à ce moment, trois cris perçants retentirent et un engin s'éleva en sifflant de derrière un rideau d'arbres. Un important déplacement d'air eut lieu et à sa grande stupéfaction le témoin vit sa jument comme aspirée verticalement à plus de 3m de hauteur. Il dût lâcher la bride pour ne pas être entraîné en même temps. Puis la bête retomba à plat sur le côté. L'engin qui était la "cause" du phénomène mesurait environ 1,50m de diamètre, il était de couleur grise et il survola l'homme et la bête à 50m de hauteur environ. (J. Giraud; L.D.L.N.)

[... autres cas...]

Une jument, un camion et des sacs de ciment qui "échappent momentanément à la pesanteur! Cela semble inconcevable. Ces faits sont pourtant indiscutables. Chacun d'eux prouve que les "Soucoupes Volantes" sont capables d'agir sur la pesanteur non seulement pour assurer leur sustentation, mais aussi à distance. Tous comptes faits, si l'on s'en réfère à la tentative d'explication que nous avons fournie pour le trou de Poncey sur l'Ignon, cela n'a rien d'impossible. Les "Soucoupes Volantes" pourraient donc utiliser des champs de force comme outils. Quant à savoir pourquoi le choix de leur action a porté sur une jument, un camion et des sacs de ciment... Mais, là encore, il nous semble logique de penser que ces actions furent motivées et ne résultèrent pas d'une conséquence involontaire de la propulsion des engins. Le détail capital qui nous permet cette supposition, c'est le fait que le jeune Guy Puyfourcat n'ait pas subi le sort de sa jument. L'animal seul était donc visé.

[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:

Le témoin Guy Puyfourcat amène sa jument, âgée de quatre ans, pour aller chercher un râteau-faneur laissé la veille dans un pré situé de l'autre côté de la vallée, à environ 2 km. Il emprunte un chemin de terre creux, bordé de taillis, il marche à gauche de sa bête, tout en la tenant par la bride. Presqu'en arrivant au sommet de l'espèce de col, par lequel le chemin franchit la colline, se trouve un terrain assez plat de 300 m2 environ. En arrivant en bordure de ce terrain, et débouchant des taillis avec sa bête, le jeune homme voit cette dernière apeurée, regardant vers la droite.

A ce moment, trois cris perçants, comme des cris d'oiseaux sauvages se font entendre et, en même temps, un engin circulaire de couleur grise, d'environ 1 m 50 de diamètre s'élève derrière un rideau d'arbres en direction de l'est, avec un sifflement. Un important déplacement d'air a lieu, et, à sa grande stupéfaction, notre témoin voit sa jument comme aspirée verticalement à 3 mètres, environ, de hauteur. Il doit lâcher la bride pour ne pas être aspiré en même temps. La jument tombe sur le sol comme une masse, avec un bruit sourd, car c'est son corps qui heurte la terre et non ses membres, elle tombe sur le flanc.

Pendant ce temps, l'appareil monte à 50 mètres d'altitude au-dessus de cette scène, marquant une sorte d'arrêt avant de partir vers l'est à grande vitesse. Pendant une dizaine de minutes, la jument reste inanimée sur le sol, puis elle se relève, couverte de sueur et de boue.

Le témoin et sa bête rentrent alors à leur domicile, sans aller chercher le râteau-faneur, but essentiel de leur déplacement. En arrivant chez lui, le jeune homme confie à son père ce qu'il a vu, et, dans l'après-midi, ils vont sur les lieux, à la recherche d'éventuelles traces laissées par l'engin, mais ils ne trouvent rien.

Une enquête de gendarmerie a été effectuée.

[Ref. mft2:] MICHEL FIGUET:

CAS Nr CLASSIFICATION DATE HEURE LIEU CODE POSTAL CREDIBILITE SOURCE
224 CE0-2 17 10 1954 09.30 Cier-de-Rivière 31 51 0 E3 NI, OVNI: p. 177

[Ref. jve7:] JACQUES VALLEE:

Jacques Vallée indique que dans un cas en France dans la campagne en 1954 un homme qui revenait des champs avec son cheval a dû lâcher la bride pendant que l'animal était soulevé de plusieurs pieds dans le ciel, alors qu'un objet circulaire foncé volait rapidement au-dessus de la piste qu'ils suivaient.

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

83 - 17 octobre 09h30, Cier-de-Rivière, Haute-Garonne.

Mr. Guy Puyfourcat, 22 ans.

Le témoin mène une jument dans un pré. Il est soudain alerté par le comportement de la bête qui manifeste de la peur. Trois sortes de cri se font entendre brusquement et dans le même temps un engin s'élève de derrière un proche rideau d'arbres. Un important déplacement d'air survient et le témoin stupéfait voit alors sa jument aspirée verticalement jusqu'à une hauteur de trois mètres. Il est même contraint de lâcher la bride de la bête pour ne pas suivre le mouvement. Puis, la jument retombe lourdement sur le flanc. L'animal se relève indemne au bout de dix minutes. Un journal d'époque signale que la jument accomplit une vingtaine de mètres dans les airs, soulevée par "une bassine volante".

Source: LDLN n°109, p. 17-18. Voir surtout les D.O. 78 (enquête) et 79 (dessin).

Source locale: La Gazette du Périgord, Périgueux, 18 octobre 1954, p. 1 et 3.

[Ref. jca1:] JACQUES COSTAGLIOLA:

L'auteur indique que le 17 octobre 1954, à Cier de Rivière en Haute Garonne, à 9:30, Guy Puyfourcat, 22 ans, menait par la bride sa jument de 4 ans, sur une hauteur à vue dégagée, il entend des cris et voit un disque descendre à la vertical, se poser dans un champ et s'élever derrière un rideau d'arbres vers l'est avec un sifflement et un violent déplacement d'air. La jument a été aspirée à trois mètres et est retombée sur le flanc. L'engin a fait un bref arrêt à 50 mètres puis a foncé vers l'est. La jument a mis 10 minutes à se relever.

La source est notée "R. Otahi, 1973".

[Ref. jsc1:] JOHN SCHUESSLER - JOURNAL OF SCIENTIFIC EXPLORATION:

1954/10/16 FRANCE, CIER-DE-RIVIERE
Source: Official UFO, Fév. 76

Un OVNI, s'élevant depuis le côté de la route, est passé au-dessus d'un témoin menant un cheval. L'animal s'est élevé de 10 pieds dans les airs et est retombé au sol. L'animal a été incapable de bouger pendant 10 minutes, mais l'humain n'a pas été affecté.

EFFETS: Lévitation
Réaction animale

[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

1954, 17 octobre

FRANCE, Cier de Rivière - Haute Garonne

Guy Puyfourcat, 22 ans, qui revenait des champs conduisant une jument par la bride, fut surpris de constater que l'animal était nerveux. Emergeant du bas-côté de la route un objet gris d'environ 1,50 de diamètre le survola. La jument s'éleva à une hauteur de 3 mètres et le témoin dut lâcher la bride. Puis l'animal tomba comme une masse et fut incapable de se mouvoir pendant 10 minutes. Enfin elle se leva et essaya de marcher, mais elle était toute tremblante de peur. L'objet s'était envolé depuis longtemps à grande vitesse. Le témoin lui-même n'a strictement rien ressenti.(Jacques Vallée: "Chronique des apparitions ET" - DENoeL 1972 - COLL. J'AI LU - p. 283 qui cite la date du 16 oct.) Vers 9 h 30 de la matinée le témoin amène sa jument pour aller chercher un râteau faneur laissé la veille dans un pré. (...) A ce moment trois cris perçants, comme des cris d'oiseaux sauvages se font entendre et en même temps un engin s'élève avec un sifflement. (...) La bête tomba sur le flanc et reste inanimée pendant 10 minutes sur le sol. Les faits se sont déroulés le dimanche 17 octobre (et non le 16) (FIGUET/ J.L. RUCHON: "Ovni, premier dossier complet..." - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 177, 178)

[Ref. dbj1:] DESMOND BRAGG ET PAUL JOSLIN:

Les auteurs disent que Vallée a rapporté un cas classique d'un fermier français qui a rencontré un OVNI, en rentrant des champs avec une jument qu'il tenait par la rêne. L'animal est devenu soudainement effrayé quand en même temps une sorte de machine avec un diamètre de 2 mètres, d'une couleur grise et de la forme d'une grande casserole s'est envolée de derrière quelques arbres et buissons. Elle est montée à une altitude d'environ 50 mètres, est venue vers eux, la jument a été alors enlevée du sol et le fermier a dû libérer la rêne. La jument est retombée au sol comme une masse inerte, est restée immobile pendant environ 10 minutes et a pu alors se lever, mais trébuchait et tremblait de crainte. L'engin a disparu à grande vitesse. Le fermier n'avait rien senti.

La source est indiquéE comme Vallée, 1966, page 113.

[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:

16 octobre: A Cier-de-Rivière, Guy Puyfourcat revient des champs en tenant sa jument par la bride, lorsqu'il est survolé par un objet gris de 1,50 m de diamètre. Sa jument est alors "aspirée" par l'ovni et s'élève jusqu'à une hauteur de 3 m. Puis l'animal retombe au sol, assommé. Le témoin, qui a dû lâcher la bride pendant la lévitation de la jument, affirme n'avoir rien ressenti pendant cette étrange aventure.

[Ref. fbn1:] FABRICE BONVIN:

Fabrice Bonvin note:

Cas n028: 17/10/1954, p. 177 (Cier-de-Rivière)

[Ref. fbn2:] FABRICE BONVIN:

En un tableau, Fabrice Bonvin note des cas sélectionnés de la vague française de 1954 dont celui-ci:

Cas Nbre témoins Heures Type objets
Cier-de-Rivière 1 2 2

[Ref. jca2:] DR. JACQUES COSTAGLIOLA:

L'ufologue et médecin Jacques Costagliola note dans son listing:

date lieu témoins lésions biblio
17.10.1954 F, Cier/Garonne Guy Puyfourcat, 22 ans jument aspirée à 3 m puis retombe 10 min au sol Otahi

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":

4172: 1954/10/17 09:30 18 0:38:00 E 43:04:00 N 3333 WEU FRN HGR B:8

CIER de RIVIERE,FR:5'OVNI FAIT LEVITER CHEVAL ^ 10':PUIS LE LAISSE TOMBER!:>>E:/FSR v16N°3

RefN° 30 FIGEUT[sic]&RUCHON: OVNI: Le 1er Dossier Page No. 177 : PAYS DE FERMES

[Ref. djn1:] DONALD JOHNSON:

Ce jour-là

16 octobre

[...]

1954 – A Cier-de-Riviere, France, Guy Puyfourcat, âgé de 22 ans, revenait des champs en menant une jument par son harnais quand le cheval l'a étonné en devenant soudainement agité et en sautant. Montant du côté de la route, un objet gris d'environ 1,5 mètres de diamètre a volé au-dessus d'eux. La jument s'est élevée d'environ trois mètres dans l'air et le témoin a dû la lâcher. Alors l'animal est tombé à terre comme une masse et pendant 10 minutes ne pouvait pas se déplacer. Enfin, elle s'est levée et a essayé de marcher, mais elle était toujours tremblante et trébuchante de crainte. L'objet avait depuis longtemps volé au loin à la grande vitesse. Le témoin lui-même n'avait absolument rien senti. (Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia: A century of Landings, p. 231).

[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:

Luc Chastan indique que dans la Haute Garonne à Cier de Rivière le 17 octobre 1954 à 9:30 heures, "Le témoin amène sa jument, âgée de quatre ans, pour aller chercher un râteau-faneur laissé la veille dans un pré situé de l'autre côté de la vallée, à environ 2 km. Il emprunte un chemin de terre creux, bordé de taillis, il marche à gauche de sa bête, tout en la tenant par la bride. Presqu'en arrivant au sommet de l'espèce de col, par lequel le chemin franchit la colline, se trouve un terrain assez plat de 300 m2 environ. En arrivant en bordure de ce terrain, et débouchant des taillis avec sa bête, le jeune homme voit cette dernière apeurée, regardant vers la droite."

"A ce moment, trois cris perçants, comme des cris d'oiseaux sauvages se font entendre et, en même temps, un engin circulaire de couleur grise, d'environ 1 m 50 de diamètre s'élève derrière un rideau d'arbres en direction de l'est, avec un sifflement. Un important déplacement d'air a lieu, et, à sa grande stupéfaction, notre témoin voit sa jument comme aspirée verticalement à 3 mètres, environ, de hauteur. Il doit lâcher la bride pour ne pas être aspiré en même temps. La jument tombe sur le sol comme une masse, avec un bruit sourd, car c'est son corps qui heurte la terre et non ses membres, elle tombe sur le flanc."

"Pendant ce temps, l'appareil monte à 50 mètres d'altitude au-dessus de cette scène, marquant une sorte d'arrêt avant de partir vers l'est à grande vitesse. Pendant une dizaine de minutes, la jument reste inanimée sur le sol, puis elle se relève, couverte de sueur et de boue."

"Le témoin et sa bête rentrent alors à leur domicile, sans aller chercher le râteau-faneur, but essentiel de leur déplacement. En arrivant chez lui, le jeune homme confie à son père ce qu'il a vu, et, dans l'après-midi, ils vont sur les lieux, à la recherche d'éventuelles traces laissées par l'engin, mais ils ne trouvent rien."

"Une enquête de gendarmerie a été effectuée."

La source est indiquée comme "Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979".

[Ref. jjv1:] JEAN-JACQUES VELASCO:

Jean-Jacques Vélasco rapport que l'absurdité apparente des cas de la vague française de 1954 est stupéfiante, et il cite en exemple le cas de Cier-de-Rivière en Haute-Garonne le 17 octobre 1954 comme seul cas connu en France d'une tentative "d'enlèvement".

Il indique qu'un jeune fermier a été soulevé du sol avec sa jument par une soucoupe volante qui tentait de l'aspirer.

Il se demande si la consommation d'alcool dans les campagne française était tellement excessive qu'elle a déclenché une épidémie massive de trouble psychologique, mais ne le pense pas.

Il indique que d'après le secrétaire de mairie de l'époque, l'enquête de gendarmerie "ne donna aucun résultat".

[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 16 octobre 1954 à 09:30, à Cier-De-Riviere, France, "On a observé un objet. Des effets de pesanteur ont été notés. Des traces ont été trouvées. Un objet, d'environ 5 pieds de large, a été observé par un témoin masculin de 22 ans à une ferme."

Les sources sont indiquées comme FSR, FSR (formerly Flying Saucer Review), FSR, Londres, 1966; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Vallee, Jacques, Anatomy of a Phenomenon, Henry Regnery, Chicago, 1965; Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002.

[Ref. uda2:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 16 octobre 1954 à Cier-de-Riviere, France, "Un objet gris environ 1,5 mètres de diamètre a volé au-dessus d'un homme et d'un cheval."

Et: "A Cier-de-Riviere, France Guy Puyfourcat, 22 ans, revenait des champs mener une jument par sa bride quand le cheval l'a étonné en devenant soudainement agité et en sautant. Montant du côté de la route, un objet gris d'environ 1,5 mètres de diamètre a volé au-dessus d'eux. La jument s'est élevée d'environ trois mètres dans l'air et le témoin a dû la libérer. Ensuite l'animal est tombé à terre comme une masse et pendant 10 minutes ne pouvait pas se déplacer. Enfin, elle s'est levée et a essayé de marcher, mais elle était tremblante et trébuchante toujours avec crainte. L'objet avait depuis longtemps volé loin à grande vitesse. Le témoin lui-même n'avait absolument rien senti."

Et: "Guy Puyfourcat, 22 ans, revenait des champs mener une jument par sa bride quand le cheval l'a étonné en devenant soudainement agité et en sautant. Montant du côté de la route, un objet gris d'environ 1,5 mètres de diamètre a volé au-dessus d'eux. La jument s'est élevée d'environ trois mètres dans l'air et le témoin a dû la libérer. Ensuite l'animal est tombé à terre comme une masse et pendant 10 minutes ne pouvait pas se déplacer. Enfin, elle s'est levée et a essayé de marcher, mais elle était tremblante et trébuchante toujours avec crainte. L'objet avait depuis longtemps volé loin à grande vitesse. Le témoin lui-même n'avait absolument rien senti."

Et: "On a observé un objet. Des effets de pesanteur ont été notés. Traces trouvées."

Et: "Un objet, d'environ 5 pieds de large, a été observé par un témoin masculin de 22 ans à une ferme (Puyfourcat)."

La source est indiquée comme Vallee Magonia Database.

[Ref. lde1:] JOURNAL "LA DEPECHE":

Le mystère de l'Ovni de Cier

En 1954, tout le monde voit des petits hommes verts. Un jeune paysan du Comminges affirme avoir observé une soucoupe volante.

Cier-de-Rivière, le ciel est bas. Il tutoie à ce point le sol qu'à l'automne 1954, il aurait déposé une soucoupe volante à l'orée d'un petit bois. Guy Puyfourcat, un gars du village, assure l'avoir aperçue.

Le 17 octobre, ce jeune homme de 22 ans, traverse le bourg avec sa jument. "Une jolie bête" se souvient au village l'un des rares survivants de l'époque.

Au lieu-dit "Aoumasc", derrière "le col" de Cier-de-Rivière, l'animal, tout à coup très nerveux, se cabre. Guy Puyfourcat dit avoir "entendu des cris perçants" avant d'apercevoir, à sa droite, trois créatures fonçant dans une soucoupe grise. L'objet décolle, attirant la jument dans son sillage.

L'animal est soulevé de trois bons mètres avant de retomber pesamment, sous les yeux médusés de l'agriculteur ciérais.

L'ovni reste quelques secondes en suspension, puis disparaît à une vitesse fulgurante. Abasourdi, Guy Puyfourcat revient au bourg avec l'animal encore abruti et raconte tout à son père, dans un premier temps incrédule. Mais peu à peu, il adhère au discours de son fils, extrêmement choqué.

Les gendarmes et le procureur de Saint-Gaudens se rendent sur les lieux, enquêtent, mais ne constatent rien d'anormal. Pour autant, le récit du jeune homme fait le tour du canton.

"Il y avait beaucoup de sceptiques, se souvient Jean Pourteau, un octogénaire vivant dans le village voisin d'Ardiège. Mais Guy Puyfourcat était un garçon sensé. Et il racontait son histoire avec une telle ferveur, que nous étions bien obligés de le croire."

"Couillonnades!"

"Couillonnades!" lance aujourd'hui un habitant du village. Pourtant, assure le vieil homme, "Guy était sobre. Il était d'une intelligence moyenne mais il n'était pas innocent".

Une habitante confirme : "Guy ne racontait pas de mensonges. C'était un gars normal..." Pourquoi aurait-il menti, au risque de passer pour l'idiot du village? "C'était du temps des ovnis, c'était la mode des martiens", répond Joseph Castex, 85 ans, garde-champêtre de Cier-de-Rivière en 1954. "Mais ce n'étaient pas des apparitions, c'était un fait», martèle l'octogénaire.

OVNI OU "SOULET"?

L'ancien garde-champêtre avance deux hypothèses: "La jument a pu avoir peur d'un serpent, bien qu'il n'y en ait pas beaucoup dans la région. Il a pu aussi se produire un phénomène climatique : au village, on appelle ça le soulet (prononcer "tchoulet"), une sorte de tourbillon qui se forme dans la plaine. À l'époque, quand on faisait les foins, ce phénomène dispersait toute la paille dans les champs. Le soulet soulève tout. Avait-il la force d'aspirer une jument? Je ne sais pas..."

Guy Puyfourcat, décédé il y a une vingtaine d'années sans laisser de descendance, a emporté avec lui son secret dans la tombe.

Le jeune homme avait quitté la commune, peu après les événements de 1954. Il avait ouvert un restaurant à Lacq, dans les Pyrénées-Atlantiques, mais avait fait faillite.

"Il n'avait pas la vocation pour être paysan, explique un de ses anciens voisins. Mais il cuisinait très bien." Par la suite, il avait trouvé du travail dans un couvent de Saint-Béat.

Puis il est mort assez jeune. Du diabète.

[L'article continue par des remarques générales concernant les observations d'OVNIS.]

[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":

*16 oct. 1954 – A Cier-de-Riviere, France, Guy Puyfourcat, âgé de 22 ans, revenait des champs en menant une jument par son harnais quand le cheval l'a étonné en devenant soudainement agité et en sautant. Montant du côté de la route, un objet gris d'environ 1,5 mètres de diamètre a volé au-dessus d'eux. La jument s'est élevée d'environ trois mètres dans l'air et le témoin a dû la lâcher. Alors l'animal est tombé à terre comme une masse et pendant 10 minutes ne pouvait pas se déplacer. Enfin, elle s'est levée et a essayé de marcher, mais elle était toujours tremblante et trébuchante de crainte. L'objet avait depuis longtemps volé au loin à la grande vitesse. Le témoin lui-même n'avait absolument rien senti. (Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia: A century of Landings, p. 231).

[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":

Cette base de données a enregistré ce cas 9 fois:

N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France RR I
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France RR II
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France
19541016 16.10.1954 Cier-de-Riviere France
19541016 16.10.1954 Cier-ok-Riviere France

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

17 octobre 1954. 0930hrs.

CIER DE RIVIERE (HAUTE GARRONE : FRANCE)

Guy Puyfourcat (22) qui revenait des champs conduisant une jument pqr la bride a été surpris quand l'animal est devenu agité. S'élevant du côté de la route, un objet gris d'environ 1.5m de diamètre a volé au-dessus d'eux. La jument s'est élevée d'nviron 3m dans les airs et Guy a dû lâcher la bride. Puis l'animal est tombé d'un bloc et pendant 10 minutes a été incapable de bouger. Finalement elle s'est relevée et a essayé de marcher mais tremblait encore et trébuchait avec crainte. L'objet était parti en volant depuis longtemps à haute vitesse. Guy lui-même n'a absolument rien ressenti.

Explications:

Carte.

Non encore recherchée.

Cette illustration parue dans "Lumières Dans La Nuit" aurait été faite par R. Tallé basé sur une photo des lieux:

Dessin.

Tandis que la date du 16 octobre donnée par Jacques Vallée a été largement reproduite, j'ai choisi comme Jacques Costagliola d'affecter ce cas au 17 octobre, un dimanche, tel qu'indiqué par la contre-enquête de M. Delphieux.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Cier-de-Rivière, Haute-Garonne, Guy Puyfourcat, champ, jument, animal, enlèvement, objet, gris, lévitation

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 16 octobre 2007 Première publication.
1.0 Patrick Gross 4 mars 2010 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [ldl1], [lcn1], [uda1], [uda2], [lde1], "Illustration".
1.1 Patrick Gross 18 mars 2010 Addition [hjn1].
1.2 Patrick Gross 16 juin 2010 Addition [dbj1].
1.3 Patrick Gross 3 juillet 2010 Additions [jve7], [fbn2].
1.4 Patrick Gross 17 octobre 2014 Addition [nip1].
1.5 Patrick Gross 10 octobre 2016 Addition [jjv1].
1.6 Patrick Gross 2 février 2017 Addition [jjv1].
1.7 Patrick Gross 2 décembre 2021 Additions [uin1], [mft2], [lhh1], [prn2].
1.8 Patrick Gross 18 mars 2022 Addition [gcn2].
1.9 Patrick Gross 26 juin 2022 Additions [amn1], [goe1].
2.0 Patrick Gross 4 juillet 2022 Additions [jsr1], [gab1].

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Cette page a été mise à jour le 4 juillet 2022.